Valentino Rossi a aussi rappelé l’histoire de l’équipe, soulignant qu’elle avait toujours eu d’excellents partenariats par le passé. Cependant, il a exprimé une satisfaction particulière pour le partenariat avec Pertamina Enduro, affirmant qu’il serait très important pour l’équipe.

Il a également souligné l’importance de l’Indonésie dans le contexte du MotoGP, décrivant la passion des fans indonésiens : « nous sommes particulièrement heureux et fiers de ce partenariat avec Pertamina Enduro car il sera très important et aussi parce que l’Indonésie est l’un des pays les plus importants pour le MotoGP au monde ».

« La passion est incroyable et si vous parcourez les rues, vous voyez beaucoup de scooters qui nous rappellent les années 89 et 90, tous les gens qui vont très vite, portent le numéro 46 sur leur casque donc nous sommes très heureux » mentionne Vale.

Valentino Rossi : « les motos sont belles, il ne reste plus qu’à les rendre fortes »

En ce qui concerne la livrée conçue par Aldo Drudi, Rossi a partagé son plaisir de continuer à travailler en compagnie de celui avec qui il collabore depuis son enfance. Il a décrit le processus de travail comme amusant, se réunissant avec Drudi et ses collaborateurs pour discuter de questions critiques et laisser l’artiste s’exprimer dans la conception : « je n’ai jamais arrêté de travailler avec Aldo car nous fabriquions également des casques pour ma carrière automobile. Nous travaillons ensemble depuis que je suis enfant ».

En parlant des motos Ducati du Pertamina Enduro VR46 Racing Team, le « Doctor » a évoqué leur esthétique, affirmant qu’elles étaient belles et qu’elles s’étaient bien comportées lors des premiers essais. Il a conclu en exprimant le désir de rendre les motos encore plus fortes à l’avenir : « elles sont belles elles se sont bien comportées lors des essais et maintenant il ne reste plus qu’à les rendre fortes ».

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Cette annonce marquera le début d’une nouvelle collaboration entre le géant indonésien des lubrifiants, Pertamina, et l’équipe Tavullia. Depuis le début de leur aventure en Grand Prix, les hommes de Valentino Rossi ont toujours arboré des couleurs italiennes, de la Sky du début au Mooney d’aujourd’hui. Entre-temps, il y a eu une tentative d’afficher une identité saoudienne qui s’est perdue dans le folklore des négociations avec les émissaires trop nombreux qui caractérisent toujours les relations avec les Emirats. Mais cette fois, c’est du solide : la VR46 sera bientôt un symbole indonésien. Pertamina est déjà présent dans le paddock, en Moto2, avec l’équipe d’Edu Perales, soit le Pertamina Mandalika SAG Team qui aligne Bendsneyder et Hada. Selon AS, Pertamina souhaitait depuis quelques temps être présente en MotoGP.

L’événement VR46 sera diffusé en streaming live sur cette page à partir de 15h00. Marco Bezzecchi et Fabio di Giannantonio révéleront la nouvelle livrée FLUO STREAM ainsi que les couleurs de la Ducati Desmosedici GP qui les accompagneront sur la grille de départ du prochain Championnat du Monde MotoGP, dont la première course est prévue au Qatar le 10 mars. L’événement sera à suivre sur nos ondes et notamment avec cette vidéo.

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L’équipe de la légende du MotoGP Valentino Rossi gère désormais le marketing et le sponsoring à travers sa nouvelle agence, VR46. Cette agence se concentrera donc sur le marketing, la recherche de sponsors, mais aussi l’analyse de marché, le conseil stratégique et contractuel et la culture de l’image de personnalités du sport et du show business…

En plus de posséder une équipe MotoGP et une société de merchandising appelée VR46 Racing Apparel, Valentino Rossi a récemment étendu ses activités dans le monde numérique avec le VR46 Metaverse, grâce à une collaboration avec The Hundred Media Holding.

L’agence VR46 de Valentino Rossi est née

La « VR46 Agency » a récemment rejoint la VR46 Riders Academy, et Gianluca Falcioni, qui est déjà le manager de cette académie, et s’occupe personnellement des intérêts du champion du monde MotoGP Francesco « Pecco » Bagnaia sera le PDG de l’agence.

L’agence VR46 a déjà joué un rôle clé dans la conclusion d’un accord avec le nouveau sponsor titre du VR46 Racing Team, Pertamina Enduro, pour les trois prochaines saisons. Les nouvelles couleurs des pilotes Marco Bezzecchi et Fabio Di Giannantonio seront officiellement présentées le 24 janvier à Riccione.

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Établi en 1957 non loin de Monterey en Californie, Laguna Seca bénéficie d’un intérêt direct de la part des fans de sports mécaniques. Toutes les catégories possibles et imaginables y ont posé leurs roues, hormis la Formule 1. Dès les années 1980, le circuit était installé dans le paysage, et s’affirmait comme l’un des plus grands tracés américains, du moins, par la réputation.

Pas par la taille. En effet, il est minuscule, plus petit encore que le Sachsenring. À peine 3,602 km de sinueux, montées et descentes. Plongeons nous dans un tour lancé. Tout d’abord, la ligne droite des stands, en montée et qui débouche sur un virage à gauche extrêmement rapide. Celui-ci est la première difficulté rencontrée par le pilote. Il faut aller cherche la corde en aveugle, au sommet de la bosse afin d’être en ligne pour le freinage du virage n°2.

Mick Doohan, ici à Laguna Seca en 1990. Photo : Stefan Isaacs

Appelée « épingle Mario Andretti » en l’honneur du champion du monde Formule 1 1978, elle est traître car il ne faut pas espérer sortir large. Il faut emmener de la vitesse pour perdre le moins de temps possible, et ne pas arrêter la moto. Viennent ensuite les virages n°3 et n°4, qui ne sont pas très compliqués mais l’on commence à remarquer l’étroitesse de la piste qui nous suivra jusqu’à la fin du tour. Un bout droit à fond nous emmène vers le virage n°5, un gauche relevé en montée. C’est l’un des plus appréciés des pilotes, mais gare à ne pas s’éloigner de la trajectoire dessinée. Jorge Lorenzo s’y est fait piéger en 2008, pour l’un des plus gros highsides de sa carrière.

Une sévère montée nous emmène vers le virage n°7, l’un des plus techniques au monde. C’est une cassure relevée, avec la corde en aveugle. Ici, le pilote doit se construire un repère précis pour déclencher son virage. Un peu trop tôt, et il passe à l’arrêt, un peu trop tard et c’est le sable à l’extérieur. La ligne droite nommée « Rahal Straight » s’en suit ; c’est une montée impressionnante qui débouche sur le virage le plus célèbre : le Corkscrew.

Le ‘tire-bouchon’ en français est un rapide gauche/droite en descente, avec entrée aveugle. Tout est singulier dans ce complexe. Tout d’abord, le pilote freine tôt, mais il doit prendre en compte le fait que la phase de freinage va se finir au sommet d’une bosse, et donc prévoir un délestage de l’arrière. Se sortir à cet endroit là est courant, même pour les plus grands. Valentino Rossi, en 2012, a vu sa moto lui glisser entre les doigts, pour finir dans le mur en face.

Le fameux Corkscrew en 2012, avec deux pilotes magnifiques dedans. Photo : Box Repsol

La corde du premier gauche n’est pas visible, donc rentrer au bon moment est très difficile. La corde du droite aussi, puisqu’en sévère descente ; vous ne l’apercevez que quand vous êtes déjà dedans. Pour finir, la compression arrivée en bas est phénoménale, et il faut aussi l’anticiper. Si vous n’êtes pas champion du monde, ne pensez même pas à dépasser à cet endroit là. Cependant, impossible d’omettre le bijou que Rossi nous laissa en 2008, quand ce dernier prit l’intérieur à Casey Stoner dans une bataille dantesque, sans conteste l’une des plus populaire de l’histoire du sport.

Marc Márquez y trouva aussi l’ouverture sur « The Doctor » en 2013, mais celui-ci n’a pas eu le choix que de couper le virage afin de passer. Le dépassement félicité par Rossi lui-même vaut quand même le coup d’œil. Si vous êtes encore sur votre selle, ne vous déconcentrez pas pour la courbe Wayne Rainey. C’est un virage à gauche qui ne pardonne pas, également relevé et qui offre des sensations inégalées. La compression en entrant dans le ‘banking’ est aussi dangereuse, gardez-le en tête.

Après avoir négocié le virage n°10, un droite assez rapide mais classique, vous vous apprêtez à aborder le dernier tournant, nommé de manière originale « virage n°11 ». Ce dernier est une épingle à gauche très serrée, avec sortie aveugle : le muret des stands vous cache la vue. Il faut anticiper et ne pas tenter le diable. Casey Stoner, toujours en 2008, y chuta après avoir surestimé son freinage.

Bravo. Vous avez réussi à boucler le tour en un peu plus d’une minute et vingt-deux secondes, ce qui reste deux secondes plus lent que le record de piste établi en 2012 par Lorenzo. Parler des exploits, des batailles s’y étant déroulées durant les quinze Grands Prix serait interminable. Mais ayons une pensée pour Nicky Hayden, qui franchit la ligne d’arrivée en pleurs en 2006 après son triomphe. John Kocinski, personnage ubuesque au possible, y prit aussi une victoire pour le compte de Cagiva en 1993, un moment important.

Une petite pensée pour SuperSic, ici à Laguna Seca. Photo : Motoracereports

Mais alors pourquoi ce tracé si technique, si pointilleux n’est-il plus au calendrier ? Plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, la petite pit-lane ne pouvait pas accueillir les trois catégories. Seul le MotoGP roulait de tout le week-end, ce qui n’est pas en accord avec un développement économique viable. Ensuite, ce circuit à l’ancienne ne connaît quasiment aucun dégagement, à l’heure du bitume à toutes les sauces et de toutes les couleurs aux abords de nos tracés chéris.

C’est tout pour aujourd’hui ! Quels souvenirs gardez-vous de Laguna Seca ? Dites-le nous en commentaires !

Photo de couverture : Box Repsol

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Par Diane Tamantini de Corsedimoto

Après la confirmation de la présence de Matteo Gabarrini aux 100 km des Champions, une annonce est arrivée. Le petit pilote de Senigallia, actif dans le CIV PreMoto3 avec Pasini Racing Team, arrive à la VR46 Académie, donc dans « l’école » de Valentino Rossi. Une opportunité intéressante pour le jeune Gabarrini, fils de Cristian Gabarrini qui n’est pas un inconnu pour ceux qui suivent le MotoGP et surtout Ducati.

Matteo Gabarrini fait la fierté de son père Cristian, chef mécanicien de Pecco Bagnaia

En 2023, il a terminé huitième au classement général du PreMoto3 italien avec deux podiums au compteur. L’entrée dans la VR46 Académie est la première annonce concernant sa saison 2024. Pour l’instant il n’y a pas eu de confirmation officielle pour son année de course.

« Nous sommes très heureux d’annoncer l’entrée de Matteo Gabarrini dans la VR46 Riders Académie. Après avoir participé à quelques sorties de sport moto avec les pilotes actuels et consolidés de l’Académie, Matteo fait officiellement partie du groupe ».

C’est ainsi que la VR46 Académie a officiellement annoncé l’arrivée du jeune pilote né en 2009 originaire de Senigallia. « Je suis vraiment heureux d’en faire partie » est le commentaire du jeune Matteo Gabarrini. « Je tiens à remercier Valentino et tout le staff pour cette belle opportunité. Cette année, il y a toutes les conditions pour réussir et je ferai de mon mieux pour aller le plus loin possible ! ».

