L’offre propose un avantage client, sous forme d’accessoires Yamaha (accessoires du véhicules et gamme vestimentaire), pouvant atteindre jusqu’à 2000€.
En complément, la promotion inclut une offre de financement Yamaha Motor France Finance pour tout achat d’une moto neuve en LOA de minimum 24 mois, avec 2 loyers offerts.

Les modèles concernés par l’offre accessoires Yamaha sont les suivants :

Gamme MT : 125cm3, 300cm3, 700cm3, 900 cm3, 1000cm3 – millésimes 2023 et antérieurs.

Gamme XSR : 125cm3, 700cm3, 900 cm3 – millésimes 2023 et antérieurs.

R7 – millésime 2023 et antérieur

TMAX / TMAX TechMax – millésime 2023 et antérieur

L’avantage client s’applique également sur les modèles NIKEN GT et TRICITY 300  – millésimes 2023 et antérieurs :

Pour une NIKEN GT : 2000€ d’accessoires Yamaha offerts
Pour une TRICITY 300 : 1000€ d’accessoires Yamaha offerts

Exemple, l’achat d’une MT-07 2023 donne droit à un avantage client de 700€ en accessoires Yamaha, à utiliser exclusivement sur les gammes d’accessoires véhicules et sur les collections de vêtements Yamaha, dans la limite des stocks disponibles, chez les concessionnaires participants à l’opération.

Pour plus d’informations sur cette offre, cliquez ici

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La catégorie Supersport 600 sera scindée en deux groupes : la catégorie Supersport, inchangée par rapport à la saison 2023, et la catégorie Nouvelle Génération, qui accueillera les motos les plus récentes, avec notamment des constructeurs comme Ducati, Triumph, Suzuki, MV Agusta (sous réserve d’homologation de la part de l’importateur).

Cette évolution vise à aligner le Championnat de France au règlement du championnat du Monde ou encore aux règlements des championnats nationaux voisins. En définitif, il y aura deux classements distincts et deux champions de France : un pour la catégorie Supersport et un pour la catégorie Nouvelle Génération.

Une Wild Card réservée aux pilotes de la catégorie Supersport

La Wild Card offerte par la Fédération Française de Motocyclisme et Yamaha et le GMT94 est renouvelée et  réservée exclusivement à la catégorie Supersport, offrant une opportunité unique pour les pilotes émergents de faire leurs preuves au plus haut niveau de la compétition nationale.

Ces changements s’inscrivent dans une vision plus large visant à renforcer la position du Championnat de France Superbike dans l’échiquier des cycles d’épreuves de référence. La saison 2024 s’annonce passionnante, pleine de défis excitants et de compétition acharnée.

Pour davantage d’informations, nous vous invitons à consulter le règlement 2024 et la liste des machines homologuées, disponibles ci-dessous.

Sébastien Poirier, Président de la FFM : « La Fédération Française de Motocyclisme s’engage pleinement à soutenir nos pilotes français. Notre collaboration avec l’équipe du GMT94 et Yamaha vise à mettre en lumière notre Championnat de France ainsi que les performances des pilotes qui y prennent part. Nous sommes particulièrement fiers qu’un pilote français, Valentin Debise, ayant bénéficié d’une wildcard avec le GMT94, fasse désormais partie intégrante du Championnat du Monde. »

Christophe Guyot, Team Manager GMT94 : « Le projet Wild Card, orchestré par le GMT94 en collaboration avec la FFM et Yamaha au sein du FSBK, injecte un dynamisme palpable et une forte compétitivité dans le Championnat de France, où chaque week-end le public assiste à de belles passes d’armes en Supersport 600. Des records ont été battus sur tous les circuits français, laissant présager que dans les années à venir, de nombreux pilotes issus du FSBK évolueront au niveau international pour défendre les couleurs françaises au plus haut niveau. Depuis le début, la FFM et Yamaha nous ont apporté un soutien constant, notamment en récompensant le leader du championnat afin qu’il puisse profiter d’une première expérience complète et dans les meilleures conditions en Championnat du Monde Supersport 600. Nous sommes fiers et honorés d’être une porte d’entrée dans ce championnat pour les jeunes talents.« 

RÈGLEMENT 2024

LISTE DES MACHINES HOMOLOGUÉES

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Comme 2022, 2023 aura été une année de progression à 2 chiffres aussi bien pour le groupe que  pour CFMOTO et Zontes.

Enfin, 2024 est déjà promise à une accélération de la position de GD France sur le marché Français avec l’arrivée de l’un des leaders du marché, HERO, qui a choisi GD France comme partenaire pour son développement. 2024 sera aussi une ouverture vers l’électromobilité au travers de Zeeho , branche électrique de CFMOTO et de VIDA, marque électrique du Hero Motorcycle.

Zontes : 13ème du marché moto 

3153 immatriculations  +33%

En passant au dessus de la barre fatidique des 3000 véhicules immatriculés, ZONTES évolue de la 15ème à la 13ème place du marché Français après seulement 5 ans de présence.

La gamme Zontes est destinée aux nouveaux entrants sur le marché du 2 roues motorisés 125cc et A2 et produit à chacun de ses modèles un effort remarquable de haute technologie et d’équipement digne de cylindrées largement surpérieures afin de souhaiter « bienvenue » aux nouveaux pratiquants de 2 roues motorisés.

Cette politique haut de gamme s’est également appliquée à l’arrivée de la gamme scooters en 2023 avec les 125 et 350 (déclinés en 2 versions distinctes 350D et 350E).

Enfin, le réseau en constant développement permet un maillage territorial (145 points de vente) rassurant pour les utilisateurs pour une marque qui propose 3 années de garantie.

2024 est une année de transition pour ZONTES qui va élargir sa gamme et surtout évoluer désormais vers de plus grosses cylindrées.

500T

Dans cette logique d’évolution de cylindrée la 350T passe en 500T, avec un positionnement plus aventure avec un débattement plus important, une garde au sol plus haute, un sabot moteur, et un écran plus grand.

Gamme 703

Enfin, ZONTES évolue vers le haut du marché en travaillant sur une gamme  de plus grosse cylindrée avec les 703F et 703RR, trois cylindres, qui arriveront en France en fin d’année.

Là encore c’est une affirmation du savoir faire technique de la marque qui dessine et conçoit ses propres motorisations depuis ses origines.

CFMOTO : 21^ème du marché moto 

1632 immats +60%

Dans un marché moto ultra concurrentiel, CFMOTO est une marque désormais citée en référence par de nombreux acteurs du marché, et si la marque a fait plusieurs couvertures de magazines cette année, ce n’est ni un hasard ni un effet de mode.

CFMOTO affiche cette année encore une progression remarquable en passant de la 30ème à la 21ème place du marché, d’autant plus qu’elle se confronte à toutes  les grandes marques historiques  sur des segments de marché ou la concurrence est féroce !

Innovations, positionnement agressif, design tranché, motorisations et équipements de haute qualité, CFMOTO est présent sur chacun des segments les plus concurrentiels du marché 2023 avec un panel de cylindrées allant du 300 au 800 :

– Sportive (SR),

– Néo-rétro (CL-X)

– Roadster (NK)

– Trail (MT)

– Touring (GT)

Signe absolu de la vigueur incontestable du fabricant, ce ne sont pas moins de 7 nouveautés qui ont été présentées en 2023  :

– 450SR,

– 700 CL-X Adventure,

– 800MT Explore,

– 800NK Sport et 800NK Advanced

– 700MT

– 450NK

Qui peut en dire autant ?

Ce sont évidemment les fers de lance : le roadster 800NK et les trails 800MT qui affirment le plus la progression de CFMOTO du marché sur les segments concurrentiels les plus disputés.

Cette dynamique permet au constructeur né en 1989 (seul constructeur Chinois engagé en MotoGP avec un team Moto3) de nouer des alliances avec le groupe KTM (joint venture) mais, également plus récemment avec Yamaha.

Un gage de sérieux et une reconnaissance industrielle qui explique les 60% de progression de la marque en France en 2023, mais également la progression mondiale du groupe qui dépasse les 1,5 milliards de dollars.

Enfin, corolaire de cette dynamique, le réseau se densifie rapidement compte tenu de très nombreuses demandes de concessionnaires bien établis qui identifient CFMOTO  comme une carte d’avenir importante . Le réseau CFMOTO compte désormais 150 revendeurs.

Cet article Street : GD France, 2023, année de la confirmation pour les marques CFMOTO et ZONTES [CP] est apparu en premier sur Paddock GP.

Double homologation : Le casque Givi X.27 a été homologué pour un usage jet et intégral, conformément aux normes strictes de la norme ECE 6.

Pare-soleil intégré : Grâce au pare-soleil intégré, vous n’aurez plus jamais à vous soucier d’être aveuglé par le soleil lorsque vous partez à l’aventure en moto.

Visière Pinlock Max incluse : Le casque est équipé d’une visière Pinlock Max incluse dans l’emballage, ce qui permet d’éviter la buée sur la visière.

Confort maximal : Les doublures internes du casque peuvent être retirées pour faciliter le nettoyage, ce qui vous permet de garder votre casque frais et hygiénique à tout moment. Les orifices d’aération sur le dessus et à l’avant assurent une excellente ventilation, pour un confort maximal pendant la conduite.

Equipement :

• 2 Tailles de calotte
• Écran prédisposé à recevoir un écran Pinlock® Max Vision (inclus)
• Écran interne fumé
• Aérateur supérieur
• Aérateur sur le menton
• Extracteur
• Réglage micrométrique
• Protège nez amovible 
• Déflecteur stop vent
• Les parties internes sont amovibles et lavables

Disponible à partir de 249 € en version unie ( 269 € en version déco )  

En savoir plus

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Ce qu’il faut retenir :

Bilan de la saison 2023 :

Licences & titres de pratique : Une nouvelle année record pour la Fédération Française de Motocyclisme qui a comptabilisé 104 137 licences et titres de pratique délivrés en 2023, soit 1,48% d’augmentation par rapport à 2022, une année historique. À noter, le nombre de licences à destination des jeunes est en nette progression (près de 20% des licences délivrées) à l’instar des licences annuelles délivrées aux pilotes féminines qui ont connu, entre 2010 et 2023, une croissance de près de 90% (2 500 en 2010 / 4 600 en 2023). Ces dernières représentent, aujourd’hui, environ 7% des licences annuelles délivrées et plus de 60% des 4 600 femmes licenciées pratiquent le sport moto.

Bilan épreuves : Plus de 860 épreuves nationales (hors Moto-Ball) ont été organisées sur le territoire en 2023, soit une augmentation de 7,3% par rapport à 2022. Sur le plan international, la France a accueilli 17 épreuves internationales d’une très grande diversité avec une fréquentation en hausse en termes de spectateurs. À noter que le Grand Prix de France de Vitesse est devenu le GP ayant accueilli le plus de spectateurs avec un record historique de 278 805 sur le week-end. N’omettons pas le Motocross des Nations, épreuve exceptionnelle, qui a elle aussi franchi un cap historique de 100 000 spectateurs.

Palmarès sportif : Nos ambassadeurs tricolores ont porté haut les couleurs de notre pays avec un palmarès qui s’établit à 7 titres mondiaux en individuel et par équipe, 11 victoires en Coupe du Monde, 7 titres européens et 44 podiums.

Les jeunes au cœur du projet fédéral : La dynamique initiée par la modernisation du parcours vitesse en 2022 se poursuit avec l’organisation de huit championnats de Ligues Mini OGP Région. La série Mini OGP France, quant à elle, s’est tenue sur six épreuves nationales avec pas moins de 24 pilotes, en moyenne, par étape. Le Championnat de France OGP, cycle phare du programme, a vu une moyenne de 23 pilotes engagés sur les 7 épreuves du calendrier.

Notons la participation de nombreux pilotes français en European Talent cup, ce qui est bonne augure pour le futur.

Championnat de référence pour nos futurs Champions de la discipline Motocross, le Minivert a connu cette année une redéfinition de son format avec, notamment, la création d’une nouvelle catégorie dédiée au 6/8 ans ainsi que l’intégration d’un challenge électrique. Les résultats de ce nouveau format sont positifs avec une augmentation substantielle du nombre de pilotes engagés sur la saison (1 070) avec une hausse de près de 70% par rapport à 2022 (637). Ce nouveau schéma sera reconduit en 2024.

Les Championnats de France Mini Trial, Cross Country Kid ainsi qu’Enduro Kid ont également connu une belle saison. Chez les jeunes pousses de l’Enduro Kid, le challenge électrique sera désormais accessible à partir de 6 ans.

Principales évolutions règlementaires 2024 :

La sécurité, une priorité fédérale : La sécurité des pilotes reste une préoccupation majeure pour la Fédération Française de Motocyclisme. Dès 2024, des gilets airbags seront obligatoires sur les Grands Circuits de vitesse et dans la quasi-totalité des catégories. Cette mesure sera progressivement généralisée aux autres disciplines.

Nouvelle catégorie en Superbike : Afin de répondre à l’évolution de la règlementation internationale et des machines disponibles sur le marché, une catégorie « 600 Nouvelle Génération » est créée au sein de la division 600. La catégorie 600 Challenger est supprimée.

À noter qu’une nouvelle Wild Card, en partenariat avec le GMT94 et Yamaha, sera attribuée dans la catégorie Supersport 600 par la FFM en 2024. En 2023, celle-ci a été offerte au jeune Johan Gimbert, Champion de France SSP600 et nouvel arrivant en Moto2 JuniorGP pour la saison 2024.

Électrification des disciplines : Au regard des enjeux sociétaux et environnementaux auxquels fait face notre sport, les Championnats de France de Motocross intégreront pleinement les motos électriques aux règlements. La discipline Moto-Ball, quant à elle, poursuit sa transition avec l’acquisition de 30 machines électriques à destination des Moto-Clubs évoluant en Junior.

Développement de la pratique :

Pérennisation et développement de l’activité : Dans le cadre de sa politique volontariste de pérennisation et de développement de l’activité motocycliste sur le territoire, la Fédération a fait l’acquisition en 2023 des circuits de Motocross d’Ahun (23) ainsi que de Néris-les-Bains (03) ce qui porte à 21 le nombre de terrains sous giron fédéral. Pour 2024, l’objectif est de poursuivre cette politique avec une dizaine de dossiers en cours d’étude.

Contrôle technique : Le contrôle technique des deux-roues motorisés sera progressivement mis en place à compter d’avril 2024. La Directive Européenne entre donc en vigueur pour les motos, scooters, quads, immatriculés avant le 1er janvier 2017, qui devront se soumettre à un contrôle technique avant le 31 décembre 2024. Au terme de nombreux mois de négociations auprès du ministère des Transports ainsi que du ministère de l’Intérieur, la Fédération Française de Motocyclisme a obtenu une dérogation au contrôle technique des motos d’enduro et de trial pour les titulaires d’une licence sportive annuelle délivrée par la FFM.

Émissions sonores : En cette nouvelle année, les réglementations relatives aux émissions sonores évoluent dans l’objectif de pérenniser notre sport. Pour la discipline Vitesse, le contrôle des émissions sonores sera désormais effectué en méthode dynamique sur les grands circuits ce qui constitue un changement fondamental.

Baromètre économique et environnemental : La Fédération Française de Motocyclisme et la Fédération Française du Sport Automobile ont présenté conjointement le 13 décembre dernier le premier baromètre environnemental des sports mécaniques ainsi qu’un bilan économique de la Filière. Les grands enseignements de ce baromètre sont à découvrir en cliquant ici.

Réforme de la Gouvernance : 2024 constitue une année élective pour la Fédération, ses Ligues et Comités Départementaux. L’élection du Président de la Fédération Française de Motocyclisme et de son équipe se fera, quant à elle, le 16 septembre prochain. À noter que pour la 1ère fois, les Moto-Clubs participeront aux élections de la Fédération.

CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LE CALENDRIER DES GRANDS ÉVÉNEMENTS 2024

CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LE PALMARÈS SPORTIF 2023

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Le changement de nom, accepté par le comité d’entreprise de MBK, en YMME, fait partie de la vision à long terme de Yamaha Motor et renforce son engagement en faveur d’une fabrication européenne locale, atout de compétitivité et de développement durable.

YMME va poursuivre sa diversification vers une usine multi-produits et vers la mobilité électrique. Depuis de nombreuses années déjà, ce site fabriquait des modèles phares de Yamaha tels que les Ténéré 700, MT-125 et XMAX, assemblait la nouvelle gamme d’eBikes Yamaha et personnalisait les deux-roues motorisés et les quads Yamaha pour les besoins spécifiques à l’Europe.

L’introduction des Ténéré Extreme et Ténéré Explore en novembre dernier sont la preuve la plus récente des capacités de l’usine. Enfin, comme annoncé précédemment, YMME commencera en mars 2024 à produire des eDrive.

MBK est une filiale à 100 % de Yamaha depuis 1986.

Ce fut une formidable ascension de Motobécane vers MBK Industrie, et maintenant de MBK Industrie à Yamaha Motor Manufacturing Europe. Cette intégration ultime de YMME au groupe Yamaha Motor marque une nouvelle ère dans l’histoire de l’usine, où elle continuera de renforcer son rôle vital dans les business de Yamaha en Europe.

