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Marc Marquez

Non, ce n’est pas avec la signature de Marc Marquez pour l’équipe Gresini Ducati que le marché des transferts 2024 a été clôturé. Il fait prolongation et certainement jusqu’à la Thaïlande où le HRC devrait jeter son dévolu sur … Un pilote actuellement sur Aprilia. Deux autres pilotes sont aux aguets pour saisir les conséquences collatérales d’un échec ou d’une réussite dans la manœuvre de Honda. Ils portent le même prénom de Fabio.

A Phillip Island, les coulisses continuent de bruisser de la rumeur qu’un actuel pilote Aprilia se retrouvera en 2024 comme voisin de Joan Mir. Johann Zarco a compris qu’il valait mieux se retirer du jeu avant de subir le camouflet du désintérêt tandis que Massimo Rivola monte la garde devant les motor-homes de Maverick Viñales, de Miguel Oliveira et même d’Aleix Espargaró Sport.sky a mené l’enquête et voici ce qu’il en ressort.

Honda a fait une offre financière importante à Maverick Viñales, mais le pilote Aprilia préfère continuer son voyage avec Noale, en se concentrant fortement sur 2024. De plus, Maverick, mis à part l’approbation presque impossible d’Aprilia pour se libérer, n’aurait pas plus envie, après l’expérience avec Yamaha, de revenir à une approche japonaise de la course, privilégiant le dynamisme européen.

Même Aleix Espargaró est entré dans le jeu de la succession de Marc Marquez

La surprise réside dans les rumeurs qui parlent d’un contact entre Aleix Espargaró, soit le « capitaine du projet RS-GP, et Honda pour un contrat d’un an et un avenir de pilote d’essai … Il est difficile d’imaginer qui a fait le premier pas, mais Aleix Espargaró a commenté à Sky que « tout le monde parle à tout le monde ». Puis il a souligné : « Honda est un géant et s’il pense venir chez Aprilia pour faire du shopping, cela signifie que nous avons bien travaillé ».

Et Miguel Oliveira dans tout ça ? Il a bien fait comprendre qu’il appréciait l’intérêt de Honda à son égard, en insistant sur le fait que plus tôt il sera un pilote usine, mieux ce sera. Mais pas dans n’importe quelles conditions. Le Portugais aspirerait à un contrat de trois ans et à un salaire assez conséquent. Mais même si Honda fait de ses désirs une réalité, il devra ensuite affronter Massimo Rivola pour la rupture de son accorde en cours.

Cette situation est observée par Fabio Di Giannantonio qui nourrit le fol espoir d’être l’élu chez Repsol si l’opération Oliveira capote. Mais si elle réussit, c’est Fabio Quartararo qui se pencherait sur le cas de la RS-GP version RNF d’un Razlan Razali qu’il connait très bien.

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