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En plus de s’affirmer dans les pelotons lors des compétitions, Luca Marini a dû créer sa propre personnalité et travailler peut-être encore plus intensivement que les autres pour arriver là où il est maintenant. Être du même sang que Valentino Rossi lui a certainement ouvert des portes, mais il a dû aussi faire ses preuves par lui-même. « Beaucoup de gens pensent qu’être le frère de ‘Vale’ rend tout plus facile car les portes sont ouvertes partout » commente l’Italien sur motogp.com. « Mais la vérité est un peu différente ».

« C’est vrai qu’on m’a donné de bonnes opportunités. Mais en même temps, j’ai dû aussi travailler intensivement sur moi-même. Vous pouvez me croire, j’ai vraiment mis tous les efforts pour arriver là où je suis maintenant, soit être un pilote MotoGP et être capable d’obtenir de tels résultats », insiste Luca Marini.

Luca Marini estime que Rossi est l’un des plus grands pilotes de tous les temps en termes de talent et de vitesse, mais il souligne également l’importance du travail effectué en dehors de la moto. Marini affirme qu’il a appris énormément en écoutant Rossi et ses ingénieurs lorsqu’il était jeune, ce qui lui a permis de développer ses propres compétences et expériences : « quand j’étais jeune, j’ai beaucoup appris rien qu’en écoutant « Vale » et ses ingénieurs. Grâce à ses retours et à sa façon de travailler, j’ai essayé de me constituer une riche expérience. J’ai pu m’en servir plus tard dans mes conversations avec mes ingénieurs », dit-il.

Luca Marini : « le travail que Valentino Rossi faisait quand il n’était pas sur la moto était absolument incroyable »

« Je pense qu’en ce qui concerne cela, notamment dans la façon dont il travaille dans le box, ‘Vale’ est l’un des plus forts de tous les temps. En termes de talent et de vitesse, il est certainement le plus grand que notre sport n’ait jamais connu » » loue Luca Marini, et il souligne : « mais c’était aussi le travail qu’il faisait quand il n’était pas sur la moto qui était absolument incroyable ».

Le demi-frère se sent maintenant confiant dans sa propre personnalité et veut continuer à suivre son propre chemin dans sa carrière de pilote de MotoGP. Parfois, il se surprend encore à réaliser qu’il est vraiment un pilote de MotoGP … « Je crois que j’ai créé ma propre personnalité, ma propre identité. J’aime le chemin que je suis et je veux continuer sur ce chemin. Parfois, j’ai encore peine à réaliser que je suis vraiment un pilote MotoGP ».

Au cours des trois saisons que Marini a complétées jusqu’à présent dans la catégorie reine, il n’a pas encore remporté de victoire en Grand Prix. Il a déjà réalisé à la fois la pole en qualifications et le podium en course. Il est désormais lié à Honda jusqu’à fin 2025. Cela fait de lui l’un des deux seuls pilotes de la grille MotoGP actuelle à disposer d’un contrat valable au-delà de 2024. L’autre est Brad Binder, dont le contrat KTM était même conclu jusqu’à fin 2026.

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Après 50 tours parcourus sur la piste du Motoranch de Tavullia, l’équipe familiale s’est imposée devant les équipages Elia Bartolini – Celestino Vietti et Franco Morbidelli – Andrea Migno, les deux autres formations qui partaient favorites pour la victoire.

Il video del podio di #La100KmdeiCampioni
BRAVISSIMI TUTTI!!! 🏆🙌 pic.twitter.com/2NJ3LthTXn

— BoxOfficialVR46 (@BoxOfficialVR46) January 13, 2024

La course a bien tenu son public en haleine, car si peu de dépassements ont été réalisés en tête de l’épreuve, c’est avec seulement deux secondes d’avances que les deux frères ont obtenu la victoire devant les 20 autres équipes, après que Luca Marini ait arraché pole position jeudi et la course par élimination ‘Americana‘ vendredi devant Diogo Moreira et Valentino Rossi.

Le nostre coppie per la 100km 🔥#la100kmdeicampioni pic.twitter.com/AcwCw7WqNA

— BoxOfficialVR46 (@BoxOfficialVR46) January 13, 2024

Avec un tel succès du nouveau pilote MotoGP Repsol Honda sur toutes la ligne, nul doute que la fête sera intense ce soir à Tavullia…

Classement de « La 100 km dei Campioni » 2024 :

le coppie @ValeYellow46 con @Luca_Marini_97 1st 🥇🏆🍾🙌#La100kmDeiCampioni pic.twitter.com/PLAHQcyiel

— BoxOfficialVR46 (@BoxOfficialVR46) January 13, 2024

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Par Matteo Bellán de Corsedimoto

Ces jours-ci, les désormais célèbres 100 km des Champions se déroulent au Ranch Tavullia. Hier a eu lieu l’Americana, une course éliminatoire qui a vu triompher Luca Marini. De toute évidence, le nouveau pilote Honda espère remporter des victoires plus importantes lorsque la nouvelle saison MotoGP débutera.

100 km des champions, Luca Marini bat Moreira et Rossi

L’Americana prévoit la division des pilotes en deux groupes. Le premier regroupe les pilotes ayant obtenu du 19ème au 41ème temps aux qualifications. Les deux meilleurs, Cardus Ferran et Remy Gardner, ont rejoint le deuxième groupe pour se battre pour la victoire. A la fin de la course éliminatoire, Marini a franchi la ligne d’arrivée en premier, devant Diogo Moreira et Valentino Rossi. Quatrième place pour Elia Bartolini. Danilo Petrucci, qui pilote une Honda CR 500 2 temps, a réalisé une belle performance en atteignant les demi-finales.

L’ordre d’arrivée de l’Americana détermine la grille de départ de la course d’endurance qui se déroulera aujourd’hui à partir de 14 heures. Ci-dessous tous les couples qui seront en action au Tavullia Ranch :

Valentino Rossi-Luca Marini

Francesco Bagnaia – Marco Bezzecchi

Franco Morbidelli – Andrea Migno

Celestino Vietti – Elia Bartolini

Diogo Moreira-Ferran Cardus

Danilo Petrucci – Andrea Vérone

Tatsuki Suzuki – Mattia Casadei

Matteo Gabarrini – Marco Gaggi

Xavier Artigas – Sammy Halbert

Tim Neave – Tom Neave

Mattia Pasini – Filippo Farioli

Fabio Di Giannantonio – Dennis Foggia

Augusto Fernández – Thomas Chareyre

Manuel González – Ivan Ortola

Nicola Fabio Carraro – Matteo Bertelle

Alessandro Zaccone – Andrea Mantovani

Michael Rubén Rinaldi – Lorenzo Gabellini

Filippo Fuligni – Alberto Surra

Estève Rabat – Luca Ottaviani

Rémy Gardner – Pedro Acosta

Marco Belli – José Antonio Rueda

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Leur objectif sera de surpasser les trois victoires de la saison précédente. Di Giannantonio se dit honoré de faire partie de l’équipe de Valentino Rossi et est déterminé à continuer son développement et à obtenir plus de podiums et de victoires. Il devra s’adapter rapidement à la nouvelle équipe et travailler avec le nouveau chef d’équipe, David Munoz. Malgré la compétition avec Bezzecchi, Di Giannantonio croit en une bonne entente et en une équipe solide qui pourra se pousser mutuellement vers de bons résultats.

Fabio Di Giannantonio : « le fait que je fasse partie de l’équipe de Valentino Rossi et qu’il soit mon patron me semble assez étrange, mais étrange dans le bon sens du terme »

« Il y a un an, tout cela aurait été inimaginable », déclare Fabio Di Giannantonio, qui participera dans les prochains jours aux 100 KM des Champions à Tavullia. « Dans ce sport, les choses vont très vite et tout dépend des résultats sur la piste, ou plutôt uniquement des résultats ».

Sur Corsedimoto, on se rend compte que Fabio Di Giannantonio vit un petit rêve devenu réalité, même s’il ne rejoint pas l’Académie. « J’ai toujours admiré Valentino, c’est le plus grand de tous les temps. J’ai abordé le monde de Valentino et VR46 avec beaucoup de réserve et de modestie, je les ai toujours tenus en haute estime. Notre relation a toujours été très bonne et honnête, même entre moi et Valentino. Le fait que je fasse partie de l’équipe maintenant et qu’il soit mon patron me semble assez étrange, mais étrange dans le bon sens du terme ».

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Par Luigi Ciamburro / Corsedimoto.com

Dans l’épreuve organisée par Valentino Rossi au Ranch, le programme s’ouvre avec le défi sur la piste courte de l’Americana, avec l’élimination des deux derniers de chaque manche (Voir plus bas la liste des  participants). Samedi, il y aura la traditionnelle course de 100 KM au Ranch Tavullia. Depuis hier (jeudi), le « palais » de Valentino Rossi regorge de pilotes des quatre coins du monde et de diverses disciplines motocyclistes, pas seulement de la catégorie MotoGP. Un week-end à suivre pour les fans de MotoGP, en attendant de voir leurs favoris à la peine lors des premiers essais hivernaux à Sepang dans moins d’un mois.

Le défi américain
« Ce sont toujours deux jours très amusants, les 100 KM sont une grande fête car il y a beaucoup de pilotes forts qui viennent du monde entier et de différentes spécialités : MotoGP, Moto2, Moto3, Motocross, enduro, flat track américain, etc.. Et puis il y a nous, tous les coureurs de notre Académie », raconte Valentino Rossi à Sky Sport. Cette année, la légende du MotoGP a retardé de quelques semaines la désormais célèbre épreuve hivernale du Ranch, qui en est à sa neuvième édition. Les conditions météorologiques sont bonnes, même si les températures sont assez froides. « Cela a bien commencé, les prévisions sont bonnes aujourd’hui comme demain, donc demain nous devrions pouvoir courir sous le soleil. Nous sommes prêts ! ».

Les coups de cœur au Ranch de Tavullia
Les élèves de la VR46 Riders Academy ont le « facteur terrain » de leur côté, il est très difficile pour ceux qui viennent de l’extérieur de conquérir le Ranch de Tavullia. Tous les regards sont tournés vers l’animateur Valentino Rossi accompagné de son frère, mais il y a aussi les féroces Vietti-Bartolini et Morbidelli-Migno, sans sous-estimer le duo Bezzecchi-Bagnaia. « Actuellement, il y a trois couples qui ont tous deux des coureurs rapides : Franco Morbidelli et Andrea Migno, moi et Luca Marini, Celestino Vietti et Elia Bartolini« , continue le Docteur, « Elia est le vainqueur de l’année dernière, avec Baldassarri il nous a bien eus. Il faudra ensuite attendre le double champion du monde MotoGP, Pecco Bagnaia, qui n’est pas là aujourd’hui car il était occupé, mais il a déjà couru hier. Demain, nous verrons s’il sera assez rapide pour la bagarre aussi . »

Prochaine saison MotoGP
L’occasion est également bonne pour plaisanter sur la prochaine saison de MotoGP, qui verra quatre pilotes de l’Académie impliqués, trois en selle sur la compétitive Ducati Desmosedici GP et un sur la Honda RC213V. « Cela promet d’être une belle saison 2024. Pecco dans l’équipe rouge, Morbidelli sur la Ducati officielle de l’équipe Pramac, Bez avec notre équipe VR46 et Marini sur la Honda officielle. Ce sera une longue saison, je ne dis pas que nous sommes prêts, mais nous le serons le moment venu », conclut Valentino Rossi. « Nos pilotes disposeront tous de motos compétitives. »
Le mérite revient aussi à l’Académie ? « C’est le fruit de leur travail. Nous essayons de les mettre à l’aise et de les préparer du mieux possible, puis ce sont eux qui vont sur la piste et sur la moto. »

Lire l’article original sur Corsedimoto.com
Luigi Ciamburro

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Juste avant de partir pour les essais Superbike à Jerez, prévus les 24 et 25 janvier, Danilo Petrucci participera aux 100 km des Champions au Tavullia Ranch, vendredi et samedi. Valentino Rossi l’a invité et il a accepté avec plaisir. Mais Petrux n’arrive pas dans l’événement pour y faire de la figuration. Lors d’une récente interview, Petrucci a ainsi révélé une histoire intéressante : « je reviens au Ranch pour les 100 km pour la deuxième année consécutive et je suis ravi de l’invitation de Vale », a-t-il déclaré sur GPOne.