Olivier Prévost, président et PDG de Yamaha Motor Europe N.V.
“C’est avec beaucoup d’émotion que j’apprécie la transition de MBK Industrie vers Yamaha Motor Manufacturing Europe. J’ai commencé ma carrière chez MBK il y a 30 ans et, toutes ces années, j’ai porté une attention particulière à MBK. L’exploitation et la gamme de produits ont été en constante évolution pour atteindre aujourd’hui un haut niveau d’excellence permettant la production de modèles phares Yamaha dans cette usine. Cela a été possible grâce à l’engagement et aux efforts de l’ensemble des employés au cours des 40 dernières années. Je tiens à exprimer ma reconnaissance et à les remercier tous. En regardant vers l’avenir, il était devenu clair qu’il était désormais temps de changer le nom en Yamaha Motor Manufacturing Europe. Plus qu’un geste symbolique, il s’agit d’une reconnaissance claire de l’entreprise au sein du groupe Yamaha Motor et cela contribuera à élargir la gamme de produits Yamaha. Enfin, en tant qu’ancien employé de MBK, je suis très fier de dire à mes collègues de YMME que désormais, nous sommes enfin tous des « employés de Yamaha ». Continuons d’avancer en profitant de notre fabrication locale Yamaha, qui est un atout de compétitivité et un avantage durable.”

Patrice Maciejewski, président de Yamaha Motor Manufacturing Europe S.A.S.
“Le changement de nom de MBK en Yamaha Motor Manufacturing Europe est une reconnaissance importante des efforts déployés par tous les employés au cours des dernières années pour transformer l’entreprise afin de pouvoir produire les modèles phares de Yamaha tels que la famille Ténéré 700. Nous comparons continuellement nos normes et méthodes de qualité avec celles de notre usine mère à Iwata, afin de pouvoir atteindre des niveaux de qualité similaires. Nous pensons que notre installation en Europe sera un atout clé pour Yamaha dans le secteur de l’eMobility, afin de répondre à l’exigence de réduction de l’émission de carbone dans les productions locales. Aujourd’hui, après 100 ans d’existence sous les noms de Motobécane puis MBK, nous sommes très fiers de rejoindre complètement la famille Yamaha et de devenir des employés de Yamaha.”

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M. Prévost fait partie de la famille Yamaha depuis le début de sa carrière professionnelle en 1994 en tant que chef de projet chez MBK Industrie, une filiale à part entière de Yamaha depuis 1986. Ayant occupé plusieurs postes au sein du groupe Yamaha Motor pendant une trentaine d’années – MBK Industrie, Yamaha Motor R&D Europe, siège social de Yamaha Motor au Japon, ancienne filiale de Yamaha, Motori Minarelli, Yamaha Motor Europe – M. Prévost a acquis une connaissance approfondie des différents aspects de l’activité de Yamaha Motor et, de ce fait, la confiance et le soutien total nécessaires pour succéder à M. de Seynes.

Eric de Seynes, actuellement Président et Directeur général de Yamaha Motor Europe N.V.

Ce fut un grand honneur et un privilège de diriger les sociétés du groupe Yamaha Motor Europe depuis 2014 en tant que Directeur opérationnel et Directeur général, puis en tant que Président et Directeur général depuis 2018. Au cours de cette décennie, nous avons développé une nouvelle stratégie marketing en Europe, nous avons plus que doublé nos ventes nettes totales et nous avons mis en œuvre de nombreux nouveaux services à la clientèle et applications numériques. Malgré l’environnement sévère de Covid, nous n’avons pas freiné notre activité et le déploiement de nouveaux services. La famille Yamaha est composée de personnes passionnées et travailleuses dont l’état d’esprit est de toujours servir nos clients et nos concessionnaires Yamaha au mieux de leurs capacités et de dépasser leurs attentes. Je suis fier de faire partie de cette famille. Les besoins de nos clients en matière de mobilité sont en constante évolution. Surtout après la pandémie. Nous devons rester à l’écoute de leurs besoins ; nous devons garder une longueur d’avance et leur fournir les meilleures solutions au bon moment. Au cours des dix dernières années, nous avons obtenu de très bons résultats durables, tant sur le plan financier que commercial. Le poids de l’activité européenne est passé en moyenne de 9 % à 13 % des résultats globaux de l’entreprise (à l’échelle mondiale), notre stratégie de marque est bien établie et notre distribution monomarque est solide. Ces résultats positifs font que le moment est venu de passer le relais. Diriger le groupe YME est et sera toujours un défi, mais je transfère le poste de président-directeur général aux mains plus que compétentes d’Olivier.

Olivier Prévost, actuellement Vice-président de Yamaha Motor Europe N.V.

Tout d’abord, je voudrais remercier Eric pour sa contribution à Yamaha Motor au cours des dernières années. Sa passion pour la marque et les produits Yamaha, combinée à son leadership, a permis à Yamaha d’atteindre sa position de force actuelle en Europe. C’est avec beaucoup d’humilité et de respect que j’accepte le défi de lui succéder en tant que Président de YME. Au cours des dix dernières années, grâce à mes diverses affectations dans différentes entités de Yamaha Motor, j’ai renforcé et élargi ma compréhension et mon expérience de l’organisation, des opérations, des activités et des marchés de Yamaha. Avec le soutien de la famille Yamaha – et par famille, j’entends les employés, les fournisseurs, les distributeurs, les concessionnaires et les clients de Yamaha – je me sens rassuré et confiant pour occuper ce poste. Oui, je ne m’attends pas à ce que le chemin soit toujours lisse, mais je crois que nous pouvons y arriver en équipe. Après trois années au cours desquelles nos activités et nos marchés ont été affectés par la pandémie de Covid-19 et ses conséquences, je tiens à exprimer l’ambition de Yamaha Motor de maintenir et de renforcer sa position sur nos différents marchés et groupes de produits. Cette ambition sera atteinte en se concentrant sur l’innovation dans nos produits et nos opérations, combinée à la rapidité de nos actions. L’objectif final étant de renforcer l’expérience client de Yamaha et notre mission Kando. Une fois de plus, je voudrais remercier Eric pour sa contribution continue et, personnellement, je ne considère pas ma nouvelle mission comme un accomplissement en soi mais comme un nouveau départ !

Biographie Eric de Seynes

Biographie Olivier Prévost

* PTW = Powered Two-wheelers (Deux-roues motorisés)

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Par Manuel Pecino / Motosan.es

Dans la première partie de notre entretien, Juan Martínez a parlé de ce qui l’a le plus surpris dans la saison 2023 du MotoGP. À cette occasion, il a évoqué l’une des controverses de la saison : le possible boycott de Jorge Martín dans la lutte pour le titre. Il a également parlé des concessions en MotoGP et du transfert de Marc Márquez chez Ducati.

Est-il possible d’être champion avec une équipe satellite si l’on joue le titre avec un pilote d’usine ?
« C’est compliqué. J’ai commencé le championnat du monde en 1994 et quand vous y êtes, vous voyez des choses « étranges », des choses que vous ne comprenez pas. Mais je refuse de tomber dans les conspirations. Mais c’est normal, quand tu te bats pour quelque chose, tu penses que derrière chaque arbre il y a un Indien qui veut te tirer dessus avec une flèche. Je n’en mets pas ma main au feu, mais je ne crois pas à la théorie du complot. Car si vous acceptez que lorsque vous perdez, c’est parce qu’ils conspirent contre vous, vous devez accepter que lorsque vous gagnez, c’est parce qu’ils vous favorisent. »

Dans le cas de Martin au Qatar, se pourrait-il qu’après le problème du départ, son comportement ait affecté le pneu ?
« Au bout du compte, on entre dans un cercle vicieux. Parce que vous n’avez pas le feeling, comme vous n’avez pas le feeling, au bout du compte, vous risquez de ne pas favoriser la performance du pneu. C’est ce que Bagnaia a dit à Montmeló, il a dit « Je n’avais pas de feeling avec ce pneu ». Et qu’est-ce qui lui est arrivé ? Il a chuté. Donc, si vous rouler sans sensation, vous finissez par ne pas freiner où il faut, par ne pas accélérer où il faut… et vous finissez par ajouter des choses négatives à la performance du pneu. »

« Si vous regardez les choses d’un point de vue sportif, je pense que la gestion et l’approche de Bagnaia pour la journée de dimanche ont été bien meilleures que celles de Martin. En fait, il y a une réunion dans le paddock, et nous avons examiné le langage corporel de Martin et de Bagnaia dans les interviews. Dans l’interview du dimanche, on voit un Bagnaia attaqué, attentif, tendu d’une certaine manière. Il comprend que cette interview fait partie de la course. Et vous avez un Martin qui dit totalement « je vais vous donner un aperçu de mon mental » ; rien ne peut aller mal. Et je pense que Bagnaia, ce qu’il a très bien fait cette année, dans cette dernière phase où Martin a été très rapide, a géré les coups de Martin. Il a réagi à tous les coups, il n’a cessé de répondre à chacun d’entre eux ».

Comment jugez-vous les concessions ?
« Sans entrer dans les détails, je pense que la seule chose que nous ne pouvions pas permettre, c’était de continuer avec les mêmes règles. Je pense qu’il est bon d’apporter des changements au règlement. Et il est bon que, lorsque certaines usines souffrent, elles puissent bénéficier d’une série d’avantages pour essayer de combler leur écart. Parce que nous sommes dans un calendrier avec vingt-deux courses et vingt-deux sprints, et si vous commencez mal, que faites-vous ? Vous restez comme ça toute l’année ? Cela n’a aucun sens. Si ce qu’ils ont fait est juste, il faut laisser du temps au temps. Mais je pense que c’est juste. »

Si vous aviez été le patron de Ducati, auriez-vous signé avec Marc Marquez, et mis le feu aux poudres ?
« Cette question demande un peu de réflexion. Je pense qu’ils ont plus à perdre qu’à gagner avec Marc. En effet, ils ont réussi, pas seulement en MotoGP, à devenir la marque de référence du moment. Ils sont donc moins dépendants des résultats d’une seule personne. Si Marc gagne, il est évident que cela aura du mérite et que ce sera positif pour le championnat, parce qu’en fin de compte, pour le fan, le spectateur, la personne est plus importante que la marque. Mais si Marc gagne le championnat, cela enlèvera de l’importance à la marque elle-même. Donc, je ne l’aurais pas fait maintenant si j’avais été Ducati ». L’une des choses qui arrive, dans votre carrière sportive et professionnelle, est que vous montez et vous pensez que plus vous êtes haut, plus votre situation est solide. Puis, lorsque vous êtes au sommet, tout ce qui peut vous arriver, c’est de redescendre. Et c’est ce qui se passe dans le cas de Marc. Il est juste tellement bon qu’il n’a sa place nulle part, parce que presque tout vous pose problème. Regardez, après avoir tout gagné, les déclarations de Ciabatti sont de calmer le jeu avec Bagnaia et compagnie. »

Lire l’article original sur Motosan.es
Manuel Pecino

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Pour célébrer les 10 ans de la MT-09 en 2023, découvrez l’épopée captivante de la saga MT dans la vidéo exclusive « La Saga MT ». Plongez au cœur des choix audacieux et des risques courageux qui ont forgé le succès de la gamme emblématique de Yamaha. Narrée avec passion par Eric De Seynes, Président de Yamaha Motor Europe, cette rétrospective immersive vous transporte à travers l’évolution audacieuse des MT, des premières esquisses aux rues conquises.

Explorez les décisions visionnaires qui ont défini chaque modèle, façonnant ainsi une lignée de motos révolutionnaires. Cette vidéo offre une perspective unique sur l’ADN de la gamme, révélant les défis surmontés et les moments décisifs qui ont contribué à forger l’identité de cette série légendaire. Ne manquez pas l’occasion de plonger dans l’histoire vibrante de la MT et dans la genèse du DarkSideOfJapan, contée par le leader lui-même, Eric De Seynes.

Plongez au cœur de l’histoire de ces machines emblématiques, découvrez les innovations qui ont marqué chaque modèle de la MT-125 à la MT-10 et explorez l’avenir de la gamme Hyper Naked. Préparez-vous à un voyage à travers le temps et la technologie.

Cet article Street, Vidéo saga Yamaha MT par Eric De Seynes : des risques calculés aux sommets de l’innovation est apparu en premier sur Paddock GP.

Les grands enseignements du baromètre économique et environnemental :

• Une pratique sportive à l’impact économique notable : 2,9 milliards d’euros de CA par an ;
• Des sports populaires et ancrés sur nos territoires : 130 000 licenciés dans 1 700 clubs, ligues et associations ;
• Des événements qui participent au dynamisme économique et social : 64 % sont organisés dans des communes de moins de 5 000 habitants ;
• Un impact environnemental très majoritairement lié aux déplacements : 69% des émissions de GES des sports mécaniques ;
• Une pratique sportive qui ne représente que 0,3 % des émissions du secteur des transports en France.

3 axes pour une trajectoire bas carbone :

• Accompagner les associations locales pour une pratique plus respectueuse de l’environnement ;
• Réduire le premier poste d’émission représenté par les déplacements ;

S’appuyer sur la règlementation et les innovations pour diminuer leur empreinte carbone.

CLIQUEZ ICI POUR TÉLÉCHARGER LA SYNTHÈSE DU PANORAMA DE L’ÉCONOMIE DES SPORTS MÉCANIQUES EN FRANCE

Cet article La FFM et la FFSA dévoilent le premier baromètre environnemental des sports mécaniques et dressent un bilan économique de la filière est apparu en premier sur Paddock GP.

En raison d’un partenariat encore plus étroit avec le producteur italien de snacks Pata et le constructeur japonais de motos Yamaha, l’équipe World Supersport la plus performante s’appelle désormais Pata Yamaha Ten Kate Racing. La liste des pilotes pour 2024 a déjà été annoncée : le vice-champion du monde italien Stefano Manzi et le talentueux Néerlandais Glenn van Straalen piloteront les Yamaha YZF-R6 de l’équipe néerlandaise en 2024.

Stefano Manzi a déjà montré ce dont il est capable en 2023 avec 17 podiums dont quatre victoires. Avec la continuité de la coopération déjà fructueuse entre l’Italien et Pata Yamaha Ten Kate Racing, l’objectif pour 2024 sera de ramener le titre mondial à Nieuwleusen.

Glenn van Straalen a prouvé ces dernières saisons qu’il pouvait rivaliser avec les pilotes les plus forts du championnat du monde Supersport en montant à plusieurs reprises sur le podium. Le Néerlandais réalise un souhait de longue date de l’équipe en représentant le Pata Yamaha Ten Kate Racing sur la scène mondiale.

Stefano Manzi : « Tout d’abord, je suis très heureux d’être ici en décembre pour la présentation de l’équipe, car à la même époque l’année dernière, j’étais encore assis à la maison sans aucun plan pour la saison suivante. En 2023, nous avons terminé deuxièmes du championnat du monde Supersport et nous pouvons être satisfaits de notre saison, même si nous n’avons pas remporté le championnat. L’année prochaine, je travaillerai avec la même équipe et mon objectif est de continuer à travailler comme nous l’avons fait cette année, de travailler dur mais aussi d’apprécier le temps passé sur la piste. Comme nous restons avec le même groupe de personnes, je pense que nous pourrons être plus proches dès le premier test. Avec toute l’équipe de Pata Yamaha Ten Kate Racing, je ferai de mon mieux pour me battre pour le championnat du monde. »

Glenn van Straalen : « Je suis très heureux et fier de participer au championnat du monde Supersport en 2024 avec Pata Yamaha Ten Kate Racing. Nous ferons nos premiers essais à la fin du mois de janvier et je suis curieux de voir à quelle vitesse nous trouverons le bon feeling avec la machine et entre nous. Je suis persuadé que je peux continuer sur la bonne voie, comme je l’ai déjà montré au cours des dernières saisons. Grâce à l’expérience de tous les membres de l’équipe Ten Kate, je suis convaincu qu’il est possible d’obtenir d’excellents résultats. C’est l’équipe la plus performante en World Supersport et la première équipe néerlandaise dans le paddock du World Superbike. Je suis très reconnaissant à beaucoup de gens de pouvoir être sur la grille de départ avec cette équipe l’année prochaine et j’ai hâte de commencer les premiers tests. »

Kervin Bos – Directeur de l’équipe Ten Kate Racing : « Nous sommes le 14 décembre 2023 et nous présentons déjà notre équipe pour la saison 2024. C’est le signe de nos projets pour l’année prochaine. Nous avons été en mesure de sécuriser deux coureurs très tôt et pouvons donc également faire connaître nos plans très tôt, ce qui est un grand gain en termes de préparation pour la saison prochaine. Nous avons accueilli un grand nombre de nouveaux sponsors néerlandais, ce qui nous a permis de franchir cette étape.

Nous sommes extrêmement fiers d’avoir pu conserver Stefano pour une deuxième année. L’expérience que nous avons acquise en entamant une deuxième saison avec le même pilote nous permet d’en récolter les fruits. J’attends beaucoup de Stefano en 2024, car il faisait déjà partie des meilleurs pilotes de la catégorie World Supersport la saison dernière.

En outre, nous avons pu réaliser un souhait longtemps caressé en signant Glenn van Straalen. La combinaison d’un pilote néerlandais et d’une équipe néerlandaise est une chose que nous souhaitions depuis longtemps, comme nous l’avons fait dans le passé avec Michael van der Mark. Nous espérons suivre la même voie avec Glenn. Nous pensons tous que Glenn a le même potentiel que Stefano et nous devons maintenant le faire fructifier étape par étape.