Danilo Petrucci : « nous relèverons le défi avec une moto 500 2T et nous serons les seuls à utiliser une 500 sur la piste »

Cela étant dit, il mentionne : « cette année, je vais courir en duo avec Andrea Verona, champion du monde d’Enduro ». Et il y aura quelque chose de nouveau cette fois-ci : « nous relèverons le défi avec une moto 500 2T et nous serons les seuls à utiliser une 500 sur la piste », a-t-il expliqué. « La moto a été fabriquée à la main par Tomasin Racing. Elle est basée sur une Honda 450, mais le moteur a été modifié par Tomasin Racing lui-même. La moto est équipée d’une boîte de vitesses, d’une injection électronique, ainsi que d’un contrôle de traction et de lancement ».

« Nous en avons parlé à Vale et il est très curieux de nous voir en action » ajoute-t-il. Enfin, Petrucci a plaisanté sur les favoris : « ce ne sera pas moi, bien sûr. Si je devais parier, je choisirais quelqu’un de l’Académie ». Par ailleurs, Danilo Petrucci et l’équipe Barni ont effectué des tests aérodynamiques dans la soufflerie de Pérouse dans le but de rechercher les meilleures performances en vue de la saison prochaine. Une journée profitable pour Danilo ainsi que pour Yari Montella, engagé l’année prochaine en Supersport avec la Panigale V2 de l’équipe dirigée par Barnabò.

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Le titre de l’événement est « FLUO STREAM », ce qui suggère que le jaune fluo typiquement brillant jouera un rôle important dans le design de la Ducati Desmosedici GP23 de Marco Bezzecchi et de son nouveau coéquipier Fabio Di Giannantonio.

La présentation de la VR46 sera à suivre en direct sur la chaîne YouTube et les réseaux sociaux officiels

La présentation aura lieu le 24 janvier à partir de 15h et le VR46 Racing Team se présentera officiellement dans sa nouvelle formation au Palariccione, le centre de congrès moderne de Riccione. Les fans pourront suivre l’événement en direct sur la chaîne YouTube et les réseaux sociaux officiels.

Les présentations d’équipes MotoGP auront alors déjà commencé avec Gresini Racing le 20 janvier et l’équipe d’usine Ducati le 22 janvier. On sait aussi que Trackhouse Racing, la nouvelle équipe satellite d’Aprilia après le départ brutal de RNF, se présentera à Los Angeles le 26 janvier. Pour compléter la liste provisoire, Yamaha Racing présentera Fabio Quartararo et Alex Rins début février sur le Sepang International Circuit le 5 février.

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Par Luigi Ciamburro de Corsedimoto

En janvier 2023, Valentino Rossi a terminé les 24 Heures de Dubaï en troisième position, réalisant son premier podium lors de sa première course en tant que pilote officiel BMW M. Mais cette année, la légende du MotoGP ne pourra pas tenter de répéter l’exploit en raison des vicissitudes géopolitiques.

L’équipe belge WRT a décidé de ne pas participer à l’édition 2024 des 24 Heures de Dubaï. L’écurie de course belge a retiré ses deux BMW M4 GT3 après le report de la course en raison de retards de transport causés par une opération militaire contre les rebelles Houthis au Yémen. La raison du report est les restrictions de transport dans le canal de Suez. En raison des activités militaires contre les rebelles Houthis, les compagnies maritimes contournent actuellement le canal de Suez. Cela signifie que le porte-conteneurs transportant les voitures de course ne peut pas se rendre directement à Dubaï, mais doit contourner le cap de Bonne-Espérance en Afrique du Sud, raison pour laquelle les véhicules n’arriveront pas à temps à Dubaï. La date des 24 Heures est donc reportée aux 27 et 28 janvier.

Valentino Rossi commencera la saison 2024 avec une course moto

Outre le WRT, d’autres équipes GT3 de haut niveau ont déjà annulé leur participation, notamment les deux anciennes équipes du championnat ADAC GT Masters Land-Motorsport et Herberth Motorsport, ainsi que Car Collection Motorsport de Walluf en Hesse. L’équipe belge de course de Vincent Vosse a publié une note sur les réseaux sociaux : « en raison du report de la date de l’événement, le Team WRT a retiré ses deux BMW M4 GT3 de la course aux Émirats arabes unis. Comme il n’y a aucune crainte de retards dans l’équipement et le retour des véhicules depuis Dubaï, l’équipe belge peut s’en tenir à son plan de préparation initial pour le reste de la saison 2024. »

Valentino Rossi ne sera donc pas sur la grille de départ des 24 Heures de Dubaï. En janvier 2023, il a conduit sa voiture sur la dernière marche du podium lors de sa première course en tant que pilote officiel de BMW M. Aux côtés de Maxime Martin, Max Hesse, Sean Gelael et Timothy Whale, « The Doctor » s’est relayé au volant de la M4 GT3 avec le légendaire numéro de départ 46 qui a marqué toute sa carrière.

Le champion de Tavullia aurait très probablement également participé à l’édition 2024 pour préparer sa saison en FIA WEC et GT World Challenge Europe. Ces derniers jours, l’ancien pilote de MotoGP s’est arrêté à Madonna di Campiglio, comme le veut la tradition, et est prêt à participer aux 100 KM des Champions au Ranch Tavullia, où arriveront de nombreuses stars du motocyclisme.

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Casey Stoner, ancien double champion de MotoGP avec Ducati puis avec Honda, estime que les jeux d’esprit entre pilotes ne sont pas une stratégie efficace et révèlent plutôt des faiblesses. Casey Stoner lui-même n’a jamais été impliqué dans ce genre de comportement, préférant se concentrer sur ses performances sur la piste. Cependant, des pilotes comme Marc Marquez et Valentino Rossi ont réussi à utiliser ces tactiques avec succès.

Casey Stoner : « avec l’expérience, vous comprenez qu’ils essaient de compenser certaines choses lorsqu’ils essaient de vous intimider »

Casey Stoner reconnaît que certains pilotes tentent toujours de perturber leurs rivaux, mais estime que cela ne fait que les rendre plus forts : « tout ce que vous faites en essayant d’entrer dans la tête de quelqu’un et en le faisant de la mauvaise manière, c’est de le rendre simplement plus forts. Car cela révèle beaucoup de vos faiblesses ». Et il ajoute : « avec l’expérience, vous comprenez qu’ils essaient de compenser certaines choses lorsqu’ils essaient de vous intimider ».

Selon lui, il est préférable d’apprendre des actions de ses adversaires et de rester concentré sur sa propre performance. En montrant du respect envers ses rivaux, on peut éviter les confrontations agressives et favoriser un environnement de course plus sain : « si vous montrez du respect à vos rivaux, ils ne vous attaqueront pas aussi fort. Quand il s’agit d’un championnat, voulez-vous vraiment risquer un rival qui essaiera de vous éliminer ? Ou voulez-vous que ce travail soit accompli au mérite ? »

« Il y a beaucoup de respect entre les pilotes en ce moment car ils savent tous qu’ils ont du mal avec certaines choses. Pourquoi risquer tout cela en vous faisant des ennemis qui pourraient vous éliminer à tout moment ? ». L’Australien souligne ainsi l’importance du mérite dans la compétition et le fait de ne pas risquer des conflits inutiles qui pourraient nuire à sa propre performance. De fait, pour Casey Stoner repris par cash.net, il est préférable de se concentrer sur ses propres forces plutôt que de chercher à perturber les autres.

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C’est une compétition entrée dans la tradition de cette trêve hivernale et qui permet aux pilotes de joindre l’utile à l’agréable. Ainsi, certains saisissent cette occasion de sortir de leur hibernation pour monter en puissance leur préparation en vue de la prochaine saison, dans un affrontement bon enfant, mais tout de même disputé et de haut niveau …

De Tavullia à Portimao, les événements vont se succéder

Car pour cette édition il y aura en effet encore du beau linge : Le Doctor Rossi sera bien sûr présent, accompagné de ses collègues de l’Académie tels que Bagnaia, Marini, Morbidelli, Bezzecchi, Vietti et Migno.

Des pilotes de Superbike tels que Danilo Petrucci, Remy Gardner et Michael Rinaldi seront également présents. Cependant, il y aura aussi des absents puisque, lors de ces mêmes 12 et 13 janvier, des pilotes Ducati s’affronteront avec des Panigale V4S sur le tracé de Portimao, un rendez-vous que Marc Marquez pourrait honorer …

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Le site indonésien TMCblog a obtenu cette certitude exclusive de Mas Asmirandi Noor Huda, responsable de la communication de la marque de PT Pertamina Lubricants, société propriétaire de la marque de produits Pertamina Enduro dans le podcast BoxCall TMCBlog que vous pouvez également regarder à partir d’aujourd’hui ci-dessous (activez les sous-titres et la traduction).

Pertamina Enduro devient officiellement le sponsor principal (sponsor en titre) du VR46 Racing Team MotoGP avec une durée de contrat de 3 ans du 1er janvier 2024 au 31 décembre 2026. Cette équipe s’alignera à la saison 2024 avec le duo Marco Bezzecchi et Fabio Di Giannantonio, et tous les deux utiliseront la Ducati Desmosedici GP23.

Dans le Vlog Full Podcast d’une durée de près de 30 minutes, TMCblog essaie de discuter de beaucoup de choses directement avec le représentant A1 Pertamina Lubricants, en commençant par le contexte et l’histoire derrière ce contrat passionnant, le rêve de Pertamina d’utiliser l’huile Enduro sur les MotoGP, le rêve d’amener des pilotes indonésiens à la VR46 Racing Academy, pour terminer par la notification concernant le moment et le lieu où cette équipe effectuera son lancement officiel de la saison 2025.

Celui-ci aura-t-il lieu à Tavullia ?

Par ailleurs, la photo de Marco Bezzecchi, tout de noir vêtu, donne une idée de la future livrée des machines, apparemment conforme à « l’hypothèse du camion« .

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En 2024, Yamaha restera avec ses deux seules motos officielles sur la grille de départ du MotoGP, avec son incontournable champion du monde 2021 Fabio Quartararo et le nouveau venu mais très expérimenté Alex Rins. Par ailleurs, le constructeur aux diapasons bénéficiera du maximum des nouveaux points de concession. Il pourra ainsi tester avec les pilotes officiels, aura plus de pneus disponibles pour les tests et pourra développer à la fois le moteur et l’aérodynamisme.