La composition du personnel de l’équipe ne change pas et je pense que c’est aussi notre force. Comme notre GYTR Pro Shop s’est énormément développé au cours des trois dernières années, les liens entre Yamaha Motor Europe et Ten Kate ne font que se renforcer, et nous en sommes extrêmement fiers. Grâce à cette relation renforcée, Pata sera le sponsor principal de nos motos la saison prochaine, une société qui a également été le sponsor principal de Ten Kate Racing dans le passé. Nous sommes très fiers d’être une équipe de course Yamaha, mais aussi d’être l’un des principaux partenaires de Yamaha en Europe avec notre GYTR Pro Shop. Nous avons de grands projets pour les manches d’Assen et de Misano, mais avant tout, nous allons profiter de cette première rencontre avec tous les partenaires de l’équipe ».

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Le ContiRaceAttack 2 Street est l’un des deux pneumatiques montés en origine sur la nouvelle BMW M 1000 XR de 201 chevaux. Cette annonce vient étendre le partenariat industriel entre deux grandes entreprises allemandes. Le constructeur bavarois a sélectionné le ContiRaceAttack 2 Street pour ses qualités haute performance qui en font un véritable pneumatique de compétition homologué route. Avec sa carcasse de dernière génération et ses technologies, le ContiRaceAttack 2 Street est un pneumatique Premium destiné à usage hypersport. Il se destine aux pilotes à la recherche d’un grip maximal grâce à la technologie Black Chili et souhaitant conserver un haut niveau de contrôle et de sécurité, ce qui en fait un pneumatique idéal pour la pratique du rallye routier et les journées de roulage sur circuit.

Malte-Lauritz Bigge, pilote d’essai en chef pour les pneumatiques moto chez Continental souligne : « Tout comme BMW Motorrad a mis son savoir-faire en matière de performance dans le développement de la M 1000 XR, chez Continental nous avons appliqué notre très grande expertise et notre passion pour la moto sportive dans le développement du ContiRaceAttack 2 Street. Avec leur large gamme de technologies innovantes, des solutions techniques pour atteindre des performances maximales sur routes jusqu’aux aux circuits, nos pneumatiques hypersport et trails se complètent parfaitement, de telle sorte que la combinaison de ces deux univers devient exaltante pour les pilotes les plus chevronnés. »

La technologie Black Chili pour pimenter l’adhérence.
Pour accompagner le passage de la puissance du moteur à la roue sur ces machines ultra puissantes, Continental a développé une nouvelle technologie : le Black Chili qui participe à un meilleur grip en toutes circonstances d’une part et un nouveau profil d’autre part avec des sculptures plus espacées. Ce profil optimise le contact au sol pour améliorer le rendement kilométrique et la maniabilité. Le ContiRaceAttack 2 Street bénéficie d’une montée rapide en température avec une plage d’utilisation allant de 20 jusqu’à 85 degrés de température de gomme. Cette particularité lui permet de stabiliser la température du mélange de gomme pour des performances constantes sur toute sa durée d’utilisation, améliorant ainsi son rendement kilométrique.

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Alessandro Zaccone courra sous les couleurs de Tech3 E-Racing pour une nouvelle saison alors qu’il vise à solidifier ses résultats après une première saison sur la moto Ducati. Il sera rejoint par l’Italien Nicholas Spinelli, déjà vainqueur en MotoE™, qui entamera sa deuxième campagne dans la catégorie électrique.

Arrivant d’une saison en Moto2™, Alessandro Zaccone est revenu au Championnat du Monde FIM Enel MotoE™ en 2023 avec Tech3 E-Racing alors qu’une nouvelle ère se dessinait avec Ducati devenant le fournisseur officiel de la série électrique. Nous avons vu plus de courses électriques que jamais avec seize courses réparties en huit manches à travers l’Europe, et les batailles sont devenues de plus en plus intenses. Zaccone s’est approché du podium à plusieurs reprises, mais il n’a jamais réussi à transformer ses progrès en résultats concrets. Il obtient son meilleur résultat de la saison au Sachsenring en Allemagne avec une quatrième position lors de la course 1. Parfois malchanceux en course, l’Italien peine à se qualifier, ce qui l’empêche de montrer son vrai potentiel en course, même s’il trouve plus de régularité dans les dernières manches de la saison. Il termine l’année 2023 à la onzième place du championnat avec 104 points. 2023 a été l’année de l’apprentissage, 2024 sera celle de la lutte pour les bonnes choses, car l’Italien cherchera à se nourrir de toute l’expérience acquise cette année pour se battre pour les podiums, les victoires et une position forte au championnat.

Il sera rejoint par son compatriote Nicholas Spinelli qui entamera sa deuxième campagne en MotoE™. Né en 2001, le pilote de vingt-deux ans a débuté sa carrière dans les championnats nationaux en Italie en 2010, où il a obtenu son premier titre en European Minibike Junior A. En 2013, il a été champion d’Europe en MiniGP 50cc, avant de sauter dans la catégorie CIV PreMoto3 125 en 2014 et 2015. L’année suivante, il est promu dans la catégorie Moto3 de son championnat national, et est sacré champion en 2017 et 2019. Après quelques saisons sans faire trop de bruit, Spinelli réapparaît dans le sport mécanique italien en 2021 en rejoignant la catégorie Supersport Next Generation, qu’il remporte en 2022. Cette même année, il a l’opportunité de rouler en WorldSSP pour remplacer un pilote blessé, et il prend la quinzième place lors de sa première course. Cela a attiré l’attention de l’équipe VFT Racing qui lui a proposé de rouler à plein temps en 2023. Il a terminé quatorzième avec un podium, tout en disputant en parallèle sa première saison dans la classe électrique, et il a remporté sa première victoire en MotoE™ lors de la finale de la saison à Misano. Avec quatre podiums, une victoire et une sixième place au championnat, il ne fait aucun doute que Nicholas Spinelli sera un concurrent sérieux en 2024, puisqu’il rejoint les rangs de Tech3 E-Racing.

Alessandro Zaccone et Nicholas Spinelli débuteront leur campagne 2024 en février lorsque la classe électrique effectuera des essais à l’Autodromo Internacional do Algarve les 21 et 22 février, suivis d’un autre test au même endroit les 3 et 4 mars. Deux tests clés pour la catégorie MotoE™ puisque le championnat se disputera pour la première fois au Portugal, l’ouverture de la saison 2024 étant prévue à Portimao du 8 au 10 mars 2024.

Alessandro Zaccone : « Je suis heureux de pouvoir enfin annoncer que je vais poursuivre mon aventure avec l’équipe Tech3 E-Racing en 2024, car je me sens vraiment bien avec eux. Il n’a pas été facile de se réadapter à la catégorie électrique après une année en Moto2, mais nous avons travaillé très dur en 2023, et je pense que nous sommes prêts à nous battre pour les premières places, les podiums, et pourquoi pas les victoires ! Je suis heureux d’accueillir Nicholas dans l’équipe, il a été très rapide cette année, et je suis sûr que nous travaillerons bien ensemble. Nous sommes impatients d’entamer la nouvelle saison ! »

Nicholas Spinelli : « Je suis très heureux de pouvoir commencer une nouvelle saison en MotoE, surtout avec une équipe bien établie comme Tech3 E-Racing. Je tiens à remercier le team principal Hervé Poncharal pour sa confiance, et je suis impatient de rencontrer ma nouvelle équipe. J’espère que nous allons vivre ensemble une belle saison, pleine d’émotions et d’exploits. »

Hervé Poncharal, Directeur de l’équipe : « Nous sommes très heureux et fiers de pouvoir enfin annoncer notre line up 2024 Tech3 E-Racing. C’est un plaisir de reconfirmer Alessandro Zaccone pour une nouvelle saison avec nous. Je crois fermement que le succès vient aussi de la continuité. En 2023, Alessandro a montré de bons signes de vitesse, il a le potentiel pour progresser et s’améliorer, donc 2024 devrait être et sera une année beaucoup plus forte pour lui. Il aura un nouveau coéquipier que nous sommes heureux d’officialiser dans nos rangs, Nicholas Spinelli. Il a déjà remporté des courses en MotoE, il est très jeune et a beaucoup progressé en 2023, c’est donc un rêve de l’avoir avec nous. Nous pensons qu’avec Alessandro, ils peuvent s’imiter et se pousser l’un l’autre, et notre objectif est donc de gagner des courses et de nous battre pour le championnat. En plus de ces bonnes nouvelles, je suis fier d’annoncer que notre campagne 2024 dans la classe électrique sera soutenue par un nouveau sponsor titre, Motul, et je suis excité par ce nouveau partenariat. »

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Miami, 8 décembre 2023 – Ducati et Bentley sont fiers d’annoncer conjointement une nouvelle moto en édition limitée qui célèbre le meilleur des deux marques emblématiques : la Ducati Diavel pour Bentley. Né de la collaboration entre les deux constructeurs, le projet relie Ducati et Bentley avec une vision de la performance, de l’artisanat et de l’exclusivité. Le résultat est une synthèse frappante de technologie, de style et de performance capable de faire rêver les passionnés. La moto a été révélée au public lors d’un événement « fuorisalone » dans le cadre de la semaine Art Basel à Miami Beach, l’édition outre-mer de la plus prestigieuse foire européenne d’art contemporain.

Sur la base technique sophistiquée du Diavel V4, performant et confortable, Ducati a intégré de nombreux éléments caractérisant le style de la Bentley Batur – un modèle en série limitée fabriqué à la main par Bentley – pour créer une moto unique en termes d’élégance et de design. Le Diavel pour Bentley sera créé dans une série numérotée limitée à 500+50 exemplaires, ces derniers étant réservés aux clients de Bentley.

Le Centro Stile Ducati, en collaboration avec les designers de Bentley, a créé un nouveau design pour cette moto spéciale, s’inspirant du Batur dont il reprend les lignes principalement horizontales de la vue latérale. La couleur Scarab Green, sophistiquée et raffinée, riche en nuances métalliques, provient de la palette Bentley Mulliner et est utilisée sur toute la carrosserie.

Les lignes décisives et agressives du Diavel V4 ont également été profondément revues à travers les composants techniques : de nombreux éléments caractéristiques de la Batur sont repris dans différentes parties de la moto. Les jantes forgées, conçues et créées pour cette moto, rappellent les formes de celles de la voiture et sont peintes en Dark Titanium Satin, laissant apparaître quelques surfaces usinées.

Les prises d’air latérales reprennent la calandre bicolore, l’un des éléments les plus reconnaissables de la Batur. Les extracteurs arrière triangulaires renvoient aux éléments correspondants de la voiture. Le garde-boue avant, le carénage et la vue supérieure du réservoir rappellent les nervures du capot avant, tandis que la queue monoplace, qui peut être remplacée par un siège passager, reprend de nombreux éléments stylistiques de l’extracteur double couche situé à l’arrière de la voiture.

De nombreux éléments de la carrosserie sont en fibre de carbone de haute qualité (caches latéraux, couvre-phares, capots du moteur, de l’échappement et du radiateur, carénages de radiateur, panneaux latéraux, partie arrière).

Le siège du pilote, en Alcantara noir, s’inspire de l’intérieur de la voiture et est réalisé avec un travail de précision qui révèle le tissu rouge sous-jacent avec la même texture que celle des sièges Batur et avec le logo Bentley brodé sur le coussinet arrière. L’échappement à double sortie, avec son couvercle, a été redessiné pour s’harmoniser avec les lignes raffinées de la moto.

La Batur est la voiture de série la plus puissante jamais produite par Bentley, avec un moteur W12 biturbo de 740 PS, fabriqué en 18 exemplaires seulement. Plus encore, la Batur associe le savoir-faire de référence de Bentley à une carrosserie sculptée et musclée qui définit un nouvel ADN de design pour Bentley et préfigure une nouvelle orientation de la marque en matière de design. Le message visuel communique une grande puissance et une grande élégance, sans ostentation ni excès. Les 18 exemplaires de la Batur sont fabriqués individuellement à la main par Mulliner, le plus ancien carrossier du monde et la division « bespoke » de Bentley.

En plus des 500 exemplaires du Diavel pour Bentley, Ducati propose également une série de seulement 50 exemplaires, appelée Diavel pour Bentley Mulliner. Les 50 Diavel pour Bentley Mulliner seront disponibles exclusivement pour les clients de Bentley, qui, grâce à une collaboration directe avec les designers du Centro Stile Ducati, pourront configurer leur Diavel pour Bentley Mulliner avec différentes couleurs pour la selle, les étriers de frein avant, les pièces en fibre de carbone et les jantes. Ils pourront également choisir la même couleur que leur voiture pour les pièces de carrosserie ou l’une de celles de la palette exclusive sélectionnée par les designers de l’entreprise de Crewe.

La Diavel pour Bentley, comme toutes les Ducati de collection, est livrée avec un certificat d’authenticité, un siège passager et une housse de moto. Le nom du modèle et le numéro de production de l’unité sont gravés sur une plaque insérée dans le couvercle en fibre de carbone sur la culasse verticale, sur le côté droit de la moto. Le tableau de bord, équipé de série d’un navigateur turn-by-turn, et la matrice LED du faisceau de feux arrière offrent une animation spéciale à l’allumage qui rend le Diavel for Bentley encore plus reconnaissable. Enfin, chaque Diavel for Bentley sera livrée dans un coffret en bois exclusif et personnalisé.

La collaboration entre les deux constructeurs a également abouti à la création d’une Capsule Collection, réservée aux propriétaires de Diavel for Bentley, qui permet aux clients de compléter leur look avec un casque jet et une veste technique (disponible en version homme et femme) en édition limitée, caractérisée par un schéma de couleurs qui reflète celui de la moto.

Le Diavel for Bentley adopte le moteur V4 Granturismo de 1 158 cm3, un élément central de son design et en même temps un choix technique très raffiné. Puissant (168 ch), riche en couple, mais aussi extrêmement léger et compact, il est à la fois fluide, régulier et utilisable dès les plus bas régimes. L’ordre de combustion Twin Pulse, ainsi que le système d’échappement dédié, caractérisent sans aucun doute le timbre de l’échappement.

La vidéo de lancement de la nouvelle Ducati Diavel pour Bentley est disponible sur le canal YouTube de Ducati.

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• Un dispositif assurantiel spécialement conçu pour répondre aux besoins des pratiquants du sport motocycliste avec la possibilité de souscrire à des garanties complémentaires, permettant ainsi à chaque pratiquant de personnaliser son produit d’assurance en fonction de ses besoins.

• L’accès à 900 sites de pratique homologués/agréés répartis sur l’ensemble de l’hexagone pour assouvir sa passion en toute sécurité.

• Pour les titulaires d’une licence NCO, la possibilité de participer à l’ensemble des compétitions organisées chaque année sous l’égide de la FFM.

• L’opportunité de devenir acteur du développement du sport moto en France.

Afin de mieux maîtriser son budget sport, la Fédération a mis en place la possibilité de régler sa licence annuelle FFM* en 10 mensualités avec FLOA Bank.

Exemple : Pour la souscription d’une licence entraînement (NET), cela correspond à 22,37 euros par mois**.

*sous réserve d’acceptation du dossier par FLOA Bank et pour un montant égal ou supérieur à 100€. 
**hors cotisation club.

Le dispositif Pass’Sport, qui devait prendre fin au 31 décembre 2023, est prolongé jusqu’au 31 janvier 2024. Il permet aux familles éligibles de bénéficier d’une aide de 50€ pour l’adhésion à un club sportif ou la souscription d’une licence sportive.

Les familles éligibles au Pass’Sport ont reçu durant l’été 2023 un e-mail et SMS à l’en-tête du Ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, les informant qu’elles bénéficient de cette aide de 50€ par enfant.

Pour retrouver son code Pass’Sport, se rendre sur la plateforme du Ministère : https://www.pass.sports.gouv.fr/obtenir-mon-code/

MA PETITE SPONSO

Les licenciés bénéficient de nombreux avantages à travers le dispositif « Ma Petite Sponso ». Ils obtiennent des remboursements et génèrent automatiquement des dons du même montant pour leur club, entièrement financés par les marchands partenaires.

BONNE SAISON À TOUS !

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Le MotoGP est l’apogée de la course de motos, connue pour repousser les limites de la technologie et de la performance. En s’associant à GASGAS Factory Racing Tech3, Motul opère dans un environnement de haute performance où ses produits peuvent être testés dans des conditions extrêmes.

L’engagement de Tech3, et par extension celui de Motul, va au-delà de la catégorie MotoGP, s’étendant aux catégories Moto3 et MotoE.

La liste des pilotes de 2024 comprend Augusto Fernandez (26 ans), le Champion du Monde Moto 20222 qui a couru avec l’équipe GASGAS Tech3 en 2023, et Pedro Acosta (19 ans), qui sera un débutant dans la classe MotoGP en 2024 mais qui a prouvé sa forme en tant que double Champion du Monde en Moto3 en 2021 et en Moto2 en 2023.

En 2024, Motul revient dans les carénages de l’équipe GASGAS Factory Racing Tech3 dans le cadre d’un partenariat renouvelé axé sur l’accroissement de la visibilité de la marque, le développement de produits et la stimulation d’initiatives engageantes pour les fans et les passionnés de sport automobile.

Hélène Zaugg : « Je suis ravi d’accueillir à nouveau GASGAS Factory Racing Tech3 dans la famille des partenaires Motul. Nos deux entreprises partagent les mêmes valeurs de passion, d’attention à l’humain et de dévouement à la performance. La complémentarité est d’autant plus grande que nous partageons également une vision commune de la mobilité avec le groupe Pierer Mobility, propriétaire de la marque GASGAS. »

Hervé Poncharal : « Avec Motul, nous nous connaissons si bien que c’est plus qu’une amitié, c’est une affaire de famille. Notre relation a commencé quand j’étais encore adolescent, et aussi loin que je me souvienne, nous avons de nombreux dessins de toute l’histoire de Tech3 dans notre atelier, et 98% de cette histoire est liée à Motul. Nous avons grandi ensemble dans l’industrie, et après une pause nécessaire suite à de nombreuses années de passion intense, nous comprenons qu’il est maintenant temps de revenir à notre nid, Motul. Au-delà des facteurs de technologie et de développement que ce nouveau partenariat avec Motul implique, nous considérons cette réunion comme une réunion du « Corazon », comme j’aime à l’appeler. Il s’agit avant tout de relations humaines. Il y a quelque chose de spécial entre nos deux entités, nous partageons les mêmes valeurs, la même passion pour la course et la vie en général, et ce type de relation est assez rare, croyez-moi, c’est pourquoi je suis ravi de travailler à nouveau avec Motul. Tech3 Racing partage également cette ‘Corazon’ avec le groupe Pierer Mobility. Tout ce que je souhaite, c’est que Tech3 Racing, le groupe Pierer Mobility et Motul deviennent une formule Corazon, afin d’être une formule gagnante dans les prochaines années. »

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Malaisie, Qatar, Espagne… Au fil des trois semaines qui viennent de s’écouler, le Championnat du Monde de MotoGP s’est rapproché de son épilogue au gré de trois courses consécutives en Asie, au Moyen-Orient et enfin en Europe. Une fin de saison palpitante puisque le titre de Champion du Monde s’est joué dans la dernière course, après un marathon de 20 Tissot Sprint et de 20 Grand Prix. C’est la deuxième fois depuis la fondation du MotoGP, en 2002, que le titre est décidé à la dernière course deux saisons de suite.

Il est alors important de souligner que les deux derniers Grand Prix se sont déroulés sur un asphalte neuf. Une caractéristique particulière pour les pilotes comme pour Michelin, puisqu’hormis les informations sur le tracé, toutes les données concernant l’adhérence et le comportement des motos selon la température du sol étaient inconnus de tous. Michelin a su sélectionner les pneus les plus adaptés pour donner pleine confiance aux pilotes lors de ce saut dans l’inconnu.

« Tout d’abord, je tiens à féliciter Francesco Bagnaia pour son second titre de Champion du Monde, le 34^ème titre pour un pilote Michelin en MotoGP » indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « En ce qui concerne ce championnat 2023, c’est vrai que nous avons dû faire face à de nombreux changements, et nous sommes ravis de constater que cela a été un grand succès. Pour la première fois, nous avons combiné des évolutions réglementaires comme la réduction du nombre de gommes à l’arrière avec la règle sur la pression minimale à observer, mais aussi avec la découverte d’un circuit ou d’aménagements nouveaux. Il y a eu aussi l’introduction de la Tissot Sprint, qui offre une belle exposition supplémentaire à la discipline, mais qui constitue un engagement supplémentaire pour les écuries et un défi logistique pour nos équipes. Le Grand Prix en Inde, totalement nouveau, a apporté son lot d’exotisme, tout comme le renouvellement de l’asphalte sur certains circuits a constitué de nouveaux enjeux. Malgré toutes ces évolutions, grâce aux progrès réalisés sur les motos et aux pneus que nous avons fourni à nos partenaires, 36 nouveaux records ont été signés au fil de la saison. Qu’il s’agisse du temps au tour en course, du record absolu du circuit ou de la durée du Grand Prix, les chronos ont souvent été améliorés, et parfois selon un gap important. Je retiendrai de cette saison très intense que Michelin a su satisfaire les attentes de ses partenaires avec des pneumatiques bien choisis. Nous avons toujours apporté des gommes qui ont fourni des performances constantes permettant à l’ensemble des pilotes de se battre à armes égales, de la grille de départ à la ligne d’arrivée. C’est pour nous une grande satisfaction, au terme d’une saison très bataillée. »

A Valence, la Tissot Sprint du samedi après-midi a été remportée par Jorge Martin (Prima Pramac Racing) devant Brad Binder (Red Bull KTM Factory Racing) et Marc Marquez (Repsol Honda Team).

Le lendemain, le Grand Prix a été remporté par Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Team). Johan Zarco (Prima Pramac Racing) et Brad Binder (KTM Factoring Racing) terminent deuxième et troisième après la pénalité de Fabio Di Giannantonio (Gresini Racing MotoGP).

Au classement général, derrière le Champion du Monde 2023 Francesco Bagnaia, on trouve Jorge Martin (Prima Pramac Racing) et Marco Bezzecchi (Mooney VR46 Racing Team).

Parmi les équipes, c’est Prima Pramac Racing qui coiffe la couronne, devant Ducati Lenovo Team et Mooney VR46 Racing Team. Les trois partenaires de Michelin disposaient tous de motos Ducati Desmosedici.

En découle que le constructeur champion du monde 2023 est Ducati, suivi de KTM et Aprilia, très compétitifs durant toute la saison.

La saison 2024 du MotoGP reprendra dès mardi 28 novembre sur le circuit Ricardo Tormo de Valence, pour une première journée de test. Suivront trois jours d’essais début février à Sepang (Malaisie), puis deux jours au Qatar (Circuit International de Losail) à la fin du mois. Le premier week-end de Grand Prix aura lieu à nouveau au Qatar, du 8 au 10 mars. Michelin sera une année encore le fournisseur exclusif de l’ensemble des écuries du Championnat du Monde FIM de MotoGP™.

Cet article MotoGP Valence J3 Michelin : Un 34ème titre mondial, une 504ème victoire et 36 nouveaux records s’ajoutent au palmarès [CP] est apparu en premier sur Paddock GP.

Fraîchement débarquées de Malaisie, où un Grand Prix s’est déroulé le week-end dernier, les équipes de Michelin Motorsport ont accompagné leurs partenaires du championnat MotoGP dans un contexte particulier sur la piste de Losail (Qatar).

La majeure partie des acteurs du championnat connaissaient déjà les lieux, mais les travaux importants qui ont récemment eu lieu sur le site ont généré le report de la course en fin de saison alors qu’elle est habituellement programmée en mars. Par ailleurs, le nouvel asphalte posé ces dernières semaines sur le tracé a effacé la majeure partie des données en possession des écuries comme des ingénieurs de Michelin. Cette configuration inhabituelle combinée à la pression naturelle qui s’exerce sur les pilotes encore en lice pour le titre de Champion du Monde ont alors fait monter la pression d’un cran lors de la course Sprint comme du Grand Prix. Heureusement, chaque pilote a pu compter sur les conseils avisés de Michelin Motorsport, mais aussi d’une largesse réglementaire.

En effet, dans pareil cas le règlement permet d’apporter une spécification de pneumatique supplémentaire pour l’avant et pour l’arrière. C’est alors une séance d’essais « découverte » à laquelle se sont livrées les écuries de course lors de la première séance d’essai, vendredi après-midi. Il s’agissait de tester quatre gommes pour la roue avant et trois pour l’arrière afin de définir le meilleur set-up en vue des qualifications du lendemain. Un travail complexe pour lequel les Conseillers Techniques d’Écurie de Michelin ont été de précieux alliés, permettant aux pilotes de mieux comprendre quelles étaient les gommes les plus appropriées à la situation. La bonne compréhension des données était d’autant plus importante que le Grand Prix du Qatar se déroule de nuit (départ de la Tissot Sprint comme du Grand Prix à 20 heures), avec des températures au sol plus fraiches qu’en journée, lors des essais.

« Ce week-end, nous avons aidé nos partenaires à résoudre des équations à plusieurs inconnues. » indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « Non seulement la surface de la piste était nouvelle, mais elle était vierge de tout passage d’une moto de Grand Prix. Aucun test n’avait pu être organisé au préalable, et la première séance d’essai, sur une piste « verte », a vraiment été une plongée vers l’inconnue. Il a fallu aller très vite dans nos analyses, mais les chronos ont commencé à chuter dès la seconde séance. Les records ont ensuite été battus le lendemain lors des qualifications, signe que nous avions fait les bons choix d’abord à l’usine en choisissant les bonnes spécifications, et ensuite sur le circuit au moment du set-up. Depuis le début de la saison, on voit bien qu’en dépit des conditions changeantes voire inconnues nos pneus accompagnent l’augmentation des performances des motos de Grand Prix. Alors que nous nous dirigeons vers la dernière course de la saison, nous pouvons d’ores et déjà dire, au regard du nombre de records battus, que nous venons de vivre une période exceptionnelle où la polyvalence de nos pneus a été une qualité-clé. D’un point de vue sportif on ne pouvait pas rêver mieux puisque le titre de Champion du Monde va se jouer lors de la dernière manche. »

Au Qatar, samedi soir la Tissot Sprint a été remportée par Jorge Martin (Prima Pramac Racing) devant Fabio Di Giannantonio (Gresini Racing) et Luca Marini (Ducati Mooney VR46 Racing Team).

Le lendemain, le Grand Prix a vu la victoire de Fabio Di Giannantonio (Gresini Racing), devant Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Team). Luca Marini (Mooney VR46 Racing Team) occupe la troisième place. Sur le podium du championnat, seule la troisième place de Marco Bezzecchi (Mooney VR46 Racing Team) est connue. Le titre de champion se jouera le week-end prochain entre Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Team) et Jorge Martin (Prima Pramac Racing).

La 20^ème et dernière manche du Championnat du Monde de MotoGP aura lieu du 24 au 26 novembre sur le circuit de Valence (Espagne). Elle sera également le théâtre du 34ème titre de Michelin en MotoGP.

Cet article MotoGP Qatar J3 : Michelin plonge dans l’inconnu… et signe des records ! [CP] est apparu en premier sur Paddock GP.

David Alonso (GasGas Aspar Team), rookie de l’année, et Daniel Holgado (Red Bull KTM Tech3) ont tous deux été victime d’une chute collective, et sont repartis de la Malaisie avec zéro points. Toujours troisièmes du championnat ex-aequo, ils devancent Deniz Öncü (Red Bull KTM Ajo), lui aussi percuté par son coéquipier José Antonio Rueda à Sepang. Bref, de l’action nous attend !

Même si vous connaissez déjà le résultat de cette séance, venez la revivre avec nous ! Mais avant de débuter, voici un tableau qui présente les faits connus :

En ce milieu d’après-midi au Qatar, il fait grand beau. De quoi jauger la piste avant le début des hostilités dès demain, avec les qualifications. Et ça part fort ! Le premier à chuter n’est autre qu’Ayumu Sasaki, qui, malgré sa présence en haut des classements mondiaux, n’a toujours pas gagné la moindre course en 2023 ! Pas le meilleur des départs pour le Japonais. Heureusement, il repart sans encombre.

An early hiccup for @AyumuSasaki1! 😮

The championship contender has dropped it early in Practice 1! 💥#QatarGP 🇶🇦 pic.twitter.com/SsIqrVgxGI

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 17, 2023

Rapidement, Diogo Moreira (KTM MT Helmets MSi) se place en tête de cette P1, lui qui est plus discret depuis sa première victoire en Indonésie. Puis, Deniz Öncü prend les rênes en… 2’11 ? soit sept secondes pleines de plus que le record de la piste. Le nouveau revêtement n’est peut-être pas plus rapide.

The championship leader jumps to the top but only for a few seconds! 🔄@Denizoncu53 is your fastest early on but lap times are a long way off the records at the moment as expected ⏱️#QatarGP 🇶🇦 pic.twitter.com/Nh6vXz9ZkW

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 17, 2023

La séance est extrêmement calme, c’est le moins que l’on puisse dire. À sept minutes de la fin, Jaume Masia améliore la meilleure marque et se réaffirme en tant que favori à la couronne. Lors de l’essai suivant, le pilote Leopard Racing va encore plus vite, alors que Deniz Oncu manque d’attraper la roue arrière de Scott Ogden. Masia ne fait qu’améliorer, mais Deniz Oncu le passe au chrono dans les derniers instants !

https://twitter.com/MotoGP/status/1725477317932151187

Le Turc termine premier de cette séance devant Jaume Masia. Diogo Moreira est troisième. Rendez-vous plus tard dans l’après-midi pour retrouver les jeunes loups ! Honnêtement, il était difficile de prévoir que le nouveau revêtement allait être aussi lent ! Espérons que l’action sera plus intéressante par la suite. 

An exploratory P1 done in the sun ✅@Denizoncu53 ends it at the top but you can expect much quicker times as the sun sets in the evening! 🌆#QatarGP 🇶🇦 pic.twitter.com/qdw0KeVYIn

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 17, 2023

Résultat de la P1 du Grand Prix du Qatar Moto3 :

Crédit classement : MotoGP.com

Photo de couverture : Red Bull KTM Ajo

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Depuis 2004, première année où l’Émirat du Qatar a accueilli le Championnat du Monde de MotoGP, le Grand Prix s’est majoritairement déroulé en début de saison. Cette année, compte tenu des travaux importants réalisés dans l’enceinte du circuit, la course a été décalée à la fin de la campagne. Les concurrents, à défaut de retrouver un lieu qu’ils connaissent déjà pour la plupart, ont donc découvert un tout nouvel endroit. Les infrastructures ont été totalement remplacées, tout comme la piste a été entièrement resurfacée. En termes de météo, toujours chaude en journée, ce changement de calendrier n’a pas d’incidence d’autant – autre spécificité du Qatar- que la Tissot Sprint et le Grand Prix vont se dérouler de nuit, avec un départ à 20 heures (heure locale), soit 18 heures en Europe.

Pour les équipes de Michelin Motorsport, habituées aux défis logistiques et aux différentes spécificités de nombreux circuits autour du monde, ce Grand Prix est particulier. Il va avoir lieu sur un asphalte où aucune moto de Grand Prix n’a encore roulé. Le calendrier n’a pas permis l’organisation de tests, et même si le tracé reste rigoureusement le même, le fait de progresser sur un bitume neuf apporte de nouveaux enjeux. Le tracé du circuit de Losail propose 16 virages, dont 10 vers la droite. Long de 5,38 km, il comporte une ligne droite de plus d’un kilomètre, où les concurrents dépassent 330 km/h.

« Nouvelle surface veut dire « tout à refaire ou presque » en termes de choix de pneumatiques et de set-up des motos », indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « Comme nous ne savons rien de ce nouvel asphalte nous avons apporté, en accord avec le règlement technique, une spécification pneumatique supplémentaire. Ainsi, nos partenaires en MotoGP auront le loisir de tester quatre spécifications au lieu de trois pour la roue avant, et trois plutôt que deux pour l’arrière. En outre, le Qatar présente la particularité de nous offrir une course en fin de journée, et donc quand la nuit est tombée. A Losail, en plein désert, la température au sol chute avec le coucher du soleil, passant de 45°C à moins de 20°C en un laps de temps assez court. Aussi, nous allons travailler à l’inverse de ce qu’on fait d’habitude, en mettant en piste d’abord les gommes les plus dures. Puis les pilotes affineront leurs choix en introduisant des mélanges de plus en plus tendres afin d’identifier les meilleures fenêtres de fonctionnement. De notre côté, il faudra comprendre au plus vite quel genre d’usure et quels phénomènes thermiques génèrent cette nouvelle piste, afin de conseiller au mieux nos partenaires sur le choix des gommes en fonction des situations. Élément supplémentaire à prendre en compte : le sable apporté par le vent et qui augmente l’abrasivité. Compte tenu de notre expérience sur le circuit de Losail nous n’arrivons pas en terre inconnue et nous sommes confiants. Mais il est certain que ces nouvelles dispositions soulèvent quelques interrogations, auxquelles nous sommes impatients de répondre ! »

Les pneus sélectionnés pour le Grand Prix du Qatar

Les partenaires de Michelin auront la possibilité de tester deux types de mélanges Hard, un Medium et un Soft de la gamme MICHELIN Power Slick pour la roue avant, tous sur un pneu à la structure symétrique. Pour l’arrière, trois mélanges (Soft, Medium et Hard) seront présents. Les gommes Soft et Medium seront en spécification asymétrique, alors que le mélange Hard sera symétrique.

Concernant la gamme pluie MICHELIN Power Rain, le manufacturier tricolore a apporté au Qatar des gommes Soft et Medium aussi bien pour la roue avant (pneu symétrique) que la roue arrière (pneu asymétrique).

Quelles que soient les gommes ou les gammes, tous les pneus asymétriques bénéficieront d’une épaule droite renforcée, afin de répondre au nombre de virages plus importants de ce côté.

Sur le circuit de Losail, les motos de Grand Prix entreront en piste pour une première séance d’essais libres de 45 minutes vendredi 17 novembre à 15h45. Une seconde séance, cette fois d’une heure et qualificative, se déroulera de nuit, à 20 heures. Elle permettra aux 10 pilotes les plus rapides de passer directement en Q2. Le samedi, l’action se déroulera là aussi à compter de 15 heures, avec une séance d’essais libres de 30 minutes, puis les qualifications Q1 et Q2 (15 minutes chaque), puis la Tissot Sprint (11 tours) à 20 heures. Le Grand Prix (22 tours) se déroulera quant à lui le dimanche à 20 heures, après un warm-up de 10 minutes programmé dans l’après-midi.

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Yamaha Motor, fort de son investissement dans le développement et la production de véhicules et produits adaptés aux besoins des services publiques depuis 1987, sera présent en partenariat avec le Groupe Gruau au salon Milipol du 14 au 17 novembre 2023 (Paris-Nord Villepinte). Le constructeur japonais réaffirme ainsi son engagement à répondre aux besoins des forces de l’ordre, des services de l’état et des collectivités territoriales.