Lin Jarvis fait ainsi le point : « tout d’abord, ce fut une saison très longue, 20 courses, le double en incluant les courses Sprint, une saison assez difficile, et je pense pour tout le monde. En 2022, nous avons atteint la dernière course comme prétendants au titre, mais en 2023, lors de la dernière course, nous nous sommes battus pour les neuvième et dixième positions du championnat ».

Il ajoute : « ce fut une année difficile, on a vu une amélioration dans la deuxième partie de saison. Je dirais que la première partie de saison a été très difficile. Lorsque nous avons réalisé que nous n’étions pas compétitifs, nous nous sommes habitués à cette situation, mais ensuite nous nous sommes réunis et avons changé notre mentalité et nous nous sommes améliorés, mais pas au point d’être là où nous voulions être et nous avons certainement l’intention d’être plus forts à l’avenir ».

Un Davide Brivio à la place de Lin Jarvis pourrait décider Valentino Rossi de retrouver Yamaha avec son team VR46

Certes, mais en cette trêve hivernale, la rumeur voudrait que Lin Jarvis soit sur la sellette. Une situation que l’on avait plutôt validée pour Alberto Puig chez Honda. Ainsi, selon la Gazzetta, le constructeur d’Iwata renforce ses effectifs pour tenter de convaincre Fabio Quartararo de rester. C’est dans cette optique qu’après Marco Nicotra, l’ancien responsable des performances de Desmosedici Massimo Bartolini a été embauché comme nouveau directeur technique.

On se sait s’il remplacera Kazutoshi Seki, actuel chef de projet du projet M1, mais toujours sous la supervision de Takahiro Sumi, président de Yamaha Motor Racing ou s’il travaillera à ses côtés. Mais Yamaha penserait aussi à remplacer Lin Jarvis par Davide Brivio, qui a mis un terme à son expérience en Formule 1 avec Alpine. Pour Brivio, ce serait un retour après des années en Superbike puis en MotoGP. On rappellera qu’il a été l’auteur du coup qui, à l’été 2003, a conduit Valentino Rossi à rompre avec Honda pour passer chez Yamaha, remportant immédiatement le titre. La présence de Brivio pourrait aussi représenter la clé pour amener le team VR46 chez Yamaha en tant qu’équipe satellite à partir de 2025… Le même Brivio a également mené Joan Mir au titre MotoGP en 2020 en tant que patron de Suzuki.

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La période était déjà inhabituelle, avec aucun visiteur venu les détailler et admirer leur palmarès ou leurs prouesses technologiques, contrairement à une habitude prise depuis 1998 à l’occasion du 50ème anniversaire de la marque. Mais là, rien, pas un bruit, pas âme qui vive.

Quand soudain…

En fait, Honda a produit cette vidéo à l’occasion de la fermeture temporaire du musée depuis le 4 décembre 2023, celui-ci devant rouvrir après une rénovation importante au printemps 2024.

Mais pas question de prendre le moindre risque en réalisant de telles acrobaties au milieu de pièces uniques et irremplaçables, donc la mission a été confiée à Takahisa Fujinami, alias  « Fujigas », la légende japonaise de trial qui pris sa retraite en 2021 à l’âge de 41 ans.

Bravo au champion et, pour ceux qui ne peuvent pas attendre la réouverture de l’établissement, la visite virtuelle prend toute sa légitimité, permettant de découvrir toutes ces merveilles depuis son canapé. Pour cela, il faut contourner le site officiel qui nous laisse en plan ou tente de nous renvoyer sur son petit frère californien, bien moins intéressant, et se rendre directement (à condition d’en avoir l’adresse au préalable) sur Google Maps.

Début de la visite (Vous pouvez changer d’étage et vous déplacer à votre guise).

Étage 3 (motos et voitures de course)

Étage 2  (motos et voitures de route)

Étage 1 (Technologie)

Attention, la visite peut durer un certain temps…

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Par Manuel Pecino / Motosan.es

Juan Martínez est présent dans le paddock du MotoGP depuis trois décennies. Le natif de Barcelone a travaillé chez Repsol Honda avec des champions tels que Mick Doohan, Álex Crivillé et Valentino Rossi. Il a également été responsable des motos de Sete Gibernau et de Nicky Hayden chez Ducati. Actuellement, il suit de près tout ce qui se passe en MotoGP en tant que commentateur pour DAZN. Dans cette interview, Juan Martínez parle du travail de Ducati la saison dernière et des changements chez Honda en vue de 2024.

En tant qu’observateur technique, y a-t-il quelque chose qui vous a frappé dans la saison 2023 ?
« Je dirais que, du côté négatif, ce qui m’a frappé, c’est ce qui a été rendu public au dernier moment : le fait que Honda ait une moto qui est apparemment si lourde. Pour moi, c’est un mauvais symptôme, un mauvais signe. »

On a parlé de plusieurs chiffres, entre sept et huit kilos…
« Il semble que l’on parle même de plus. Le ‘lifting’ qu’ils ont fait à cette version qu’ils ont eue à Valence est de sept à huit kilos. Mais il y a encore des progrès à faire dans ce domaine. Beaucoup de choses sont similaires à ce que j’ai vécu chez Ducati, avec Valentino Rossi, etc. Et cette moto, outre le fait qu’ergonomiquement c’était un désastre, en termes de poids c’était un désastre. C’est vrai que si elle est si lourde, c’est parce qu’il y a quelque chose à l’intérieur du moteur qu’ils ne peuvent pas vraiment changer, qui est probablement la masse du moteur. »

« C’est la seule explication, sinon pourquoi rester avec la moto comme ça toute l’année ? De plus, lorsque vous parlez aux gens, certains vous racontent beaucoup de bêtises. Certains disent qu’ils ont peut-être plus de quinze kilos en trop, et quinze kilos, c’est pratiquement le poids d’un réservoir plein. En d’autres termes, pendant toute la course, vous portez deux fois plus de poids que les autres coureurs. »

« Viñales a plus de potentiel qu’il n’en montre »

Et sur une note positive, y a-t-il eu quelque chose ?
« Du côté positif, ce n’est pas une surprise que Ducati soit toujours la référence, comme elle l’a montré. Depuis l’arrivée de Gigi [Dall’Igna], on a beaucoup parlé des décisions techniques de Ducati. Mais je pense que Ducati a réussi à prendre de très bonnes décisions sportives également. La gestion sportive est, de mon point de vue, ce qui a le plus d’impact sur le résultat final. La technique est une conséquence de la façon dont vous travaillez sportivement. En Malaisie, il y a eu une chose curieuse: Ciabatti a déclaré samedi matin que Martin pourrait être intégré dans l’équipe officielle. Et Bastianini a fini par gagner le dimanche. »

« Je pense que toutes ces choses ont un impact. Et Gigi, ces dernières années, sur le plan technologique, est le meilleur élève. C’est lui qui comprend le règlement de l’extérieur. Derrière, je vois la volonté de KTM, mais ce n’est pas beaucoup plus qu’une volonté pour l’instant. Je pense que sportivement, ils n’ont pas réussi à tout équilibrer. Et Aprilia, je pense qu’ils ont deux pilotes qui, entre eux, n’ont pas de véritable concurrence sportive. Ils ne sont donc plus sous les feux de la rampe. »

Ne pensez-vous pas que Viñales a envie de battre Espargaró et de prouver qu’il est meilleur ?
« Le palmarès de Viñales le prouve. Le fait est que Maverick, depuis son passage chez Yamaha, est dans une période un peu mystique. Je pense qu’il faut comprendre les critiques d’un point de vue positif, et je pense qu’il faut être critique envers ceux qui ont le plus de potentiel. Dans ce cas, Maverick a plus de potentiel qu’il n’en montre. C’est mon avis, c’est difficile de le mesurer, mais c’est ce que dit son palmarès. Mais le palmarès n’est utile que dans les négociations ; ce qui compte, c’est le résultat du dimanche. Et pour l’instant, Aleix est supérieur. »

« Bagnaia était le champion du monde mérité »

Vous parliez de Dall’Igna et du règlement, la différence est que les autres voient ce qu’ils ne peuvent pas faire, et Gigi voit ce qu’il peut faire ?
« C’est vrai, et en cela, il a l’avantage. Ensuite, il est évident qu’ils travaillent très bien. En termes de fiabilité, ils n’ont pratiquement aucun problème. Concernant le projet Ducati, pour leurs rivaux, c’est la pire chose : ils ne voient pas où se trouve la ‘faille’ dans le règlement. Et c’est ce qui rend leur projet plus solvable en ce moment. Il est vrai que nous disons ici que tout le monde peut gagner avec Ducati. Mais en fin de compte, ils ont eu deux pilotes fantastiques cette année : l’un est Bagnaia et l’autre Martin. Et de mon point de vue, Bagnaia a été le vainqueur mérité du championnat. Dans les mauvais moments, c’est lui qui a le mieux réagi. »

Le partage des données entre les huit pilotes Ducati est une bonne chose au niveau de la marque, mais au niveau des pilotes ?
« Dans le passé, lorsque nous jouions avec Sete [Gibernau] et Valentino [Rossi], il s’est avéré que Valentino pouvait voir nos données et que nous ne pouvions pas voir les siennes. En ce sens, la situation est plus équilibrée. Il est vrai qu’étant donné l’égalité du championnat, dans quelle mesure les petits détails, les petites choses, décident-ils des courses ? Je pense que pendant le week-end, cela devrait être limité ; et chaque équipe devrait pouvoir voir seulement et exclusivement ses données. Parce que sinon, on ne défend pas du tout les petites équipes. Votre travail, et la possibilité de vous différencier résident dans ce que vous faites à ce moment précis. Je pense donc que cela devrait être limité. »

A suivre…

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Manuel Pecino

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Marco Bezzecchi se « contentera » donc d’une GP23 au sein de l’équipe satellite VR46 alors qu’une GP24 lui était acquise chez Pramac. Un choix que son patron sur le terrain Uccio Salucci a analysé ainsi : « je le connais depuis que je suis enfant et j’ai vu dans ses yeux le désir de rester avec nous. J’ai donc réfléchi à la manière de lui donner le meilleur, tant sur le plan économique que technique. À mon avis, il a fait le bon choix, avec le cœur, et à mon avis, c’est plus pour ce que notre groupe peut lui apporter que ce qu’une moto officielle pourrait lui apporter qu’il s’est décidé ».

Il ajoute sur le fait que la GP24 ne sera pas en dotation : « j’ai essayé par tous les moyens avec Gigi Dall’Igna, mais il m’a toujours dit que c’était une question de timing. J’ai été un peu déçu, car nous l’aurions mérité, Marco et nous en tant qu’équipe, mais nous ne l’aurons pas et nous devrons faire de notre mieux de toute façon. Bez a testé la moto 2023 à Valence et l’a vraiment apprécié ».

Marco Bezzecchi : « la VR46 est aussi une marque »

Le pilote évalue quant à lui la situation ainsi : « la pression est là mais c’est normal dans tous les sports. Lorsque vous atteignez un niveau élevé, vous devez être performant et gérer la pression, et vous savez que la pression viendra tôt ou tard. Donc c’est normal. Mais vous savez, j’ai de la chance car je roule avec le team Vale depuis le Moto2. Je pense que c’est plus un privilège qu’une pression car pour finir, Vale a travaillé avec moi pendant de nombreuses années et m’a aidé à chaque fois ».