À cette occasion, Yamaha exposera cinq modèles avec le Groupe Gruau : les scooters Neo’s et XMAX, les motos Ténéré 700, Tracer 7 et Tracer 9 en version Police Municipale. Trois de ces véhicules, les Tracer 7, Ténéré 700 et XMAX, sortent des chaines de montage de l’usine picarde de MBK Industrie à St-Quentin (02), le premier producteur de deux-roues motorisés dans l’Hexagone et le troisième en Europe. Ces produits sont conçus de façon spécifique pour les administrations et les utilisateurs professionnels. Pare-carters, feux à pénétrations ou à éclat et boutons de commande rétro-éclairés sont quelques-uns des éléments développés spécifiquement pour que chaque véhicule réponde au cahier des charges requis par des utilisateurs exigeants.

Nos véhicules à quatre roues sont également des produits terrestres prisés par les acteurs des marchés publics, à l’instar des quads Kodiak 450, Grizzly 700 et du SSV Viking 700, des utilitaires légers et robustes, particulièrement pratiques en raison de leur grande polyvalence.

Outre les deux-roues motorisés, Yamaha est un constructeur de moteurs hors-bord reconnu. Les chantiers navals dont les embarcations sont référencées auprès de l’UGAP*, choisissent majoritairement nos unités comprises entre 2,5 ch et 300 ch, pour répondre aux besoins de la gendarmerie, des douanes ou encore des sapeurs-pompiers. La gamme de moteurs hors-bord Yamaha s’étend jusqu’au moteur XTO 450 ch V8 pour équiper tous les bateaux engagés dans les opérations le plus variées de la Marine nationale. Notre gamme de Waverunner répond aussi aux besoins d’une clientèle B2B exigeante.

L’une des autres forces de Yamaha réside dans le fort maillage de son réseau de distribution, comptant plus de 450 concessionnaires répartis partout en France. Pour assurer la maintenance des flottes de vos véhicules, ils peuvent compter sur une disponibilité de pièces et accessoires particulièrement impressionnante, avec 94% d’accessoires sur stock. Tous ces éléments sont des références Yamaha, validés par notre centre de recherche et développement.

Les équipes Yamaha vous accueillent dans le hall 5 sur le stand P186 Gruau – Yamaha pour vous faire découvrir nos dernières innovations et évoquer la réalisation de vos futurs projets de mobilité.

Modèles exposés :

•             Tracer 9 Police Municipale
•             Tracer 7 Police Municipale
•             Ténéré 7 Police Municipale
•             XMAX 300 Police Nationale
•             Neo’s Police Municipale

À découvrir également :

•             Tricity 300 Police Municipale (stand Sirac)
•             Tracer 7 Police Municipale (stand Richa)
•             Tracer 9 Police Municipale (stand Intav)
•             Moteurs hors-bord 150 ch (stand ministère de l’intérieur)

*L’UGAP est un établissement public industriel et commercial placé sous la tutelle du ministre chargé du budget et du ministre chargé de l’Education nationale. Seule centrale d’achat public généraliste nationale, l’UGAP est un acteur spécifique de l’achat public qui a reçu 5246 M€ HT de commandes enregistrées en 2022, dont 26 % concernent les véhicules. Ses clients sont principalement les collectivités territoriales, les administrations et les établissements publics de l’Etat, le secteur social et les établissements publics de santé.

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Le Grand Prix de Malaisie a tenu en haleine les plus de 90 000 fans ayant fait le déplacement ce dimanche sur le circuit Sepang, non loin de Kuala Lumpur, la capitale du pays. Durant les trois jours qui ont constitué l’événement, une chaleur intense (régulièrement plus de 50°C sur la piste, jusqu’à 35°C dans l’air) mais aussi chargée d’humidité a mis les organismes et les mécaniques à rude épreuve. Mais les sportifs de haut niveau que sont les pilotes de Grand Prix ont fait fi de ce climat équatorial éprouvant. Ils ont apprivoisé ce circuit complexe, long de 5,543 km, et composé de quinze virages dont dix vers la droite.

A Sepang, les équipes de Michelin Motorsport Sport avaient amené trois mélanges de gomme pour la roue avant (Soft, Medium et Hard), et deux pour la roue arrière (Medium et Hard). Symétriques à l’avant, ces pneus disposaient d’une épaule droite renforcée à l’arrière afin de répondre à la disparité du nombre de virages.

Après la première journée de test, les écuries avaient déjà déterminé leur stratégie pneumatique pour le week-end, la pluie attendue s’étant finalement abattue sur le circuit avant le début des essais, puis juste après la Tissot Sprint. Les partenaires de Michelin ont alors pu dérouler leur plan en toute sérénité, avec le soutien des équipes techniques du manufacturier clermontois.

« Comme l’an dernier, notre MICHELIN Power Slick en gomme Medium a constitué le choix numéro 1, » indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « Malgré une piste rendue difficile par les différentes bosses, ou encore le remplacement partiel de l’asphalte entre les virages 7 et 12, les pilotes ont tout de suite été dans le coup, et se sont approchés du record du circuit dès les premiers essais. Cinq d’entre eux ont d’ailleurs fait mieux que ce temps de référence absolu lors des qualifications, ce qui confirme que les évolutions des motos de Grand Prix montées de nos pneus fonctionnent parfaitement. Lors de la course Sprint, tous les pilotes ont opté pour la même stratégie, et nous avons pu constater un rythme très élevé à chaque instant des dix tours. Pour le Grand Prix, le choix a été le même mais la gestion de l’usure a induit un rythme différent. Nous avons néanmoins noté, grâce à la constance des performances de nos pneus, que la vitesse moyenne a été élevée tout au long de la course. Malgré des conditions difficiles, nous avons démontré une fois encore que nos pneus offrent une polyvalence qui permet à nos partenaires de s’exprimer et de faire le spectacle sans distinction de rythme entre le début et la fin de l’épreuve. »

Samedi après-midi, la Tissot Sprint a été remportée par Alex Marquez (Gresini Racing) devant Jorge Martin (Prima Pramac Racing), et Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Team).

Le lendemain, le grand Prix a vu la victoire d’Enea Bastianini (Ducati Lenovo Team). Il est le septième pilote à remporter un Grand Prix cette saison. Il devance Alex Marquez, et Francesco Bagnaia occupe la troisième marche du podium.

La 19ème et avant-dernière manche du Championnat du Monde de MotoGP aura lieu du 17 au 19 novembre sur le circuit de Losail (Qatar). Il reste deux week-ends de course avant la fin de la saison, et la nomination du champion du monde 2023.

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Le programme s’annonce riche en événements des plus qualitatifs sur nos Championnats, Coupes et Trophées de France.

Concernant les autres disciplines ainsi que les calendriers complémentaires, ils seront disponibles durant les prochains jours.

Plus que jamais, la Fédération tient à remercier ses Ligues, Comités Départementaux et Moto-Clubs pour leur mobilisation en vue de cette nouvelle saison.

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Enea Bastianini, sorti de la Q1, termine avec un excellent troisième temps, avec un retard de 0,099 sur la pole après qu’il a eu la confirmation qu’il pourrait bien perdre sa place comme pilote officiel Ducati au profit du Martinator …

Alex Marquez termine quatrième, devant Luca Marini et Marco Bezzecchi. Brad Binder ouvre la troisième ligne devant Fabio Quartararo et Maverick Viñales. Jack Miller complète un top dix commandé aux six premières places par des Ducati. Après avoir passé le piège de la Q1, Fabio Di Giannantonio termine onzième.

Après un excellent FP2 Franco Morbidelli, agacé tout au long de la séance par Marc Marquez, s’élancera de la 15e place, tandis que l’Espagnol, qui a chuté en fin de séance, est 20e. Le wild-card, Alvaro Bautista, nouveau double champion du monde, a terminé avec l’avant-dernier temps après une panne d’essence en fin de séance.

Que va nous réserver cette course Sprint MotoGP en Malaisie ? Avant de le savoir, voici le tableau qui résume les faits connus jusque-là.

« Compte tenu du niveau de forme de Jorge Martin, c’est une réalité de le considérer pour l’équipe officielle. » C’est ce qu’a déclaré Paolo Ciabatti, directeur sportif de Ducati Corse, qui a répondu sur le site MotoGP en référence à un éventuel changement entre l’Espagnol et Bastianini à partir de 2024. Des paroles qui ont eu leur effet puisque Enea Bastianini est revenu en première ligne avec un super 3ème temps signé lors des qualifications pour ce Grand Prix de Malaisie après les difficultés rencontrées en Thaïlande … Reste maintenant à savoir comment il va se comporter en course face à Jorge Martin et Pecco Bagnaia, en lutte pour le titre …

En attendant que les hostilités ne se lancent pour de bon, voici les images en direct …

The stage is set for an epic #TissotSprint at Sepang! 🔥

Don't miss yet another crucial race for the Championship battle with #VideoPass 👉 https://t.co/8lByza7yxH#MalaysianGP 🇲🇾
https://t.co/BXEb65oSHY

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Il est temps de se mettre en condition, voici le rappel des forces en présence sur la grille de départ..

🤩 @PeccoBagnaia and @88jorgemartin in the Top 2 spots of the grid

You reaaaally don't want to miss the #TissotSprint coming up shortly! 🍿#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/l7X7NIXTKE

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

10 tours seront à effectuer de ce tracé long de 5.543KMS : un circuit favorable aux Ducati : la grille du jour venant une fois de plus confirmer cela..

Ouverture des stands pour mise en grille..il est 7h45 en France !

Le champion du monde en titre vient se positionner sur la grille de départ..ainsi que le nouveau prétendant au titre 2023..

On their way to their grid slots 👊

All eyes are on the front row, especially on @PeccoBagnaia and @88jorgemartin ⚔️#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/sXn3ubNllm

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Inquiétude auprès de la moto de Martin??? Une pièce au sol..les mécanos s’affairent..

A rapid repair job on @88jorgemartin's bike 🔧

Here's what happened in the sighting lap 👀#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/NdYPleR0On

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Alex Marquez, le pilote qui pourrait venir perturber les plans de Bagnaia et de Martin en vue de la victoire..

👊 @alexmarquez73 can't be ruled out of the fight!

He's been quick all weekend and he might have his say in today's #TissotSprint 💨#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/PtNyaBsg77

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Tour de chauffe…ils sont en route pour nous faire le spectacle..!! 52° en piste !!! 33° dans l’air.

C’est parti et c’est Bagnaia qui sort en tête devant Bastianini qui double Martin. AMarquez passe le pilote Ducati, il est 2e. Zarco est 9e, Quartararo est 18e

🚦LIGHTS OUT IN THE #TissotSprint🚦@PeccoBagnaia leads @Bestia23 into T1!#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/28Nixso50x

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Martin passe à l’attaque et repasse Bastianini. il reprend la 3e position.

Après 1 tour, le top10 est le suivant : Bagnaia avec 0.159s d’avance sur Martin, AMarquez, Miller, Binder, Bastaianini, Bezzecchi, Zarco, Marini et Morbidelli.

AMarquez, très chaud, reprend la 2e position…sur Martin.

Back in 2nd! ⬆️@alexmarquez73 makes the move stick this time around! 👍#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/tGOkYNq5UA

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

⚡️ @alexmarquez73 shoots his shot for a potential winning overtake!

But he goes wide and @88jorgemartin is through! 🔄#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/dMzQrvTNnL

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Chute de MMarquez. Il reprend la piste.

A small mistake with big consequences! 💥

But @marcmarquez93 manages to rejoin after that T14 tumble 👊#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/17RzMnszkj

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Encore 7 tours et devant Bagnaia possède 0.271s d’avance sur AMarquez. Martin est en embuscade en 3e position, Miller et Bastianini complètent ce top5

Chute de Mir.

AMarquez prend la tête des opérations à 5 tours du but ! Martin passe Bagania qui rétrograde en 3e position. Bastianini est en train de menacer Bagnaia pour le gain de la 3e marche du podium..

🔄 @alexmarquez73 leads!

And @PeccoBagnaia quickly drops behind @88jorgemartin ⬇️#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/CqQXxCJSyc

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Encore 3 tours…

AMarquez est le leader de la course et possède 1.073s sur Martin. Bagnaia , Bastianini et Binder ferment la marche de ce top5.

Un papier s’est collé sur l’avant de la moto du pilote Italien..

More drama adding up! 😱

Something's stuck on @PeccoBagnaia's fairing 👀#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/FZ4yfeKzhn

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Zarco est 8e, Quartararo est 16e.

Bastianini reste sagement derrière Bagnaia..et protège ainsi la 3e marche du podium pour le champion du monde.

Right in the clutches of his teammate ⚔️@PeccoBagnaia has gone from hunter to prey 😮#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/wv4eDmdSa1

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Dernier tour…

Victoire d’Alex Marquez devant Martin et Bagnaia. 

🏁 CHECKERED FLAG 🏁@alexmarquez73 storms to a #TissotSprint stunner! 🥇#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/DdtLIv9peB

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Back on top! 🥇@alexmarquez73 masters Sepang to win his second #TissotSprint of the season! 👊#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/MJdbHEsBVJ

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Two points gained on Pecco for @88jorgemartin 💪

These could prove crucial 👀#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/f9YlyJK6C8

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Despite weird things happening, the reigning Champ finishes in the Top 3 🥉

Nice respect shown there too by @PeccoBagnaia 🤝#MalaysianGP 🇲🇾 pic.twitter.com/NpvhkWoBl2

— MotoGP™🏁 (@MotoGP) November 11, 2023

Résultats du Sprint du Grand Prix de Malaisie MotoGP à Sepang :

Crédit classement : MotoGP.com

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Le circuit de Sepang a été dessiné par l’architecte allemand Hermann Tilke à la fin des années 90. Long de 5,543 km, il est composé de cinq virages à gauche et dix à droite. Il comporte deux lignes droites, dont l’une dépasse 900 mètres de longueur. Comme souvent en Asie, la chaleur et l’humidité seront des critères-clés dans le déroulement du week-end de course. En outre, si l’asphalte a récemment été revu entre les virages 7 et 12, le niveau d’abrasivité devrait rester élevé sur l’ensemble du tracé. Cette surface abrasive, associée à une température au sol pouvant dépasser 50°C, constitue un défi pour les hommes, leurs machines et bien sûr les pneumatiques. Une combinaison qui plait toutefois à Michelin Motorsport, puisque Sepang est devenu au fil du temps une base d’essais récurrente. A chaque inter-saison, des tests MotoGP y sont menés afin de valider les améliorations apportées au cours des mois précédents, aussi bien sur les pneumatiques en eux-mêmes que sur leur capacité à accompagner les évolutions des motos.

« Même si nous connaissons parfaitement les lieux l’attention reste de mise », indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « Sepang est un circuit très complexe, où le grip est bon mais où l’humidité joue un rôle important. En outre, en Asie nous ne sommes jamais à l’abri d’un orage ou de pluie diluviennes, et nous devons nous adapter en permanence. Pour répondre aux exigences du tracé, avec une alternance de virages lents et rapides, nous aurons comme toujours un pneu symétrique décliné en trois gommes (Soft, Medium et Hard) pour la roue avant. Pour l’arrière nous avons sélectionné deux mélanges, Medium et Hard, qui seront renforcés à droite pour répondre au nombre de virages plus important de ce côté. En cas de pluie, notre gamme MICHELIN Power Rain sera elle aussi disponible, selon deux crans de gomme, Soft et Medium, à l’avant comme à l’arrière, également avec un côté droit renforcé. Nous pourrons ainsi répondre à toutes les sollicitations et nous nous tiendrons aux côtés de nos partenaires pour les accompagner au mieux tout au long de ce week-end de course. »

Des pneus pour battre des records

En 2022, de nouvelles références chronométriques ont été établies, avec notamment le record du circuit en 1min57s790 établi par Jorge Martin (Prima Pramac Racing) lors de la seconde phase de qualifications (Q2). Le record de la durée de la course avait aussi été abaissé à 40min14s332, au terme d’un Grand Prix remporté par Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Team). Alors que des records ont été sont battus un peu partout sur la planète depuis le début de cette saison 2023 les pneumatiques Michelin, développés spécifiquement pour les motos de Grand Prix, seront des alliés incontestables dans cette quête de performance ultime. Les records sont faits pour être battus, mais rien ne serait possible sans une technologie de pointe au service du talent des pilotes.

Sur le circuit de Sepang, les motos de Grand Prix entreront en piste dès le matin du vendredi 10 novembre pour une première séance d’essais libres de 45 minutes. Une seconde séance, cette fois d’une heure et qualificative, se déroulera l’après-midi. Elle permettra aux 10 pilotes les plus rapides de passer directement en Q2. Le samedi se déroulera selon une séance d’essais libres de 30 minutes le matin, laquelle sera suivie des qualifications Q1 et Q2 (15 minutes chaque), puis de la course Sprint (10 tours) l’après-midi. Comme toujours, le Grand Prix (20 tours) se déroulera le dimanche après-midi, après un warm-up de 10 minutes le matin.

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À l’issue du Grand Prix du Portugal disputé ces 28 et 29 octobre, 7^ème et dernière épreuve inscrite au calendrier, notre Française, passagère du pilote anglais Todd Ellis, s’est adjugée un nouveau titre mondial au terme d’une saison parfaitement négociée, en effet le duo franco-britannique n’est jamais sorti du Top 5 et a réalisé 10 podiums dont 5 victoires en 14 courses.