Il précise : « ce n’est pas un propriétaire d’équipe qui fait semblant. Il veut que vous alliez vite, mais si vous rencontrez des difficultés, il est le premier à venir vous aider, avec l’équipe bien sûr. Mais vous savez, c’est toujours une équipe satellite. Cela fait la différence en MotoGP. Quand on est dans une équipe Factory, c’est une façon différente de travailler, c’est une façon différente d’aborder les courses, les tests, tout. C’est normal. Cela fait partie du travail. Vous représentez une marque et maintenant je ne représente qu’une équipe… Je dis ‘juste une équipe’, mais c’est aussi… une marque ». On rappellera qu’en 2024, il aura un nouvel équipier en la personne de Fabio Di Giannantoinio, qui est, comme lui, un vainqueur de Grand Prix MotoGP.

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Francesca Sofia Novello, compagne de Valentino Rossi et mère de la petite Giulietta, était l’invitée d’une émission people en phase avec cette trêve des confiseurs propice à la confidence familiale : « j’ai grandi avec ma sœur et j’ai eu la chance de tout partager avec elle. Le partage fait la différence dans le processus de croissance. Ce sera encore plus vrai pour Giulietta, qui est la petite princesse de la maison ».

« Elle ressemble à Valentino Rossi ! »

Une Giulietta semble avoir repris la passion et l’ADN de son père Valentino pour la course : « c’est une petite princesse avec la passion de la moto dans son ADN » a ajouté Novello. « Giulietta est toujours intéressée devant les motos. Certainement parce que nous en avons à la maison avec les casques et puis un peu parce que le samedi il va au Ranch où s’entraînent les coureurs de la VR46 Riders Academy. Elle regarde les tests, les pilotes, elle est parmi eux même quand ils débriefent ».

Et elle en est convaincue : « elle sera la première championne de l’histoire du MotoGP. Elle ressemble à Valentino ! Elle met des petites voitures dans la poussette que je lui ai offerte et les emmène partout, c’est une dure à cuire ! ».

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Lorsqu’il est devenu évident que Fabio Di Giannantonio allait perdre son guidon chez Gresini au profit de carrément Marc Marquez, personne ne donnait cher de sa peau dans le paddock MotoGP pour l’année suivante. Puis il s’est admirablement révélé, montrant qu’il était de la trempe des bons, tel que l’a remarqué Carlo Pernat : « dans les moments les plus difficiles, quand il sait qu’il est à pied et qu’il n’y a plus de place pour lui, un pilote soit se ruine, soit sort ce qu’il a dedans. Il nous a montré beaucoup de choses en fin de saison, je ne serais pas surpris si l’année prochaine il était une surprise. Les dernières courses de Di Giannantonio étaient d’un très haut niveau ».

« Diggia » se souvient de cette période tendue : « je dois payer ma maison, donc c’était certainement une pression supplémentaire de ne pas savoir ce qui allait se passer ! Mais j’essayais de prendre les choses du bon côté et de me concentrer sur mon travail. Je pense que ma seule arme était d’être rapide sur la piste, d’essayer de faire dire beaucoup de bonnes choses et d’avoir beaucoup de gens qui me soutiennent ».

« Fabio Di Giannantonio est arrivé sur la pointe des pieds, l’équipe a eu une très bonne impression et puis il est allé très vite »

Et puis, à Valence, il est apparu une légende vivante … « Savoir que Valentino était au bord de la piste et peut-être me regarder était quelque chose qui peut vous rendre un peu nerveux, car c’est le meilleur. Mais j’étais dans un bon moment, j’étais super rapide dans presque toutes les conditions ». La signature avec la VR46 est ensuite arrivée et Uccio Salucci, qui avait d’abord parié sur Fermin Aldeguer, ne le regrette pas : « je suis très content pour Diggia, j’ai vraiment aimé son attitude, aussi bien lorsque je lui ai parlé que lors des essais de Valence. Il est arrivé sur la pointe des pieds, l’équipe a eu une très bonne impression et puis il est allé très vite ».

« Pour moi, c’est un nouveau défi et j’aime ça, c’est la première fois que je travaille avec un pilote qui ne fait pas partie de l’Académie ». Et il précise : « Diggia, cependant, n’était pas un plan B. Il allait très bien à ce moment-là, je lui avais parlé plusieurs fois et je le voyais avec une envie dévastatrice de venir vers nous ».

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Uccio Salucci et la VR46 répondra-t-il à cet appel de Maio Meregalli de chez Yamaha ? « Nous voulons une équipe satellite en 2025, c’est l’un de nos objectifs, et sa gestion sera différente de ce que nous avions dans le passé lorsque nous fournissions simplement des motos. L’idée que nous avons maintenant est d’avoir une synergie directe avec l’équipe satellite pour travailler ensemble. Bien sûr, la première équipe que nous choisirions serait celle de Valentino : il est ambassadeur de Yamaha, et notre relation est bien connue ».

Voilà qui est clair. Mais pour Uccio Salucci, il y a encore loin de la coupe aux lèvres, et d’abord parce qu’il a dans son box la machine gagnante avec ceci en assurance … « Le plus important est que nous avons une option de 2 ans en notre faveur, donc si, de manière absurde, nous nous décidions demain, nous serions également en 2025 et en 2026 avec Ducati ». Il ajoute : « j’ai parlé à tout le monde, je n’ai pas honte de le dire, avec Ducati, avec KTM, avec Yamaha, maintenant c’est un peu tôt pour comprendre ce qu’on va faire, même si je suis d’avis de ne pas prendre cette décision trop tard ».

Uccio Salucci : « en MotoGP on ne sait jamais ce qui va se passer et pour le moment je négocie avec tout le monde »

L’Italien fixe alors un semblant d’échéance : « c’est une discussion importante qui affecte l’année elle-même et j’aimerais comprendre ce que nous voulons faire après les premières courses, afin de donner une réponse ». Et quelle serait sa priorité ? Sur GPOne, il mentionne : « peut-être que chez Yamaha et KTM nous ferions davantage partie du projet que nous ne le sommes actuellement chez Ducati, mais je m’entends très bien avec Gigi Dall’Igna et Claudio Domenicali ».

Il conclut : « de l’extérieur, nous et Gresini sommes deuxièmes derrière Pramac, mais tout ce que j’ai demandé m’a été donné, je connais mes limites mais parfois j’en ai eu encore plus. Ces derniers jours, j’ai parlé avec Dall’Igna, nous voulons continuer à nous améliorer ensemble, mais je ne veux pas dire de fausses choses, en MotoGP on ne sait jamais ce qui va se passer et pour le moment je négocie avec tout le monde ».

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En 2024, cela fera 20 ans que Valentino Rossi remportait sa première victoire pour Yamaha dès son premier Grand Prix dans la catégorie reine, après avoir claqué la porte de Honda. Le début d’une épopée entamée avec un baiser et une conversation sur le bord de piste avec sa moto. Une scène qui est restée dans toutes les mémoires.

Jonathan Rea : « ce serait une belle histoire… »

Nous voici en 2024 et en février, du côté de Phillip Island, Jonathan Rea fera ses débuts comme pilote officiel Yamaha. Lors d’une interview avec le journal La Gazzetta dello Sport, il a été rappelé au Britannique ce succès immédiat de Valentino Rossi avec la marque d’Iwata. Et il a répondu dans des propos relayés par motorcyclesports : « je dirais que cela dépasserait largement mes attentes les plus folles. Bien sûr, nous devons être compétitifs si nous voulons nous battre pour le titre, qui est notre objectif ».

« Mais être fort dès les premières courses de l’année serait un rêve. J’aime vraiment Phillip Island, habituellement, la R1 est performante sur ce circuit. Ce serait une belle histoire… » conclut celui qui aura Andrea Locatelli comme équipier.

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Par Luigi Ciamburro de Corsedimoto

Ducati devient une proie très convoitée pour les géants japonais (et pas seulement) qui veulent revenir aux avant-postes en MotoGP. Le marché des techniciens continue de bouger, en attendant le marché des pilotes, qui apportera certainement quelques rebondissements dans les mois à venir. Il y a un an ces jours-ci, Alberto Giribuola partait, passant de Gresini à KTM (précédé de Fabiano Sterlacchini, directeur technique de KTM). Désormais, c’est Yamaha qui fait les « courses » dans le département d’ingénierie de Borgo Panigale.

Il y a quelques mois déjà, Ducati a perdu Marco Nicotra, l’adjoint à l’aérodynamique, qui a déménagé à Iwata pour tenter d’apporter son soutien à un département où les Japonais sont en difficulté. Lors du test de Valence, Nicotra figurait déjà sous le maillot Yamaha aux côtés de Fabio Quartararo et Alex Rins. Il sera également rejoint par Massimo Bartolini, responsable des performances du Desmosedici GP, qui, après de nombreuses années en rouge, a décidé de migrer vers le garage des diapasons.

Un Italien à la direction technique, un autre aux commandes … Yamaha va séduire Valentino Rossi !

Bartolini assumera le rôle de directeur technique, sous la supervision de Takahiro Sumi. Une démarche pour tenter de convaincre Fabio Quartararo de rester, étant donné que le champion du monde 2021 a demandé à plusieurs reprises de plus grandes garanties techniques pour renouveler sa confiance.

Il y a une grande effervescence chez Yamaha au point que le nom de Davide Brivio y est entendu. Le manager de Brianza a conclu prématurément le contrat avec Alpine F.1 et selon les rumeurs, il serait sur le point de revenir en MotoGP. Au départ, son nom était lié à Honda, mais apparemment c’est Yamaha qui a jeté son dévolu sur lui. Il pourrait être, selon ‘La Gazzetta dello Sport’, le successeur de Lin Jarvis au poste de directeur général à partir de la saison 2025. D’où la possibilité que l’équipe VR46 de Valentino Rossi quitte Ducati pour se lancer dans le projet Yamaha…

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Par Luigi Ciamburro de Corsedimoto

Luca Marini a signé un contrat de deux ans avec Honda, vingt ans après son frère Valentino Rossi, qui a quitté le constructeur japonais fin 2003. Le « Doctor » a passé quatre saisons passionnantes avec la Golden Wing et a remporté trois titres mondiaux, dont le premier de l’ère MotoGP en 2002. C’est désormais à son frère de tenter d’écrire l’histoire avec la célèbre marque de deux-roues, même si l’entreprise n’est pas du tout facile, la RC-V ne naviguant pas dans de bonnes eaux.

Le passage de l’équipe Mooney VR46 à Honda a été presque un « choc » pour le frère aîné, car personne ne s’y attendait. Après que Marc Marquez ait annoncé qu’il souhaitait quitter le HRC, le nom le plus avancé pour le remplacer était Fabio Di Giannantonio. En réalité, l’équipe dirigeante de Luca Marini a su entrer astucieusement dans la négociation, en obtenant un contrat de deux ans. La concrétisation d’un rêve pour le jeune étudiant de la VR46 Academy, qui souhaitait une équipe officielle au plus vite.

Valentino Rossi : « je l’aiderai autant que je peux »

Est-ce que ce sera le bon choix ? Il quitte la championne du monde Ducati Desmosedici, pour monter sur la moto qui a les plus grandes difficultés techniques sur la grille MotoGP… « Je l’aiderai autant que je peux – a admis Valentino Rossi pendant le week-end de Valence -. « Étant donné l’évolution de la moto aujourd’hui, c’est un choix difficile, mais Honda reste toujours Honda ».

Le nonuple champion du monde a fait son passage chez Honda, avant de rejoindre Yamaha pour prouver qu’il était le plus fort, au-delà de la moto. Un geste que les hommes du premier constructeur mondial n’ont jamais digéré, même si les frictions étaient déjà palpables avant les adieux. « Ils ne m’ont pas traité comme un champion, je devais les remercier si je gagnais, c’est pourquoi j’ai décidé de partir », a révélé Valentino Rossi à ‘Australian Motorcycle News’. Il pointe du doigt certains membres du box : « il y avait une certaine arrogance chez Honda, ils étaient trop sûrs d’eux… Ils n’ont pas montré de respect pour ce que j’ai fait pour eux ». L’arrivée de son frère Luca Marini chez Honda, qui a fait ses débuts sur la RC-V lors des essais de Valence, ne pourra évidemment pas effacer le passé…

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La saison 2024 marquera-t-elle le retour d’une confrontation directe entre deux noms pour le moins légendaires en Grand Prix, soit celui de Marquez et de Rossi ? On peut s’y attendre puisqu’ils se retrouveront sur la piste avec des motos de la même marque, soit Ducati. Ce qui n’a pas échappé au « Doctor » qui en déjà pris la mesure …

Valentino Rossi : « nous espérions que Ducati nous donnerait la moto d’usine »

Ainsi, dans un entretien avec GPOne, le nonuple titré a ainsi commenté l’arrivée de l’octuple Champion du Monde sur la Desmosedici : « l’arrivée de Marc sera très intéressante à voir. Tout comme la façon dont Ducati va gérer la situation… Marc sera très dangereux et notre équipe devra être en forme ».

Puis il ajoute : « nous espérions que Ducati nous donnerait la moto d’usine ». Une opportunité qui, on le sait, n’a pas été donnée par le staff de Borgo Panigale. « En fait, nous avons défendu Bezzecchi avec nos dents. Cependant, nous espérons qu’il y aura peu de différence entre la GP24 et la GP23, et nous en essaierons de nous battre pour le championnat avec « Bezz». »

La feuille de route, voire le plan de bataille, est écrite. On se souviendra que Marco Bezzecchi et Marc Marquez ne se sont pas quittés bons amis lors du dernier Grand Prix de l’année à Valence. Marco Bezzecchi aura pour équipier l’an prochain un Fabio Di Giannantonio, qui, s’il poursuit sur la lancée de sa fin d’année, pourrait aussi avoir un rôle à jouer …

Cet article MotoGP, Valentino Rossi réagit sobrement à l’arrivée de Marc Marquez dans le clan Ducati : « il sera très dangereux et notre équipe devra être en forme » est apparu en premier sur Paddock GP.

Dans les colonnes de GPOne, Valentino Rossi s’est longuement confié à l’issue de ce week-end singulier. Il faut dire qu’avec son engagement automobile chez WRT, on ne le voit pas souvent dans les paddocks, pas autant que ce qu’on imaginait en tout cas. Lui reste très fier de son poulain Pecco, comme d’habitude. « Nous sommes champions du monde ! Que dire de plus. J’étais déjà très excité de voir ses qualifications. Je pensais qu’il pouvait remporter le titre hier, mais avec le choix du pneu médium, il a été en difficulté » confiait le GOAT ce soir.

2018 💍
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— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 26, 2023

Valentino Rossi n’a pas eu autant de succès que son élève chez Ducati. En 2011 et 2012, il connut deux saisons difficiles au guidon d’une Desmosedici récalcitrante. Lui ne regrette pas le choix de revenir chez Yamaha en 2013. « Ducati a été compétitif en 2015. Trois ans, c’était long. Je voulais gagner de nouveau et c’est pourquoi je suis retourné chez Yamaha » ajoutait-il. En bon termes avec la marque qui équipe sa formation, il aurait simplement espéré des motos de 2024 pour Marco Bezzecchi l’an prochain, troisième du championnat cette saison. « Nous espérions que Ducati nous en donne, nous avons défendu corps et âme cette idée. Espérons qu’il y ait peu de différences entre la GP23 et la GP24 » précisait-il.

À l’heure où nous écrivons ces lignes, le successeur de Luca Marini n’est toujours pas officialisé chez Mooney VR46. Avec Fermin Aldeguer confirmé chez Speed Up en Moto2 pour 2024, cela ne fait plus aucun doute ; Fabio Di Giannantonio va prendre la place. Mais Rossi ironise. « Il y a deux pilotes italiens en ballottage. Peut-être que je serai le deuxième, et que je piloterai la Ducati mardi ! » plaisantait-il, avant d’ajouter que Marc Marquez sera, chez Gresini, « très dangereux » pour le classement général.

Aimeriez-vous voir Valentino Rossi remettre le cuir, ne serait-ce que pour un essai ? Dites-le nous en commentaires !

Résultat du Grand Prix de la Communauté Valencienne 2023 :

Crédit classement : MotoGP.com

Photo de couverture : Michelin Motorsport

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Valentino Rossi semble aussi impatient que nous de connaitre l’issue de ce Grand Prix de Valence qui ne lui a pas porté chance lorsqu’il a fallu qu’il y dispute une finale pour le gain d’un titre mondial. Après le Sprint du samedi, il rappelle la conjoncture : « quatorze points sont un avantage important dans une course. Mais c’est aussi le dernier Grand Prix et c’est dur. Pecco est à fond. J’aurais certainement préféré avoir un avantage de 14 points plutôt qu’un désavantage ».

A partir de là, il évalue sur Sky la situation de chacun des duellistes : « Pecco partira deuxième, il peut bien démarrer, en espérant qu’il fasse le bon choix de pneus ». Une mention qui révèle un sujet discuté dans le clan de Tavullia : « nous nous sommes demandé pourquoi Bagnaia n’avait pas copié les pneus de Martin. Si c’était le bon choix, cela aurait été pour eux deux, idem si cela avait été le mauvais. Mais Pecco se sentait bien avec les médiums le matin, Bezzecchi et Marini ont également commencé avec les médiums, il semblait que les deux pneus étaient similaires d’après les données. Et en course, les tendres ont fait la différence ».

Il révèle aussi l’étendue de son soutien à son académicien : « Pecco me semble plus calme que l’année dernière, car il a déjà vécu tout cela et l’expérience aide toujours. Vendredi soir, nous avons parlé et samedi il a donné tout ce qu’il avait et ce à quoi nous avions pensé. Samedi soir sera plus dur mais ce ne sera pas facile non plus pour Martin ».

Valentino Rossi : « j’essaie d’aider nos pilotes mais je le vis aussi avec le cœur »

Et il en arrive à l’Espagnol : « Martin joue tout, il est prêt à tout pour remporter le Championnat du Monde, comme marquer Pecco le vendredi… Mais Bagnaia samedi a été parfait le samedi dès le premier tour, il a tout renversé et il y avait aussi le rêve de le boucler dès le sprint, mais ça ne s’est pas passé comme ça ».

« Il était immédiatement clair que Jorge Martin était l’un des plus forts du MotoGP. Il y avait des doutes sur son physique, il avait eu de graves blessures, mais depuis que Pecco a chuté à Barcelone, Martin a mis la marche en avant. Il a compris que cela pouvait être sa chance. Il y avait 66 points de retard et le Championnat du Monde était presque terminé, mais à partir de là, Martin a dit ‘c’est l’occasion, je vais essayer’ ».

Tout cela étant dit, Valentino Rossi va maintenant profiter du spectacle : « en attendant, je prends beaucoup de photos avec les fans ! Ensuite, j’essaie d’aider nos pilotes mais je le vis aussi avec le cœur. C’est agréable de voir ça de l’extérieur, sur la grille. C’est toujours une super ambiance, il y a la tension de la course mais au final ce n’est pas moi qui court ».

Both title contenders have the same strategy for tomorrow, to win the race! 🥇

And that means one thing, it's going to be an EPIC #PECCOvsMARTIN final duel! 🔥 ⚔️#ValenciaGP 🏁 pic.twitter.com/8l2uEVPt7l

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 25, 2023

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A peine arrivé à Valence, Valentino Rossi a fait bouger les lignes en montrant que la communication de la VR46 n’appartenait pas à Honda. Ainsi, une annonce officielle des couleurs de Tavullia informant du départ de Luca Marini est arrivée rédigée comme suit : « d’un commun accord, pour les deux parties, le moment est venu de poursuivre des objectifs ambitieux et des résultats en suivant des voies différentes. Toute la direction, l’équipe et les personnes impliquées dans le projet souhaitent à Luca le meilleur pour son avenir ».

Le départ acté, il manquait encore la destination. Alors Valentino Rossi a commenté sur Moto.it : « le départ de Luca a été un choc pour nous, nous ne nous y attendions pas. Je suis vraiment désolé, c’était agréable de voir Luca devant, étant le protagoniste, avec mon équipe, nos motos. Mais il avait cette opportunité d’avoir une place libre dans une équipe officielle, et en tout cas de la Honda officielle ».

Valentino Rossi : « Honda c’est Honda, pour nous qui sommes d’un certain âge »

Il précise même : « deux ans de contrat, c’est un choix difficile ». Il ajoute aussi, taquin : « et puis Honda c’est Honda, pour nous qui sommes d’un certain âge ».

Est-ce à dire que la marque au blason ailé appartient d’déjà à l’histoire ? Vale répond … « Chez Honda, ils ont compris qu’ils devaient passer à la vitesse supérieure, parce que Ducati a pris une grande avance… Puis l’année prochaine, les constructeurs japonais auront de l’aide venant du règlement, et Luca est un très bon pilote d’essai donc nous verrons. J’ai toujours été un grand fan du Japon et des pilotes japonais ». Dès mardi prochain, l’intersaison 2024 commencera. On attend de voir ce que Honda y proposera et avec quel staff …

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L’intervention du bras droit du « Doctor » donne le sentiment d’un coup de poing sur la table de la part d’un patron … « Nous avons deux options et Vale est venu parler, c’est lui le vrai patron, pas moi. Dans les prochains jours, nous essaierons de trouver la bonne décision pour nous ». Il ajoute : « j’ai dit non à Di Giannantonio au début parce que notre projet est davantage pour des pilotes débutants, mais de toute façon, il faut voir ».

Uccio Salucci : « Valentino Rossi est le vrai patron, pas moi »

« Fabio Di Giannantonio lors des deux ou trois dernières courses a été incroyable, et nous lui avons beaucoup parlé hier. Vale vient ici pour décider, pour prendre la bonne décision pour 2024 » précise Uccio au micro de Jack Appleyard de motogp.com.

Aussi interrogé sur l’identité de l’autre option, Salucci est resté discret mais a exclu une décision pour l’une des étoiles montantes du sport : « non, ce n’est pas Fermin Aldeguer. C’est un autre très jeune pilote et nous verrons dans les deux prochains jours ». Avec le premier test de 2024 qui aura lieu mardi, le temps presse pour l’équipe VR46 de prendre une décision…

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Si l’on ajoute à cette hypothèse avancée par Speedweek le fait que Luca Marini aurait un contrat de deux ans qui étonne un Marc Marquez qui devra prendre en compte cette donne qui lui enlève une place pour ses plans 2025, on peut finir par se demander si la VR46 n’a pas commencé à poser ses jalons chez Repsol Honda.