Emmanuelle conserve son titre après avoir été sacrée Championne du Monde l’an dernier, toujours associée à Todd Ellis. A bientôt 27 ans, Emmanuelle entre un peu plus dans l’Histoire de cette discipline qu’elle découvre en 2015 grâce à ses parents qui participaient depuis de nombreuses années à des courses de côte. Après des apparitions sur le Championnat de France de la Montagne en tant que passagère, elle s’est vue offrir quelques opportunités en Championnat de France Superbike avant de plonger dans le grand bain du Championnat du Monde en 2021.

Sébastien Poirier, Président de la Fédération Française de Motocyclisme : « La Fédération est extrêmement fière de la performance d’Emmanuelle Clément et de son pilote Todd Ellis. Notre tricolore signe un second titre mondial consécutif, un résultat exceptionnel.
À travers Emmanuelle, ce sont toutes les femmes pratiquant notre sport et plus rarement cette discipline, qui se voient valorisées.
Je tiens à féliciter chaleureusement Emmanuelle pour ce nouveau titre et la remercie de faire briller les couleurs de notre Fédération et de notre pays. »

Crédit photos : FIM Pictures / Mark Walters.

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Yamaha Motor a fait de la Chine l’une de ses principales bases de production et de vente, et cette entreprise commune est subordonnée à l’obtention des autorisations, permis, etc. requis par les lois sur la concurrence et d’autres lois et règlements.

Par ailleurs, Yamaha Motor continuera à discuter de l’orientation de cette joint venture avec CFMOTO dans le but d’améliorer encore la compétitivité, mais aucune autre coopération n’est actuellement en place.

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Quelques dates supplémentaires pour l’agenda peuvent maintenant être révélées, avec des tests en cours de saison pour la classe MotoGP™ tout au long de l’année 2024 confirmés. Comme annoncé précédemment, la catégorie reine bénéficiera de trois jours d’essais en saison la saison prochaine, portant le total sur l’ensemble de l’année à neuf jours de tests officiels.

Cette augmentation d’une journée par rapport à 2023 a été convenue avec les usines, les équipes, les pilotes et le fournisseur officiel de pneus de la catégorie reine, Michelin, afin de tester une nouvelle spécification de pneu avant avant son introduction prévue en 2025.

Les essais de la saison 2024 se dérouleront tous directement après le Grand Prix, au même endroit.

Lundi 29 avril : Circuito de Jerez-Angel Nieto
Lundi 3 juin : Autodromo Internazionale del Mugello
Lundi 9 septembre : Circuit mondial de Misano Marco Simoncelli

Les trois jours d’action en saison s’ajoutent aux tests de pré-saison déjà confirmés, créant ainsi le calendrier d’essais officiel suivant pour la catégorie reine en 2024 :

SEPANG
Shakedown Test : Du jeudi 1er au samedi 3 février (pilotes d’essai et rookies uniquement).
Essais officiels de pré-saison : Mardi 6 – Jeudi 8 février

QATAR
Test officiel de pré-saison : Lundi 19 – mardi 20 février

JEREZ
Test officiel : Lundi 29 avril

MUGELLO
Test officiel : Lundi 3 juin

MISANO
Test officiel : Lundi 9 septembre

Comme toujours, une dernière journée d’essais aura lieu après la finale de la saison sur le même circuit, qui sera en 2024 le circuit Ricardo Tormo à Valence.

En 2023, le premier test de la saison à venir clôturera également l’année, puisque Valence accueillera notre premier aperçu d’une saison historique le mardi 28 novembre – le premier de ces neuf jours et une autre date à retenir dans l’agenda !

C’est là que les usines, les équipes et les pilotes commenceront à se préparer pour une année 2024 à grand spectacle, au cours de laquelle le sport célébrera son 75e anniversaire, organisera 22 Grands Prix dans 18 pays et entamera la transition vers un carburant 100 % durable. En 2024, c’est au minimum 40 % d’origine non fossile. Préparez-vous !

Les dates des tests de pré-saison Moto2™ et Moto3™ confirmées

Un test de pré-saison officiel et combiné pour les catégories Moto2™ et Moto3™ aura lieu au Circuito de Jerez-Angel Nieto du mercredi 28 février au vendredi 1er mars 2024.

Deux tests privés auront également lieu, tous deux à l’Autodromo Internacional do Algarve au Portugal. Ils sont répartis par classe.

JEREZ
Essais officiels Moto2™ & Moto3™ : Jeudi 28 février – vendredi 1er mars.

PORTIMAO
Essais privés Moto3™ : Jeudi 22 – Vendredi 23 février
Essais privés Moto2™ : Samedi 24 – Dimanche 25 février

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31 octobre 2023 – VR46 Metaverse, Animoca Brands et GravitasLabs sont fiers de dévoiler le lancement en direct de l’expérience « Valeverse » sur The Sandbox, désormais accessible aux fans de Valentino Rossi et aux passionnés de sport mécanique du monde entier. Cette expérience virtuelle de sport mécanique promet un monde d’aventures, de quêtes et de récompenses, offrant un niveau inégalé d’engagement et d’immersion dans le monde du sport mécanique.

Le « Valeverse » permet aux utilisateurs d’accéder à des ressources numériques exclusives, notamment des motos, des casques et des cuirs emblématiques de la carrière du Docteur, ce qui leur permet d’exprimer leur enthousiasme pour le pilote italien dans une toute nouvelle dimension. Le « Valeverse Pass » permet aux fans de débloquer une longue liste d’avantages exclusifs, y compris la possibilité d’obtenir des marchandises dédicacées, des billets de course convoités et une rencontre avec Valentino Rossi.

Pour enrichir encore l’expérience de tous les joueurs, Valeverse proposera des contenus exclusifs en partenariat : SisalFunClub célèbre le lancement de la version 2024 de l’application avec une présence massive dans le monde virtuel. Le contenu dédié au jeu mobile for fun de Sisal permet aux joueurs de visiter le stade emblématique qui, comme dans l’application SisalFunClub2024, devient la scène dans laquelle les utilisateurs s’affrontent à travers des quiz et des mini-jeux. Tout comme dans l’application Sisal, les joueurs pourront se mesurer à la tactique, à la stratégie et aux transferts. Dans Valeverse, les fans du Docteur pourront également démontrer leurs compétences grâce à des missions et des quiz dédiés au 9ème champion du monde.

Le lancement de Valeverse marque le début d’une vision élargie d’intégrations métaverses imaginées par VR46 Metaverse, Animoca Brands et Gravitaslabs ; en même temps, la collaboration avec SisalFunClub 2024 scelle également le début d’un projet ambitieux au nom du plaisir et de la responsabilité, des valeurs sur lesquelles les deux expériences sont basées.

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En 2024, Yamaha fait passer la MT-09 à un niveau supérieur en alliant ingéniosité et style, plus proche encore de l’essence même de ce qu’est le « Dark Side of Japan ».

La première MT-09 a insufflé un vent d’émotion et d’enthousiasme dans le monde de la moto, marquant le début d’une révolution Hyper Naked en passe de tout changer. En 2024, Yamaha fait passer la MT-09 à un niveau supérieur en alliant ingéniosité et style, plus proche encore de l’essence même de ce qu’est le « Dark Side of Japan ». La nouvelle MT-09 offre une expérience de conduite encore plus palpitante grâce à un style pur, provocateur et musclé, mais aussi grâce à des caractéristiques haut de gamme complétées d’avancées technologiques.

UN NOUVEAU LOOK PLUS ÉLANCÉ ET PLUS AFFÛTÉ

Le concept stylistique de la MT-09 a toujours été celui de la « beauté fonctionnelle », en éliminant les éléments superflus et en incarnant l’approche « Less is more ». Chaque détail a été repensé pour renforcer le look incisif et pur de la MT-09 et maximiser l’expérience de conduite.

Un nouveau phare à LED, inclus dans un cache entièrement repensé, crée une relation plus unifiée entre le phare et le réservoir de carburant. Il est inspiré par les origines de la MT, un mélange de « Naked » et de « Motard ». La MT-09 est reconnue pour sa stabilité et son agilité, renforcée par une nouvelle ergonomie. Des modifications apportées à l’ensemble guidon/repose-pieds/selle améliorent le confort du pilote et offre une plus grande liberté de mouvement, tout en conservant une position sportive inclinée vers l’avant.

Et votre expérience à son guidon prendra une toute nouvelle dimension grâce au tout nouvel écran couleur TFT de 5 pouces, avec connectivité et navigation intégrées, et aux réglages personnalisables du Yamaha Ride Control (YRC), qui complètent les trois modes prédéfinis (« Sport », « Street » et « Rain »). La touche finale est apportée par le régulateur de vitesse et par le shifter de troisième génération, qui permet de passer les vitesses à la volée sans débrayer.

DÉCOUVRIR LA NOUVELLE MT-09

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Le quatrième Grand Prix de MotoGP organisé en Thaïlande a tenu toutes ses promesses en termes de fréquentation, de spectacle et de sportivité. Situé dans un gigantesque complexe comportant également un stade de football et une piste de dragster, ce circuit calibré pour 100 000 spectateurs a été largement investit par les fans durant tout le week-end. Ils étaient plus de 41 000 pour les essais le vendredi, plus de 62 000 pour les qualifications et la Tissot Sprint samedi, et près de 76 000 ce dimanche pour le Grand Prix.

Les pilotes, bien connus des passionnés de MotoGP en Asie, ont pris plusieurs bains de foule avec leurs admirateurs. De son côté, Michelin a pu une nouvelle fois jauger de sa popularité dans le pays, où il n’est pas rare de voir de petites figurines à l’effigie de Bibendum – voire plusieurs – derrière le pare-brise de nombreux véhicules.

Mais ce qu’attendaient avant tout les fans de MotoGP, c’était du spectacle en piste et ils en ont eu ! Après une première séance d’essais où les pilotes ont affiné les réglages de leurs motos, les qualifications ont permis aux huit plus rapides d’améliorer le temps de référence de la pole position (qui datait de 2022). Jorge Martin (Prima Pramac Racing) a par ailleurs enregistré à cette occasion le nouveau record absolu de la piste en 1’29’’287. C’est dire si le niveau de performance a été incroyablement élevé, et démontre que la cohésion entre pneumatique et moto était parfaite ce week-end en Thaïlande.

Le samedi, la Tissot Sprint avait déjà montré la forte intensité des bagarres en piste, mais le point d’orgue du week-end a bel et bien été le Grand Prix, au cours duquel une bagarre exceptionnelle à l’avant et de nombreux dépassements ont eu lieu.

Un spectacle de très haut niveau pour les fans, et une forte satisfaction pour les équipes de Michelin Motorsport qui ont vu, au travers d’une bataille homérique entre Jorge Martin (Prima Pramac Racing), Brad Binder (Red Bull KTM Factory Racing), et Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Racing), la concrétisation de leur travail. Les trois pilotes ont en effet imprimé un rythme très élevé et ont pu attaquer à 100 % des capacités de leurs motos sans jamais se soucier de leurs pneumatiques. Les temps au tour ont d’ailleurs été constants quel que soit le moment du Grand Prix, et au final les trois hommes ont passé la ligne d’arrivée avec moins de trois de dixièmes de seconde d’écart !

« Nous pensions que la gomme Medium serait la star du week-end tout comme notre mélange Hard serait formidable pour le Grand Prix, et c’est exactement ce qui s’est passé » indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « Ce à quoi nous avons assisté ce week-end est vraiment exceptionnel, car malgré les conditions de piste et la chaleur nos pneus ont été au rendez-vous dans chacun des compartiments du jeu. Qu’il s’agisse de l’adhérence, de la motricité, de la stabilité au freinage ou de l’usure, nos gommes ont été parfaites. Lors de la Tissot Sprint, les MICHELIN Power Slick Medium ont été choisis par quasiment 100 % de nos partenaires à l’avant comme à l’arrière, alors que la surface de la piste atteignait pourtant 45°C (pour 30°C dans l’air avec des nuages, et un taux d’humidité à 60 %). Cette polyvalence extraordinaire, c’est notre signature sur des courses de ce type, assez courtes mais très intenses. Ce dimanche, le bon sens dictait en revanche l’emploi de la gomme Hard à l’arrière et c’est d’ailleurs ce que tout le monde a fait, à l’exception d’Alex Marquez qui a préféré le mélange Medium. On a alors bien vu que tout a parfaitement fonctionné, avec une bataille historique pour la victoire et un grand nombre de changements de positions. Je suis vraiment ravi du spectacle offert, aussi bien pour le public que pour nos ingénieurs et nos techniciens, qui se donnent tant de mal pour fournir des pneus de référence à nos partenaires. Je pense que ce week-end de course restera dans toutes les mémoires. »

Des pneus adaptés à la situation

Le Championnat du Monde de MotoGP ne vient à Buriram que depuis 2018, mais les équipes de Michelin Motorsport disposaient de suffisamment de données pour sélectionner les meilleures gommes pour les courses. Aussi, pour répondre à la configuration de ce tracé (4,554 km de long, cinq virages à gauche, sept à droite), Michelin a apporté en Thaïlande des pneus arrière avec une gomme plus rigide sur la partie droite de leur bande de roulement, ainsi qu’une structure renforcée afin de mieux contrôler l’aspect thermique. Ce choix technique, validé très tôt par les équipes de Michelin, a démontré sa pertinence au travers des performances observées.

Samedi après-midi, la Tissot Sprint a été remportée par le pole-man du week-end Jorge Martin (Prima Pramac Racing) devant Brad Binder (Red Bull KTM Factory Racing), et Luca Marini (Mooney VR46 Racing Team).

Le lendemain, le grand Prix a de nouveau vu la victoire de Jorge Martin (Prima Pramac Racing), qui devance cette fois-ci Francesco Bagnaia (Ducati Lenovo Team). Brad Binder (Red Bull KTM Factory Racing) occupe la troisième marche du podium.

La prochaine et 18ème manche du Championnat du Monde de MotoGP aura lieu du 10 au 12 novembre sur le circuit de Sepang (Malaisie). Elle marquera la fin de la tournée asiatique de la saison 2023, avant de mettre le cap sur le Moyen-Orient puis l’Europe.

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L’équipe de pilotes de 2024 sera composée d’Alex Lowes, un collègue de longue date, et d’Axel Bassani, une nouvelle recrue.
Alex est un vainqueur de course et un podium éprouvé qui s’apprête à entamer sa cinquième saison en tant que pilote KRT, tandis qu’Axel a été le champion des pilotes des équipes indépendantes au cours des deux dernières saisons. La saison 2024 sera la première année d’Axel au sein d’une équipe officielle du WorldSBK.

La tradition de KRT de dévoiler une livrée spéciale pour les tests d’hiver se poursuivra lors de ce test, avec la marque unique de l’équipe hors saison qui sera utilisée lors de tous les tests avant le début de la saison 2024 elle-même.
Avec une nouvelle équipe de pilotes KRT et un large éventail de nouvelles règles techniques à respecter en 2024, KRT a planifié la forme et l’ampleur de l’équipe 2024 depuis un certain temps. La nouvelle structure du personnel travaillera ensemble pour la première fois lors du prochain test de Jerez, tout comme certaines des modifications techniques requises pour s’adapter aux nouvelles règles couvrant le poids combiné de la moto et du pilote, la masse du vilebrequin et de l’arbre d’équilibrage, les restrictions de charge de carburant, les limites de régime et bien plus encore.

Pour 2024, Alex Lowes aura Pere Riba comme chef d’équipe, tandis qu’Axel Bassani travaillera avec Marcel Duinker, chef d’équipe de longue date de KRT. D’autres changements internes sont également en cours pour relever le défi d’un avenir immédiat qui s’annonce passionnant, plein de nouvelles ambitions et d’opportunités.

Pour les pilotes, ce test est important pour de nombreuses raisons, même si c’est d’une manière légèrement différente, compte tenu de leurs expériences contrastées de la Ninja ZX-10RR à ce jour.
Alex Lowes s’appuiera sur toutes les informations qu’il a acquises jusqu’à présent et est déterminé à préparer le terrain pour remporter des courses en 2024.
Axel Bassani aura évidemment besoin de temps pour s’habituer à son nouvel environnement, à son équipe et à sa machine. Il est naturellement très excité par cette nouvelle opportunité, mais il arrivera avec une approche professionnelle pour faire le plus de progrès possible le plus rapidement possible.