Ce qui est acquis, c’est qu’Alberto Puig avait plaidé pour un contrat d’un an pour Fabio Di Giannantonio en remplacement de Marc Marquez. Mais les Japonais ont opté pour un contrat de deux ans pour Luca Marini. Partant de là, les rumeurs se font de plus en plus pressantes selon lesquelles Alberto Puig serait absent des rangs lors de la prochaine saison MotoGP.

Chez Honda, l’arrivée d’un Davide Brivio est discutée

La tendance voulant que Valentino Rossi ait maintenant son mot à dire sur les orientations de Honda via l’arrivée de Luca Marini se confirme avec la rumeur entendue à Valence de l’arrivée de Davide Brivio en lieu et place de Puig. On rappellera que Davide Brivio a travaillé par le passé pour la VR46 et comme manager du Doctor. De plus, le fils de Davide, Luca Brivio, est impliqué dans l’environnement VR46 en tant que coordinateur de l’équipe Mooney VR46 MotoGP.

Cependant attention : Alberto Puig s’est vu attribuer de nombreux pouvoirs par le HRC et possède même des infrastructures qu’il loue au HRC, notamment dans le Championnat du Monde Superbike. On ne se débarrassera donc pas si facilement de lui si telle est l’ambition. Pendant ce temps, Honda n’a rien annoncé officiellement …

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Les bruits de couloir ne cessent jamais en MotoGP et après avoir dessiné tout de même ce que sera la grille 2024 contre toute attente, voilà qu’ils esquissent des croquis pour 2025. Deux cas font l’objet de la rumeur. D’une part la VR46 et, d’autre part Enea Bastianini. Et le duo ne se trouve que dans une source : Speedweek.

Commençons par Enea Bastianini. Speedweek assure que Carlo Pernat, manager d’Enea Bastianini, a fait savoir après le Grand Prix de Malaisie que le « Bestia » était déjà engagée dans des discussions prometteuses avec KTM pour 2025 et 2026… « KTM est une opportunité pour nous » a déclaré Pernat à propos de l’avenir de son pilote qui a roulé pour la marque autrichienne du temps de la Red Bull Rookies Cup en 2013. A cette idée, Pit Beirer a répondu : « KTM compte 6 000 salariés. Je ne sais pas à qui Pernat parlait. Pas avec moi. Mais pourquoi pas ? ».

Le MotoGP fait déjà ses plans pour 2025

Il y a ensuite la VR46. Speedweek assure qu’à Doha, l’ambassadeur Yamaha, Valentino Rossi, a déjà conclu un accord avec Yamaha pour deux ans. Le Team devrait alors rivaliser avec des M1. Au moins un des deux pilotes recevra probablement une moto d’usine en 2025, comme Luca Marini chez Ducati en 2022. Ce qui est certain cependant, c’est que l’équipe s’appellera, et dès l’an prochain, Pertamina VR46.

Le propriétaire de l’équipe, Valentino Rossi, le directeur de l’équipe, Uccio Salucci, et Gianluca Falcioni, PDG de l’agence VR46, ont en effet conclu un accord à long terme d’un million de dollars avec le géant pétrolier Indonésien. Au cours des trois prochaines années, soit de 2024 à 2026, l’équipe italienne de MotoGP sera soutenue en tant que sponsor principal par la société énergétique indonésienne Pertamina Lubricants, qui a généré un bénéfice de 3,8 milliards de dollars en 2022. Un nom qui s’associera à celui de Bardahl, co-sponsor de l’industrie pétrolière pendant deux ans.

Alessio Salucci, directeur de l’équipe VR46 Racing a commenté : « l’ajout de Pertamina Lubricants, qui sera le partenaire titre de l’équipe VR46 Racing pour les trois prochaines saisons, marque de manière significative une étape importante dans l’histoire de notre équipe. Nous voulons faire un pas de plus ensemble vers la réalisation de nos objectifs ».

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Luca Marini a clôturé le Grand Prix de Malaisie, 18e course du MotoGP 2023, en dixième position. Il s’en est d’abord bien sorti en partant de la cinquième place sur la grille. Mais une fois en bagarre dans le peloton des poursuivants il a connu des difficultés sur la fin.

« Une course très difficile » commente le pilote de la VR46. « J’ai essayé de tout donner dès le départ, car je savais que ce serait le moment crucial. L’accélération n’était pas mauvaise, puis j’ai engagé la deuxième vitesse, la moto s’est mise à vibrer et quand le pneu a touché le sol, et j’ai perdu l’avant. J’ai dû couper les gaz au virage 1 et j’ai perdu beaucoup de positions ».

Luca Marini et l’image de Valentino Rossi : « peut-être que c’est lui qui ira courir chez Honda »

L’équipier d’un Marco Bezzecchi sixième à Sepang ajoute : « la vitesse n’était pas mauvaise, le Top 6 était possible, mais j’avais beaucoup de mal dans le sillage des autres. J’ai commencé à avoir des problèmes avec le pneu avant, puis le pneu arrière est tombé. Dommage, retournons travailler au Qatar ».

Puis il précise sur la rumeur insistante jusque dans les rangs de l’académie VR46 l’installant dans le box Repsol Honda en lieu et place de Marc Marquez en 2024 : « je ne sais pas. C’est juste un plaisir d’être dans cette situation. Et j’aimerais avoir la meilleure opportunité pour ma carrière, ma vie et essayer de me battre pour obtenir les meilleurs résultats possibles l’année prochaine et dans les années à venir. Alors nous verrons ». Il conclut sur l’image posté par Valentino Rossi sur Instagram : « peut-être que c’est lui qui reviendra et ira courir chez Honda. Ce serait intéressant et je pense qu’il peut être rapide ! ».

Résultats du GP de Malaisie MotoGP

Championnat : classement général

Crédit classement motogp.com

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Incroyable mais vrai, le successeur de Marc Marquez chez Repsol Honda sera le demi-frère de Valentino Rossi, soit Luca Marini qui rapportera donc à Tavullia une combinaison que son ainé avait jeté en son temps avec fracas pour rejoindre les rangs de Yamaha. Un épisode qui semble amuser le nonuple titré, la preuve …

Mais la même perspective étonne Marc Marquez : « Luca Marini passe de l’équipe compétitive Ducati et de son frère à Honda. Je ne connais pas la raison principale pour laquelle il fait ça. À l’avenir, je me lancerai dans une moto de compétition, tandis que Luca démarre un projet où beaucoup de travail l’attend. Parfois, un projet comme celui-ci fait une impression différente vu de l’extérieur, et puis quand on regarde dans les coulisses, on a une impression différente… Il faut donc lui demander quelles sont ses motivations. Néanmoins : je suis content pour lui. Mais une moto compétitive est plus importante pour moi ».

Marc Marquez : « j’ai toujours eu une très bonne relation avec Luca Marini car il faut séparer certaines choses »

Il ajoute : sur Speedweek : « je ne connais pas exactement la stratégie de Honda pour 2024 et le futur. Honda reviendra au sommet, avec moi ou sans moi. Mais pour cela, ils ont besoin de temps. J’ai 30 ans et je n’ai pas ce temps. En fait, j’attendais Di Giannantonio il y a deux ou trois Grands Prix. Mais il était déjà clair en Thaïlande qu’il n’y aurait pas d’accord avec lui. Il semblerait que Luca prenne ma place. Je suis content pour lui. J’ai toujours eu une très bonne relation avec lui. C’est une bonne chose car il faut séparer certaines choses. Je suis content pour lui, c’est un jeune pilote. Une fois que cela sera officialisé, il aura un beau défi devant lui ». Et d’après les dernières informations, Luca Marini a réussi à décrocher un contrat de deux ans.

Résultats du GP de Malaisie MotoGP

Championnat : classement général

Crédit classement motogp.com

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Avant de parler de cette évaluation peu en faveur de Luca Marini, il faut mentionner sa révélation à propos de la RC213V officielle qui cherche désespérément son pilote pour 2024 … Car l’Italien reconnait qu’il a rencontré Alberto Puig, le manager de l’équipe Repsol Honda, pour discuter d’un transfert. Mais cela n’a finalement abouti à rien… « La situation est compliquée », a déclaré Marini lors de sa conférence de presse en préliminaire du Grand Prix de Malaisie prévu pour ce week-end. « Tout s’est passé très tard étant donné que Marc Marquez a fait ses adieux en octobre ».

« Je suis très heureux d’être pris en considération par Alberto Puig, cela signifie que je travaille bien et que je démontre mon potentiel » a ajouté l’équipier de Marco Bezzecchi. « C’est mon rêve, mon objectif, d’aller dans une équipe d’usine et d’essayer de développer la moto pour la mener à la victoire. Mais il faut qu’il y ait une bonne situation et pour le moment, avoir un contrat, c’est compliqué ».

« Je ne pense pas qu’il serait très intelligent que Luca Marini quitte Ducati pour aller chez Honda », et pour Johann Zarco ?

Tout allait bien jusque ce que Oscar Haro présente le sujet sous un autre aspect sur motosan… « Je vous dis la vérité, je ne sais pas comment un pilote comme Luca Marini peut envisager de partir » déclare l’ancien cadre du team LCR. « Qu’il dise qu’il veut rouler sur une moto officielle, d’accord, mais il a fait du très bon travail avec sa moto, c’est difficile maintenant d’être ailleurs ».

Il ajoute : « si le meilleur pilote, qui est Marc Marquez, a quitté Honda pour aller chez Ducati, je ne pense pas qu’il serait très intelligent que Luca Marini quitte Ducati pour aller chez Honda… ». Une réflexion à méditer puisque c’est exactement ce que Johann Zarco a fait en signant pour deux ans avec Honda pour une place chez LCR, abandonnant ainsi son poste chez Pramac Ducati.

Mais Oscar Haro a ainsi poursuivi : « quand Luca Marini est venu courir dans le championnat espagnol, je l’ai aidé parce qu’il était le frère de Valentino Rossi. Toutes les portes qui ont été ouvertes à Luca l’ont été parce qu’il est le frère de Rossi ». Depuis, Marini a fait son chemin. Et au vu de l’histoire entre Rossi et Honda, il serait étonnant qu’il ait été approché par Puig parce qu’il est le demi-frère du Doctor.

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Une situation invraisemblable il y a 10 ans

Après un très chaud Grand Prix de Thaïlande, Jorge Martín, en grand vainqueur, exulte. L’Espagnol vient de réaliser une nouvelle performance XXL, digne des plus grands. Il vient de battre, sur la ligne, Brad Binder et Pecco Bagnaia, deux de ses adversaires les plus féroces. Accessoirement, il a derrière lui le pilote officiel Ducati alors qu’il n’est « qu’un » satellite. Puis, en allant dans la fameuse cooldown room pour regarder les meilleurs moments de la course, tous se congratulent, rigolent. Comme des copains après une course de karting le dimanche après-midi.

Il faut se rendre compte de ce que l’on vit ; rares furent les saisons plus tendues au XXIe siècle, et jamais le pilote d’usine, fer de lance de la meilleure marque en MotoGP, ne fut menacé par un outsider employé par un client. Le momentum a changé de camp à de nombreuses reprises, mais jamais il n’y eut de guerre psychologique.

L’entente cordiale. Photo : Michelin Motorsport

La situation est d’autant plus incroyable que Jorge Martín, en particulier, a l’un des caractères les plus marqués de la grille ; il a une belle gueule, badboy, il est rapide, explosif, tranchant lors des dépassements et toujours dans la course au titre à trois manches du terme. Il aurait tous les droits de narguer Pecco Bagnaia. Et pourtant, non, il se marre après la course avec l’Italien, ou avec tous ceux qui se succèdent sur les podiums. Peut-être le regrettera-t-il, mais je ne veux pas l’accabler ; tous font pareil. C’est presque incompréhensible car des saisons similaires ne se produiront peut-être jamais plus, aussi jeunes les acteurs soient-ils.