Alex Lowes (pilote de l’équipe Kawasaki Racing) : « Nous sommes déjà concentrés sur 2024. Nous connaissons les domaines que nous voulons améliorer avec notre package et nous devons maintenant travailler dur pour obtenir les données dont nous avons besoin pour progresser dans ces domaines. Je change une partie du personnel dans le garage, alors je suis impatient de travailler sur les nouvelles relations, avec l’objectif de faire ressortir davantage notre potentiel l’année prochaine. »

Axel Bassani (pilote de l’équipe Kawasaki Racing) : « Je suis heureux de commencer cette nouvelle aventure avec Kawasaki. C’est un rêve pour moi car c’est une très bonne équipe avec beaucoup d’histoire. Il est important pour moi de commencer avec une humeur détendue, d’essayer de comprendre la moto, ma nouvelle équipe et après nous verrons ce qui se passera. »

Pere Riba (chef d’équipe d’Alex Lowes) : « Nous avons terminé une ère, neuf ans avec Johnny et maintenant nous commençons un nouveau chapitre avec Alex. Au début, il y aura quelques différences parce que ce sont deux êtres humains, deux pilotes, deux caractères différents, donc il est certain que j’aurai besoin de temps pour comprendre comment s’adapter à Alex. Mais je suis très motivé par ce nouveau défi. Nous savons qu’Alex a une bonne vitesse et je vais faire de mon mieux avec mes gars pour tirer le meilleur de lui et améliorer le package. Il connaît la moto et l’équipe et j’essaierai de me concentrer davantage sur lui-même pour obtenir le meilleur de lui. Nous commençons maintenant les tests hivernaux et l’objectif de ces deux jours est de se connaître les uns les autres, étape par étape, pour construire le package. »

Marcel Duinker (Chef d’équipe d’Axel Bassani) : « C’est dommage que la saison se soit terminée de cette manière, car Alex était très compétitif. Ce fut un plaisir de travailler avec lui toutes ces années et nous avons une bonne relation. Même s’il a déménagé, je suis sûr que cette bonne relation perdurera. Nous entamons maintenant un nouveau chapitre avec Axel. Je l’ai rencontré pour la première fois l’autre jour et nous avons immédiatement eu une bonne conversation. Il est jeune mais déjà expérimenté, très compétitif et incroyablement motivé. Je suis sûr qu’il nous aidera à élever le KRT à un niveau encore plus élevé. Pour l’instant, nous allons avancer pas à pas, mais je suis déjà impatient de commencer la saison 2024. »

Guim Roda (Directeur de l’équipe KRT) : « Nous entamons la nouvelle saison avec la grande motivation d’apprendre de notre expérience passée et avec l’objectif de continuer à améliorer notre Ninja ZX-10RR de différentes manières. Nous avons travaillé dur avec la FIM, Dorna et MSMA pour équilibrer un peu plus le spectacle pour les fans. Notre package actuel a encore du potentiel pour fonctionner mieux, mais les règles doivent nous permettre d’être plus flexibles dans le cadre des règles strictes du Stock et d’être plus orientés vers l’esprit de la course. Voyons si les nouvelles règles nous apportent un peu de cette aide. Ce ne sera pas le seul changement nécessaire, et nous devrons travailler sur la bonne façon de mettre en œuvre tout changement, mais c’est la bonne direction. Nous procédons également à quelques changements en interne chez KRT, et le plus évident sera la collaboration d’Alex avec Pere Riba, tandis que Marcel Duinker aura pour tâche de développer la vitesse et la compréhension d’Axel sur notre Ninja ZX-10RR. De plus, Pau, l’un des mécaniciens d’Alex, part travailler avec Arturo, tandis qu’Uri part suivre Johnny dans son aventure bleue. Mattia passera de nouveau en première ligne et d’autres changements seront introduits dans l’équipe pour la saison prochaine, dans le but de rester compétitif face aux innovations des autres constructeurs – rien n’est figé en WorldSBK. Nous sommes tous très motivés, et des changements comme celui-ci sont toujours bons, pour essayer de nouvelles choses, alors allons-y, et défendons les couleurs vertes en 2024 encore plus forts et fiers que jamais. »

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La manche espagnole, la dernière épreuve du Championnat du Monde FIM Superbike 2023, s’est terminée avec les victoires des pilotes Ducati nouvellement couronnés champions du monde Álvaro Bautista en Superbike et Nicolò Bulega en Supersport.

L’Espagnol et l’Italien ont tous deux remporté toutes les courses du week-end et ont également reçu le Pirelli Best Lap Award pour avoir effectué respectivement 19 et 11 meilleurs tours en course au cours de l’année. Le titre en WorldSSP300 a été remporté par Fenton Seabright (Kawasaki GP Project) avec 4 meilleurs tours en course.

Quant aux pneus utilisés lors de cette manche, à l’avant, le SC1 a été choisi par tous les pilotes, tant en Superbike qu’en Supersport, tandis qu’à l’arrière, toutes les solutions tendres en mélange SCX ou SCQ ont assuré des performances exceptionnelles même avec des températures relativement basses et une constance optimale du début à la fin, comme l’a démontré le duel mené jusqu’aux derniers virages entre Bautista et Razgatlioğlu dans la course 2.

Une saison positive pour Pirelli sous le signe du développement

« Les résultats de cette saison pour Pirelli sont incontestablement positifs et nous avons réussi à faire avancer le programme de développement que nous nous étions fixé en début d’année. En Superbike, l’objectif principal était d’améliorer le kilométrage du SCQ extra souple arrière non seulement en qualifications, mais aussi lors de la course Superpole – un résultat que nous avons obtenu avec la spécification C0004 qui deviendra le composé standard en 2023, remplaçant l’actuel SCQ. L’autre solution de développement arrière qui rejoindra la gamme standard est le médium A1126 qui deviendra le nouveau SC1. Quant à l’avant, nous avons commencé à travailler cette année sur une option SC0 souple et ce développement se poursuivra la saison prochaine. En Supersport, l’accent a été mis sur l’avant SC1 et, là encore, nous avons pu améliorer les performances grâce à la spécification B1333 qui rejoindra la gamme standard en tant que nouvel avant SC1. Il est donc clair que le championnat du monde de Superbike reste pour nous la meilleure plateforme de développement pour nos pneus de course, car la plupart des constructeurs de motos sont présents, ce qui signifie que nous pouvons tester nos produits jusqu’à ce qu’ils fonctionnent bien avec plusieurs motos. C’est une condition idéale, compte tenu du fait que ces mêmes pneus sont vendus régulièrement sur le marché, et qu’ils doivent donc être polyvalents et pouvoir s’adapter à n’importe quelle moto. Nous allons maintenant rester à Jerez pour deux jours d’essais afin de préparer la saison prochaine. »

– La course Superpole a été marquée par un drapeau rouge au deuxième tour, puis a été relancée pour une distance de huit tours. À l’avant, tous les pilotes ont utilisé le SC1 standard, tandis qu’à l’arrière, la solution la plus populaire a été le pneu de développement SCQ C0004. Seul Jonathan Rea (Kawasaki) a décidé de prendre le départ avec la solution de développement SCX B0800, alors que Rabat (Kawasaki), Ruiu (BMW), Syahrin (Honda) et Konig (Kawasaki) ont opté pour le SCX standard. Lors du nouveau départ, Alex Lowes est également passé à l’arrière SCX B0800, tandis qu’Aegerter (Yamaha), Rinaldi (Ducati) et Lecuona (Honda) sont passés de la SCQ à la SCX standard.

Parti de la pole position, Álvaro Bautista (Aruba.it Racing – Ducati) a également remporté cette course, terminant devant Dominique Aegerter (GYTR GRT Yamaha WorldSBK Team) et Jonathan Rea (Kawasaki Racing Team WorldSBK).

– Dans la Course 2, les pilotes ont confirmé en grande partie les choix de pneus qu’ils avaient faits hier dans la course 1 : SC1 à l’avant et SCX standard ou développement (B0800) à l’arrière.

Dans la dernière course de l’année, Bautista et Toprak Razgatlioğlu (Pata Yamaha Prometeon WorldSBK) se sont livrés un duel passionnant. Des manœuvres de dépassement jusqu’au dernier tour et Razgatlioğlu termine premier, avant d’être pénalisé pour avoir dépassé les limites de la piste à la sortie du dernier virage. La victoire revient à Bautista, Razgatlioğlu étant relégué à la deuxième place et l’autre pilote Yamaha, Dominique Aegerter, à la troisième. Le pilote turc fête ce 100e podium avec Yamaha avant de passer chez BMW en 2024, tandis qu’Aruba.it Racing – Ducati remporte le titre mondial par équipe.

– Pour la Course 2, les pilotes ont confirmé les pneus choisis dans la Course 1 à l’arrière, donc pratiquement tout le monde était sur la grille avec le SCX standard sauf les pilotes Kawasaki Adrian Huertas et Can Oncu qui sont partis avec le SC0 standard. À l’avant, certains pilotes qui avaient choisi le SC1 standard pour la course 1 sont passés au pneu de développement SC1 B1333, qui est resté la solution la plus utilisée. Après le drapeau rouge, il y a eu quelques changements : Adrian Huertas et Can Oncu sont passés au pneu arrière SCX, tandis que Filippo Fuligni (Yamaha) utilisait le SC0.
– Nicolò Bulega (Aruba.it Racing WorldSSP Team) a remporté la course et amélioré le record établi hier pour le plus grand nombre de victoires en une saison. Comme dans la course 1, il a terminé devant Stefano Manzi (Ten Kate Racing Yamaha). La troisième place est revenue au pilote turc Can Oncu (Kawasaki Puccetti Racing).

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Arrivée en Thaïlande en début de semaine, l’équipe de Michelin Motorsport enchaîne les courses après avoir relevé de nombreux défis organisationnels. Chacun est toutefois content de revenir à Buriram, sur ce circuit moderne et particulier, dont les infrastructures permettent d’accueillir jusqu’à 100 000 fans.

Le Chang international Circuit est situé dans le nord du pays, à près de 500 km de Bangkok, la capitale. Le Championnat du Monde de MotoGP s’y rend depuis 2018, mais en raison de la crise sanitaire seulement trois Grand Prix y ont eu lieu (2018, 2019, et 2022). Une séance d’essai y a également été organisée, et les équipes de Michelin disposent néanmoins d’une masse de données suffisamment importante pour dresser le portrait-robot technologique de la piste.

Il s’agit d’un tracé récent, inauguré en 2014 et d’une longueur de 4,554 km. Celui-ci apparait comme assez équilibré́, avec cinq virages à gauche, sept à droite, mais aussi deux lignes droites dont la plus longue atteint un kilomètre. C’est un circuit qui ne génère pas des vitesses moyennes très élevées, en revanche son asphalte et son dessin infligent des contraintes importantes, notamment au pneu arrière.

« Dans le cadre de la réglementation 2023, nous avons sélectionné deux gommes au lieu de trois pour la roue arrière, » indique Piero Taramasso, manager de la compétition deux-roues de Michelin. « Ainsi, en complément des mélanges Soft, Medium et Hard à l’avant, nous avons apporté des gommes Medium et Hard pour l’arrière, avec un niveau de rigidité supérieur sur la partie droite de la bande de roulement. Nous avons également renforcé la structure du pneu arrière afin de contrôler les pics de température. Le mercure va sûrement grimper au-delà de 30°C dans l’air, ce qui veut dire plus de 45°C à la surface de la piste. Mais c’est surtout la configuration du circuit, proche que celle du Red Bull Ring, en Autriche, qui nous a incités à utiliser cette structure interne particulière pour le pneu arrière. Le bénéfice de ce choix technique est d’apporter plus de stabilité aux pilotes lorsque le pneu subit les contraintes élevées, lors des appuis les plus longs ou lors d’un besoin prolongé de traction. Ainsi parés, nous savons que la polyvalence de la gomme Hard et la performance pure du mélange Medium couvrirons tous les besoins de nos partenaires. »

En cas de pluie, la gamme MICHELIN Power Rain sera déployée selon deux mélanges (Soft et Medium) à l’avant comme à l’arrière.

Sur le Chang International Circuit, les motos de Grand Prix entreront en piste dès le vendredi 27 octobre au matin pour une première séance d’essais libres de 45 minutes. Une seconde séance, cette fois d’une heure et qualificative, se déroulera l’après-midi. Elle permettra aux 10 pilotes les plus rapides de passer directement en Q2. Le samedi, une séance d’essais libres de 30 minutes le matin, suivie des qualifications Q1 et Q2 (15 minutes chacune), précèderont la course Tissot Sprint (13 tours), dont le départ sera donné à 15 heures. Le Grand Prix (26 tours) partira le lendemain à la même heure, après un warm-up de 10 minutes le matin.

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La gamme Sport Heritage rend hommage à certaines des motos les plus emblématiques de la riche histoire de Yamaha. Pour 2024, le clin d’œil à la tradition de course de Yamaha fait un nouveau bond en avant avec l’introduction de la nouvelle XSR900 GP, qui rend hommage à certaines des machines de course les plus célèbres de l’illustre passé de Yamaha d’une manière inédite dans la gamme Sports Heritage.

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Le FG-Jet a tiré sa révérence l’été dernier après neuf années de commercialisation, le modèle était l’un des best-sellers de la gamme HJC dans l’hexagone avec une très forte demande dans le Sud de la France. Sa parenté évidente avec le RPHA Jet aura contribué à son succès autant que son écran solaire rétractable que le premier n’avait pas. Avec l’avènement de la norme ECE 22.06 il fallait pour HJC lui trouver un remplaçant et c’est le F31 qui prend le relais à compter de la gamme 2024.

Le F31 est la réponse du fabricant coréen sur le segment des casques jet en fibres sur le milieu de gamme. Avec le changement de norme, HJC élève techniquement et qualitativement son offre pour positionner cette nouveauté comme un des modèles forts de ce segment très concurrentiel. Pour y arriver la marque pourra compter sur des arguments de poids que sont le confort et le maintien qui caractérisent les produits HJC mais aussi les nouveaux équipements comme par exemple l’écran réglable en avant ou les trois systèmes de communication intégrés pour répondre à tous les besoins et les budgets.

Malgré des caractéristiques GT, le F31 ne cache pas ses appendices sportifs. Avec sa coque en fibres composites sculptés et ses aérateurs 3D le F31 se distingue par un look sportif comme le FG-Jet en son temps. Réalisée en fibre de verre, offrant à la fois légèreté et résistance. La technologie « CAD » assure un ajustement parfait, garantissant un confort optimal même lors des trajets les plus longs. Un accent particulier a aussi été porté au niveau du dessin de la coque au niveau des joues, la coque favorise la protection en recouvrant plus la partie basse du visage mais aussi le maintien. L’écran long incolore du casque délivre une protection efficace et est pré-équipé pour recevoir un écran antibuée Pinlock disponible en accessoires.

L’écran solaire réglable en avant pour s’adapter à toutes les morphologies. Outre la montée et descente il peut être réglé sur trois positions en avant : 0, 5mm et +10mm (plus ou moins proche du visage) pour s’adapter à la morphologie de chacun ou aux éventuelles lunettes de vue, qui profiteront par ailleurs des cannelures dédiées pour que les branches n’occasionnent aucune pression sur les tempes du motard. L’écran solaire bénéficie également d’un traitement antibuée.

L’intérieur du F31 est également inédit avec de nouvelles mousses qui recouvrent les parties internes du calotin et de la coque, elles sont revêtues d’un tissu antibactérien qui évacue l’humidité et sèche rapidement en plus d’être démontable et lavable ! Le casque est équipé d’un système de ventilation performant à canaux « ACS », avec 3 prises d’air supérieures et un extracteur d’air arrière, permettant de réguler efficacement la chaleur et l’humidité.

3 intercoms intégrés pour s’adapter à tous les budgets. Le F31 comme la très grande majorité des nouveautés HJC est prééquipé Smart HJC (seconde génération), ce qui lui permet d’accueillir un système intercom intégré. Toujours dans le cadre de la collaboration avec le spécialiste Sena, ce sont trois modèles qui sont à présent proposés au catalogue HJC afin de pouvoir répondre à un large éventail de besoins et de budgets. Ces systèmes Bluetooth se montent en quelques minutes dans le casque et s’intègrent parfaitement et disponibles en accessoires allant de 129,90 à 349,90 euros.

Techniquement, le F31…

•      Matériau de la calotte : coque en composite avancée technologie CAD 

• Fibres de verre
• Aérodynamisme plus performant, amélioration de la stabilité à très grande vitesse vs FG-Jet
• Développement en soufflerie : meilleur équilibre et répartition des masses

•      3 tailles de coques et 3 tailles de mousses internes en EPS
•      Intérieur :

• Mousses de joues, interchangeables dans toutes les tailles
• Mousses démontable et lavables, traitement antibactérien, anti-odeur et anti-transpiration,
• Séchage rapide
• Découpe pour le passage aisé des branches de lunettes

•      Écran : 

• Long avec profil routier,
• Incolore 3D, anti-rayure, protection UV à 99%,
• Nouvelles platines avec démontage d’écran sans outil,
• Verrouillage d’écran deux côtés
• Mécanisme par pivotement 2 voies, pour un mouvement fluide et une meilleure étanchéité
• Écran équipé d’ergots réglables pour recevoir un écran antibuée
• Préparé Pinlock

•      Écran pare-soleil :
• Teinté, rétractable,
• Traité antibuée
• Réglable en avant, adaptation morphologique avec trois positions (0 std, +5 ou +10mm en avant)
• Commande côté gauche sur l’embase
•      Système de ventilation à canaux ACS (Advanced Channeling Ventilation System) :

• 3 entrées d’air réglables
• Ventilation optimisée à l’intérieur de la calotte
• 1 extracteur sur l’arrière

•      Préparé pour recevoir des oreillettes, compatible avec un système Bluetooth SMARTHJC 2^ndegénération
•      Jugulaire : boucle micrométrique métallique/plastique
•      Accessoires inclus : 

• Housse

•      Garantie : 5 ans 

Homologation : ECE 2206 : J (jet)

•      Poids : 1450 grammes (taille S) +/-50gr

Tailles : XS à 2XL (53 à 64)

Coloris unis : blanc perle ; noir métallique ; bleu mat ; noir mat ; gris nardo ; Beige mat ; titane mat.

Prix public conseillé : 249,90 € 

Prix des accessoires :

–        SMART HJC 11B, 21B & 50B Bluetooth -> 149,90 euros ; 219,90 euros ; 349,90 euros

–        Écran teinté / foncé -> 59 / 79 euros

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Les conditions se sont considérablement dégradées dimanche à Phillip Island, avec de la pluie et de fortes ailes qui ont frappé le circuit dès le début de la matinée. La température de la piste n’était que de 15 degrés pour la course Moto2.
Le programme de la journée de dimanche avait été revu samedi, et les pilotes de l’équipe Elf Marc VDS Racing Team, Sam Lowes et Tony Arbolino, ont bénéficié d’une séance d’échauffement de 10 minutes avant que la course de 23 tours ne débute à 11h15, soit une heure plus tôt que prévu.
Après que 10 pilotes aient chuté et que le vent se soit levé, la course a été interrompue au 9ème tour. Comme les conditions étaient trop mauvaises pour repartir et que 50% de la distance de course n’avait pas été parcourue, des demi-points ont été attribués pour les résultats.

/// SAM LOWES, DNF

Parti de la 12ème place sur la grille de départ, Sam a connu un excellent début de course, gagnant 10 positions en trois tours pour se classer 2ème, juste derrière son coéquipier Tony Arbolino.
Mais une chute au virage 10 dans le 4e tour a mis fin aux espoirs de Sam de monter sur le podium pour la deuxième fois de l’année. Malgré toutes ses tentatives, le Britannique n’a pas pu redémarrer sa moto.
Sam reste donc 13ème au Championnat du Monde avec 80 points.

« Je n’avais aucune adhérence sur le côté droit et l’arrière est parti en vrille. »

« Je suis évidemment déçu de cette course, qui m’a fait perdre la deuxième place. Les conditions étaient terribles. C’était très compliqué de rester droit et Tony a très bien piloté. C’est dommage que la course n’ait pas duré plus longtemps pour qu’il puisse marquer des points. Nous avons lutté avec le froid, le vent et le côté droit du pneu. Lors de la chute, je n’ai pas vraiment su ce qui s’était passé. Je n’avais aucune adhérence sur le côté droit et l’arrière est parti en vrille. J’étais heureux de me battre dans les premières positions, c’est donc positif. Je tiens à féliciter Tony et l’équipe, mais le chemin est long pour une course de 9 tours et la moitié des points attribués. J’ai réalisé une meilleure performance dans ces conditions. Je peux en tirer un peu de confiance pour aller de l’avant et nous essaierons d’obtenir de bons résultats lors des quatre dernières courses de l’année. »

/// VAINQUEUR DE LA COURSE, 1er

La journée de Tony n’a pas commencé sous les meilleurs auspices après qu’il ait chuté dans le virage 6 lors du warm up matinal. Mais en partant de la 8e place sur la grille de départ, l’Italien prend un excellent départ et s’empare de la tête au 4e tour.
Personne ne pouvait rivaliser avec la vitesse de l’Italien dans ces conditions et à la fin du 8e tour, il avait pris une avance considérable de 14 secondes avant que la course ne soit arrêtée au tour suivant.
Avec cette 6ème victoire dans la catégorie Moto2, Tony reste 2ème au championnat du monde avec 224,5 points. Il s’est rapproché du leader du championnat, Pedro Acosta, qui compte 56 points d’avance.

« Je me suis senti très bien sur la piste »

« Qu’est-ce que je peux dire ? Ces deux dernières années, nous avons eu trois courses sur le mouillé et je les ai toutes gagnées ! Ce sentiment est fou, car nous ne nous attendions pas à un tel résultat. Mais dans les deux premiers tours, je me suis senti clair et vraiment concentré sur la moto. C’est ce que j’ai ressenti le plus aujourd’hui. Évidemment, la moto fonctionnait aussi très bien. Nous savons que nous avons parfois un peu plus dans ces conditions, mais même dans ce cas, j’ai dû beaucoup pousser. Je me suis senti très bien sur le terrain. C’est une bonne journée, alors je vais en profiter avec mes gars avant de faire un petit rafraîchissement pour être prêt pour la Thaïlande la semaine prochaine.

Résultats du Grand Prix d’Australie Moto2 à Phillip Island :

 Crédit classement : MotoGP.com

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C’est Jorge Martin qui partira de la pole de la catégorie MotoGP du Grand Prix d’Australie, 16e manche du championnat du monde MotoGP 2023. Le pilote de l’équipe Ducati Pramac a arrêté le temps en 1’27.246 (nouveau record de la piste) devant Brad Binder de 0.416s et Francesco Bagnaia de 0.468, contraint de participer à la Q1.

Aleix Espargaró a réalisé le quatrième temps, devant Johann Zarco et un excellent Fabio Di Giannantonio. Marc Marquez qui a fait son tour rapide derrière Bagnaia, jusqu’à le suivre dans l’échappatoire au virage 4, ouvre la troisième ligne devant Jack Miller et Maverick Vinales. Marco Bezzecchi complète le top dix.

Parmi les autres pilotes qui n’ont pas passé le piège de la Q1 figurent : Alex Marquez qui partira 13ème devant Augusto Fernandez, Raul Fernandez, Joan Mir, Fabio Quartararo, Luca Marini, Miguel Oliveira, Franco Morbidelli et Takaaki Nakagami. Alex Rins a levé le drapeau blanc après avoir souffert d’une douleur à la jambe blessée lors de la course Mugello Sprint (fracture du tibia et du péroné).

Que va nous réserver ce Grand Prix d’Australie du samedi ? Avant de le savoir, voici le tableau qui résume les faits connus jusque-là.

Voici les images en direct …

Phillip Island + #MotoGP is always something special, and the main race is up next! 🤩

Join us LIVE for the Race Build Up and don't miss a moment with our #VideoPass free trial ➡️ https://t.co/xrZOIX2S5W#AustralianGP 🇦🇺https://t.co/zwCs6oCH81

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C’est jour de course, un samedi ce n’est pas commun..néanmoins du beau spectacle en perpective nous attend!

Il y aura 27 tours à parcours sur un tracé long de 4.445kms..

Il est tant de faire vos pronostics pour cette course ! c’est ici et maintenant …

#MotoGP race winner predictions HERE! 👇#AustralianGP 🇦🇺

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Des conditions de piste idéales…piste sèche, ciel voilé.

Les pilotes sont sur la grille de départ..

Zarco indique avoir choisi un pneu médium arrière »pour faire la différence à la fin »

Binder est prêt à aller chercher des noises à Martin..

👊 @BradBinder_33 could play a factor here!

Keep an eye on the South African! ⚠️#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/Bxa7xzWNln

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Martin est dans les starting-blocks également…

Looking to bounce back after last weekend! 💪@88jorgemartin has the pace! 🔄#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/vNLXGmwh6j

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Tout comme Miller !

Big breath from The Thriller! 💨

He's ready to give it his all at home! 💯#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/eSEuwZmh2i

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Tour de chauffe !

Martin fait le choix audacieux de partir avec un pneu soft à l’arrière..

Martin: hard front, soft rear
Bagnaia: hard front, medium rear

Our two title contenders have gone for different @Michelin_Sport options! Which will work best? 😮#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/Ds17Mx9p4p

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C’est parti !!

18° dans l’air, 33° sur la piste.

C’est Martin qui prend la main devant Binder et Bagnaia. Miller 4e, Di Giannantonio 5e, MMarquez 6e

🚦 LIGHTS OUT DOWN UNDER 🚦@88jorgemartin holds them off down into Turn 1! ⚔️#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/Ro6wFEEDz4

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Zarco 7e, en bagarre avec AEspargaro. Quartararo 20e

Di Giannantonio double Bagnaia, il prend la 3e position.

⚠️ @PeccoBagnaia is under pressure here! @FabioDiggia49 is riding inspired! He's into a podium position! 🔥#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/8RofvS9Nh6

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Zarco passe MMarquez, Miller l’imite, le Cannois est 5e, Miller 6e

Zarco a maintenant dans son écran de mire Bagnaia 4e

Martin possède déjà 1.047s sur Binder.

MMarquez ne lache rien, le pilote Honda Repsol porte une attaque sur Zarco, il prend le meilleur et cela passe, il est 5e, Bagnaia est juste devant lui..Zarco réplique, il reprend la 5e position. Mais MMarquez dur au mal récupère la 5e position, profitant d’un écart de Zarco. Le pilote Pramac réitère…il reprend la 5e position..quel bataille de chiffonnier !

Lovely move from @marcmarquez93! 👏

He lined up @JohannZarco1 to take 5th back! 📈#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/V4itCbyFsX

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These two are having a right battle! 🙌#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/ishXxp8hmY

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Encore 20 tours : Martin s’échappe avec 2.040s d’avance sur Binder. Di Giannantonio, Bagnaia, Zarco, MMarquez, AEspargaro, Miller, Bezzecchi et AMarquez complètent ce top10

Miller est aux prises avec AEspargaro pour le gain de la 7e position..

Quartararo est 19e, il vient de passer Morbidelli.

Chute de Mir, contact avec Marini. Enquête en cours…à laquelle il n’est pas donnée suite..

That's the end of @JoanMirOfficial's race! 💥

The incident is under investigation! ⚠️#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/nn77o6ZFbr

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No further action from the FIM #MotoGP Stewards! 🛑#AustralianGP 🇦🇺

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Martin tient bon devant avec 2.787s d’avance sur Binder 2e…

As it stands, @88jorgemartin would close the gap to just six points! ⚔️@PeccoBagnaia needs to get a wriggle on if he wants to gain some of those points back! 🚨#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/EgLt4t0YuA

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Chute de AFernandez.

Il reste 13 tours : Martin possède 3.538s séance sur Binder. Di Giannantonio 3e, possède presque 1s d’avance sur Bagnaia 4e. Zarco est 5e.

Regardless of where @FabioDiggia49 finishes this race, this is phenomenal 🙌

Still searching for a ride for next season and showing that he really is one of the best in the world! 👏#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/AHXs2IQ8iJ

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Di Giannantonio se fait pressant sur Binder, il n’est qu’à 0.181s derrière le sud-africain..Di Giannantonio passe Binder…!!

DIGGIAAAAA! 🔥@FabioDiggia49 is into 2nd place! 🤯#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/IwA93tNFrd

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Il en est de même pour Zarco pour le gain de la 4e place occupée par Bagnaia : seules 0.186s séparent les 2 pilotes..

Il reste 8 tours àa effectuer, le top 10 se compose de : Martin, Di Giannantonio, Binder, Bagnaia, Zarco,  AMarquez, AEspargaro, Miller, Bezzecchi et MMarquez.

L’écart fond entre Martin et Di Giannantonio…2.630s séparent les deux pilotes…

Unmatched pace! So far… 👀@FabioDiggia49 was four tenths quicker than @88jorgemartin last time round! 😮#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/DThstz8tvD

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Zarco porte une attaque sur Bagnaia et cela passe, il est 4e. Il revient  à 0.199s d’avance sur Di Giannantonio..

🚨 @PeccoBagnaia is losing more points! @JohannZarco1 is through! 🔄#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/ME1cBrRxum

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Binder fait le job…

👊 @BradBinder_33 bites back! #AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/2bpf0pErEU

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Zarco passe Di Giannantonio.. il prend la 3e position..

Zarco passe Di Giannantonio, Bagnaia en profite…

Encore 2 tours… 1.216s separent Martin de Binder… !!

En tête …Martin devant Zarco et Bagnaia..

LAST LAP 🔄

THEY'RE ON HIM! 😱#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/E4pIw3K2Zv

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Zarco prend la main devant Bagnaia !!!

Dernier tour…

Victoire en Australie de Zarco devant Bagnaia, Di Giannantonio, Binder et Martin 

WHERE'S THE BACK FLIP, @JohannZarco1?! 🙌

We've waited YEARS for it!!! 🔥#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/HYFlmJtw1y

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🥇 JOHANN ZARCO IS A #MotoGP WINNER 🥇

WHAT DRAMA ON THE ISLAND!!! 🤯🤯🤯#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/YBzl0g0NfD

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Une bonne affaire au championnat pour Bagnaia.. 27 points d’avance…

Has @PeccoBagnaia ever been happier for a 2nd place? 🥈

He's definitely needed to work hard for it! And he's got 27 points of advantage on @88jorgemartin 📈🌶️#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/sKl4XsFfrv

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La déception pour Martin..

It all unravelled in the most dramatic fashion! 💨@88jorgemartin will surely be looking back on his tyre choice! 🤯#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/hcZ53e0rpw

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Zarco se lache !!!!

JO-JO! The back flip returns! 🙌

Seven years later and @JohannZarco nails the landing! 💯#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/ypZamKfIF8

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Belle course pour Di Giannantonio…

Best #MotoGP finish ⏭️ Maiden premier class podium in less than one week! 🤯@FabioDiggia49 takes a sensational 3rd! 👏👏👏#AustralianGP 🇦🇺 pic.twitter.com/tj4uor30Dd

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MotoGP Australie Course : classement

Classement Général MotoGP : 

Crédit classement motogp.com

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La seizième manche de la saison MotoGP 2023 s’est déroulée samedi 21 octobre sur le circuit de Phillip Island. Cette année, la météo a dicté l’agenda et, en raison de prévisions pessimistes, Dorna Sports a pris la décision d’anticiper à samedi le Guru by Gryfyn Australian Motorcycle Grand Prix. La Tissot Sprint, prévue pour dimanche 13h00 dans le cadre d’un programme sportif raccourci, a été annulée à cause de la pluie battante et de fortes rafales de vent…

… Et pourtant, à la surprise générale, vendredi le soleil resplendissait sur les 4,4 km de ce tracé perché sur le Détroit de Bass – un bras de mer qui sépare l’ile de Tasmanie de l’état de Victoria. La météo estivale avait donné bon espoir pour le week-end. La FP1 s’est déroulée le matin par des conditions idéales, tandis que la Practice de l’après-midi a permis aux pilotes de tester leurs montures sur un tracé réchauffé par le soleil jusqu’à 50°C.

Sur la piste la plus asymétrique de la saison, revêtue d’un asphalte particulièrement abrasif et très peu utilisée durant l’année, les meilleures stratégies pneumatiques se sont vite dessinées : le pneu Soft à l’arrière pouvait être utilisé pour la Tissot Sprint (13 tours) en cas de soleil, alors que le Medium était idéal pour la course (27 tours).

Samedi matin, les pilotes ont profité de la FP2 pour compléter des « long runs » et confirmer les choix du vendredi, avant de disputer les qualifications. En Q2, Jorge Martin (Prima Pramac Racing) a signé la pole-position en enregistrant le record absolu du circuit en 1’27.246.

Le départ du Guru by Gryfyn Australian Motorcycle Grand Prix 2023 a été donné à 15:10 samedi sur une piste chaude (34°C) et, fait rare à Phillip Island, en absence du vent froid typique de ce lieu. En dépit des recommandations de Michelin et des datas récoltées durant les séances FP et Practice, quatre pilotes ont parié sur le grip du pneu Soft à l’arrière.

Parmi eux le pole-man Jorge Martin, actuellement en lice pour remporter le titre mondial. Durant 25 des 27 tours, le pilote espagnol a mené la course, mais sur le final le pneu Soft arrière a atteint sa limite. Le tiercé Johann Zarco (Prima Pramac Racing), Francesco Bagnaia (Lenovo Ducati Team) et Fabio Di Giannantonio (Gresini Racing MotoGP) a donc comblé l’écart et dépassé Martin, qui a dû céder sa quatrième place quelques virages plus tard à Brad Binder (Red Bull KTM Factory Racing). Les quatre premiers pilotes au classement final de la course avaient opté pour le pneu Medium à l’arrière, complété par un Medium avant dans le cas de Zarco et Di Giannantonio et d’un pneu Hard pour Bagnaia et Binder.

« Le pneu arrière Medium a été le clé de ma victoire ! », a déclaré Johann Zarco après la course. « J’ai hésité pendant un moment à choisir le Soft pour profiter de son grip initial, mais cela aurait été un pari trop risqué. La piste était chaude et le pneu Medium était dans sa fenêtre d’utilisation idéale. »

Dimanche matin, les pilotes du MotoGP se sont réveillés sous une pluie battante et ils ont vite compris que la Tissot Sprint risquait de se disputer dans des conditions d’adhérence précaires, en comptant seulement sur le grip de leurs pneus MICHELIN Power Rain. Finalement, une demi-heure avant le départ, du fait de conditions exécrables, Dorna Sports a décidé d’annuler l’épreuve.

« Comme l’on s’y attendait, la météo a joué un rôle déterminant durant tout le week-end », déclare Piero Taramasso, Manager Deux-roues de Michelin Motorsport. « En raison de sa forte asymétrie, de la configuration particulière et de l’asphalte très abrasif, le circuit de Phillip Island impose des contraintes spécifiques sur les pneumatiques. Pour répondre à ces exigences, nous avions apporté en Australie une gamme de pneus spécifiques. Les trois spécifications avant ont bien performé durant le week-end, le choix entre un mélange de gomme et l’autre a été déterminé exclusivement par le ressenti du pilote. »

« À l’arrière, le pneu Medium était parfaitement adapté à la course de samedi et, comme à Mandalika une semaine plus tôt, les pilotes qui ont parié sur des pneus hors-fenêtre ont été pénalisés en fin de course. Je trouve même exceptionnel qu’un pneu Soft, utilisé par 34°C sur le circuit de Phillip Island, ait délivré autant de constance pendant 25 des 27 tours prévus ! Enfin, je tiens à féliciter Johann Zarco pour sa première victoire en MotoGP. Johann est un pilote de grande valeur, qui possède une forte sensibilité dans la compréhension et dans la gestion des pneumatiques. »

La prochaine manche du championnat du monde FIM MotoGP, le OR Thailand Grand Prix, se déroulera sur le Chang International Circuit du 27 au 29 octobre prochains. Après l’Indonésie et l’Australie, cette course clôture le deuxième des trois triplés inscrits au calendrier 2023.

Résultats du Grand Prix d’Australie sur le circuit de Phillip Island :

 Crédit classement : MotoGP.com

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