C’est tout à fait intrinsèque à cette génération de pilotes. Vous n’auriez jamais pu faire rigoler Casey Stoner et Jorge Lorenzo ensemble après une course alors qu’ils ne se détestaient même pas. Pourtant, le « Martinator » et les autres sont d’aussi grands compétiteurs, c’est à n’en pas douter au plus haut niveau mondial. Juste, leurs caractères sont différents.

When they ask if we’re ready to race in Malaysia, all we can say is, ‘VAMOSSSS!’ 🏁🇲🇾 #RaceModeOn #MalaysianGP pic.twitter.com/EPNFlhmWPa

— Prima Pramac Racing MotoGP (@pramacracing) November 6, 2023

On ne peut rien y faire

Aujourd’hui, il n’y a plus de rivalités en Grands Prix, c’est comme ça, il faut l’accepter. Souvent, je vois l’argument suivant : « Il faut profiter de cette période car cela nous permet de nous concentrer sur la piste uniquement, la discipline n’est pas décrédibilisée par des clashs ». Et alors ? Moi je veux voir ces affrontements. Ce sont ces événements qui créent des souvenirs, de la nostalgie.

Je publie cet article avant le Grand Prix de Malaisie pour une bonne raison ; il y a huit ans déjà, nous assistions à la plus grande course de l’histoire du MotoGP, ce fameux affrontement entre Marc Márquez et Valentino Rossi. Pourquoi n’aimerais-je pas cet épisode épique ? C’était fantastique, tout comme Suzuka 1989 et 1990 en Formule 1. Bien sûr que je veux en revivre, et il n’y a pas de mal à ça. Le divertissement fait partie intégrante des sports mécaniques depuis leur popularisation dans les années 1920. Déjà à l’époque, on aimait les rivalités, beaucoup plus exacerbées que maintenant. Il faut arrêter de nous faire croire que l’essence du sport n’est pas respectée quand deux pilotes s’envoient des piques dans la presse ou se battent ardemment sur la piste, car c’est tout l’inverse. Tazio Nuvolari et Achille Varzi vous le confirmeraient.

Bastianini a déjà piqué des pilotes dans la presse, mais il n’a pas pu s’exprimer cette année. Est-il celui qui relancera une guerre ? Photo : Michelin Motorsport

Le problème a d’ailleurs été soulevé par Pedro Acosta il y a peu. Lui a compris. « Les gens veulent des rivalités comme à l’époque, ils ne veulent pas voir tous les pilotes s’entendre à merveille » déclarait-il dans un contenu MotoGP partagé sur Instagram. Mais que peut-on y faire ? On ne peut pas forcer Jorge Martín à détester Pecco Bagnaia, pas plus qu’on peut pousser ce dernier à se durcir un peu. Il ne nous reste plus qu’à constater l’absence d’âme dans cette saison au potentiel infini. La minceur de la trace qu’elle laissera dans l’histoire, surtout si l’officiel Ducati l’emporte.

Espérons qu’un jour, Pedro Acosta, ou un autre, osera relancer la guerre psychologique, arme totalement légale mais trop souvent critiquée à l’heure des caractères lissés. Afin de savoir pourquoi cela pourrait être un problème à long-terme, ou plus largement retrouver une analyse moins sentimentale à ce sujet, cliquez-ici.

Que pensez-vous du manque de rivalité cette saison ? Dites-le nous en commentaires !

Après, rien n’est joué. Marc Marquez et Valentino Rossi s’entendaient très bien avant la saison 2015. Photo : Michelin Motorsport

Photo de couverture : Michelin Motorsport

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Sur le circuit de Buriram tout d’abord, où le championnat du monde MotoGP a posé ses valises le temps de la manche thaïlandaise. Et quel spectacle !

Francesco Bagnaia, qui a remis son titre en jeu, est à la lutte avec l’espagnol Jorge Martin et, plus à la traine, le sud-africain Brad Binder pour la troisième place finale. Sauf qu’en course, et notamment lors de l’épreuve de dimanche, les trois pilotes se sont âprement disputé la victoire. Le pilote KTM notamment n’a pas lâché d’une semelle la Ducati Prima Pramac de Martin, allant même dans l’avant dernier tour jusqu’à lui ravir la première place. C’était sans compter sur l’invraisemblable effort de l’espagnol qui, au prix d’un freinage savant, réintègrera sa position de leader pour l’emporter d’un souffle sur la ligne d’arrivée.

En WSBK, à l’occasion du dernier week-end de la catégorie clôturant la saison 2023, les compétiteurs ont lutté sur le circuit andalou de Jerez de la Frontera. Et pour le coup, lors de la dernière manche dominicale, tous avaient à cœur de livrer une prestation de choix pour leurs employeurs respectifs : Jonathan Rea chez Kawasaki après une collaboration de 9 années et six titres mondiaux, Toprak Razgatlioglu chez Yamaha où il conquit son premier titre mondial en 2021, enfin Alvaro Bautista dont le gain du championnat pour la seconde année consécutive venait d’être entériné la veille, et qui souhaitait parachever sa domination avec la Ducati. Un dernier triplé pour la gloire.

Là aussi, comme en MotoGP, le spectacle fut au rendez-vous, l’une des plus grandes courses de la catégorie pour les puristes avec un nombre de dépassements invraisemblable. Comme à Portimao précédemment, alors que le nord irlandais partait au tapis à vouloir trop bien faire, les pilotes turc et espagnol se sont rendus coup pour coup. Ce fut une fois encore magnifique tant la virtuosité était de mise. D’autant plus impressionnant au regard des caractéristiques affolantes des machines.

Toprak Razgatlioglu, qui ne lâche jamais le morceau, s’imposera de quelques millièmes au drapeau à damier. C’était beau de voir à quel point il exultait sur sa machine, lui toujours si réservé, après cet authentique exploit. Cette farouche soif de victoire malgré un combat que d’aucuns jugent techniquement illégal, mais c’est un autre sujet.

Las, sa satisfaction fut de courte durée : le Turc, ayant mordu avec son pneumatique arrière sur la partie verte à l’extérieur du dernier virage, se verra déclassé au profit de l’espagnol. Une seconde place au goût bien amer tant dans les faits la victoire lui revenait, incontestablement. Alvaro Bautista le reconnaitra lui-même en louant la performance de son adversaire.

Cette situation aura sans doute rappelé à Toprak Razgatlioglu la manche nivernaise de 2021 où il fut également débouté de la première place du podium après un appel de Jonathan Rea sur Kawasaki. Pas glorieux d’ailleurs de la part du nord irlandais qui se serait rétrospectivement bien passé des conséquences de sa délation.

Bref, toujours est-il que ces résultats sur tapis vert ternissent le tableau final.

Mais revenons à Buriram où là aussi Brad Binder, second sur le podium, devra rendre une place pour les mêmes raisons qu’en WSBK : une incursion dans la partie verte. D’autant plus injuste pour le Sud-Africain qu’il pouvait difficilement faire autrement tant il était à la limite dans ce dernier tour d’anthologie. Il faisait malgré tout moins grise mine que le turc, parachevant ainsi un week-end déjà fructueux pour la marque autrichienne avec sa seconde place de la veille en course Sprint.

Au final, et à moins bien sûr que cela ne fasse exagérément gagner du temps aux pilotes dans les derniers tours, est-il bien juste d’appliquer ces règles au pied de la lettre ? La réponse est évidemment oui car, dans des cas contraires, certains compétiteurs abuseraient alors des failles du règlement pour réussir.

On se souvient notamment de cette victoire très controversée de Valentino Rossi sur le circuit d’Assen en 2015 où il coupa dans la dernière chicane pour l’emporter au nez et à la barbe de Marc Marquez. Qui sait comment aurait réagi le Paddock et la foule d’aficionados si l’on avait osé déclasser l’idole ? Mais il est l’exception qui confirme la règle : la loi est dure mais c’est la loi !

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31 octobre 2023 – VR46 Metaverse, Animoca Brands et GravitasLabs sont fiers de dévoiler le lancement en direct de l’expérience « Valeverse » sur The Sandbox, désormais accessible aux fans de Valentino Rossi et aux passionnés de sport mécanique du monde entier. Cette expérience virtuelle de sport mécanique promet un monde d’aventures, de quêtes et de récompenses, offrant un niveau inégalé d’engagement et d’immersion dans le monde du sport mécanique.

Le « Valeverse » permet aux utilisateurs d’accéder à des ressources numériques exclusives, notamment des motos, des casques et des cuirs emblématiques de la carrière du Docteur, ce qui leur permet d’exprimer leur enthousiasme pour le pilote italien dans une toute nouvelle dimension. Le « Valeverse Pass » permet aux fans de débloquer une longue liste d’avantages exclusifs, y compris la possibilité d’obtenir des marchandises dédicacées, des billets de course convoités et une rencontre avec Valentino Rossi.

Pour enrichir encore l’expérience de tous les joueurs, Valeverse proposera des contenus exclusifs en partenariat : SisalFunClub célèbre le lancement de la version 2024 de l’application avec une présence massive dans le monde virtuel. Le contenu dédié au jeu mobile for fun de Sisal permet aux joueurs de visiter le stade emblématique qui, comme dans l’application SisalFunClub2024, devient la scène dans laquelle les utilisateurs s’affrontent à travers des quiz et des mini-jeux. Tout comme dans l’application Sisal, les joueurs pourront se mesurer à la tactique, à la stratégie et aux transferts. Dans Valeverse, les fans du Docteur pourront également démontrer leurs compétences grâce à des missions et des quiz dédiés au 9ème champion du monde.

Le lancement de Valeverse marque le début d’une vision élargie d’intégrations métaverses imaginées par VR46 Metaverse, Animoca Brands et Gravitaslabs ; en même temps, la collaboration avec SisalFunClub 2024 scelle également le début d’un projet ambitieux au nom du plaisir et de la responsabilité, des valeurs sur lesquelles les deux expériences sont basées.

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Depuis le début de leur aventure en Grand Prix, les hommes de Valentino Rossi ont toujours arboré des couleurs italiennes, de la Sky du début au Mooney d’aujourd’hui. Entre-temps, il y a eu une tentative d’afficher une identité saoudienne qui s’est perdue dans le folklore des négociations avec les émissaires trop nombreux qui caractérisent toujours les relations avec les Emirats. Mais cette fois, ça semble solide : la VR46 sera bientôt un symbole indonésien.

La VR46 mettra à l’honneur l’Indonésie

Pertamina est déjà présent dans le paddock, en Moto2, avec l’équipe d’Edu Perales, soit le Pertamina Mandalika SAG Team qui aligne Bendsneyder et Hada. Selon AS, Pertamina souhaitait depuis quelques temps être présente en MotoGP.

Les couleurs indonésiennes sont donc attendues sur les carénages des Ducati de Marco Bezzecchi et de Luca Marini l’an prochain, et encore la saison suivante, mais peut-être alors sur une autre moto si Yamaha arrive à ses fins dans son ambition de faire revenir le Doctor dans son giron, en le greffant en tant que patron de son nouveau team satellite. L’accord entre Pertamina et l’équipe du Doctor, devrait être officialisé ce week-end lors du GP Pertamina d’Indonésie.

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